Bush joue avec le froid
Posté : 07 mai05, 23:25
MOSCOU - George W. Bush est en tournée en Europe alors même que le vieux continent célèbre le 60e anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale. Sa rencontre avec Vladimir Poutine sera l'occasion d'évoquer leurs divergences sur l'interprétation de l'histoire.
Le président américain a commencé sa tournée par un rendez-vous samedi à Riga avec les chefs d'Etat des trois pays baltes, dont le président russe a précisément rejeté les demandes d'excuses pour l'occupation soviétique. Il achèvera sa tournée par un autre déplacement symbolique en Géorgie, qui est sortie de la sphère d'influence russe fin 2003 à la faveur d'un soulèvement populaire.
George W. Bush et Vladimir Poutine ont déjà échangé quelques piques à distance samedi. Le patron de la Maison blanche a ainsi rappelé à Riga que la fin de la Seconde Guerre mondiale avait signifié le début de "l'occupation et de l'oppression" soviétiques en Europe de l'Est.
Après avoir déposé une gerbe en hommage aux 27 millions de soviétiques morts pendant la guerre, le chef du Kremlin a répliqué en rendant hommage à une Armée rouge présentée comme la libératrice de l'Europe orientale. Il en a profité pour rejeter les demandes d'excuses publiques formulées pae la Lettonie, l'Estonie et la Lituanie.
Au-delà de ces divergences sur le passé, Bush et Poutine s'affrontent également sur l'évolution actuelle de l'ancien espace soviétique, dont de nombreux pays se tournent désormais vers l'Ouest.
Lors de leur rencontre, le président américain devrait ainsi répéter à son homologue russe ce qu'il a déjà dit samedi: la Russie doit favoriser l'émancipation démocratique des pays de l'ancien bloc communiste, notamment en Biélorussie, restée liée au Kremlin et qualifiée par la Maison blanche de dernière dictature d'Europe.
Signe certainement qu'il ne se résoud pas à la perte d'influence de Moscou, Vladimir Poutine recevra également dimanche la plupart des dirigeants des 12 pays formant la Communauté des Etats indépendants, issus de l'ex-URSS.
Le président américain a commencé sa tournée par un rendez-vous samedi à Riga avec les chefs d'Etat des trois pays baltes, dont le président russe a précisément rejeté les demandes d'excuses pour l'occupation soviétique. Il achèvera sa tournée par un autre déplacement symbolique en Géorgie, qui est sortie de la sphère d'influence russe fin 2003 à la faveur d'un soulèvement populaire.
George W. Bush et Vladimir Poutine ont déjà échangé quelques piques à distance samedi. Le patron de la Maison blanche a ainsi rappelé à Riga que la fin de la Seconde Guerre mondiale avait signifié le début de "l'occupation et de l'oppression" soviétiques en Europe de l'Est.
Après avoir déposé une gerbe en hommage aux 27 millions de soviétiques morts pendant la guerre, le chef du Kremlin a répliqué en rendant hommage à une Armée rouge présentée comme la libératrice de l'Europe orientale. Il en a profité pour rejeter les demandes d'excuses publiques formulées pae la Lettonie, l'Estonie et la Lituanie.
Au-delà de ces divergences sur le passé, Bush et Poutine s'affrontent également sur l'évolution actuelle de l'ancien espace soviétique, dont de nombreux pays se tournent désormais vers l'Ouest.
Lors de leur rencontre, le président américain devrait ainsi répéter à son homologue russe ce qu'il a déjà dit samedi: la Russie doit favoriser l'émancipation démocratique des pays de l'ancien bloc communiste, notamment en Biélorussie, restée liée au Kremlin et qualifiée par la Maison blanche de dernière dictature d'Europe.
Signe certainement qu'il ne se résoud pas à la perte d'influence de Moscou, Vladimir Poutine recevra également dimanche la plupart des dirigeants des 12 pays formant la Communauté des Etats indépendants, issus de l'ex-URSS.
Pour un pays qui sort d'un guerre froide, il est peux être pas intelligent de mettre sur le tapis des problèmes qui ne sont pas encore digérer. Ses propos sont trés fort et ne tiens pas dutout compte que
l'URSS n'existe plus et que le communisme à fait place à la démocratie.
Certes entâcher de corruption, mais qui n'en as pas...
Deplus Poutine ne doit pas rester inactifs dans la gestion du pays et qu'elle que part c'est un insulte à son rang et à son travail.