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IIuowolus

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philosophion

Ecrit le 04 janv.05, 21:36

Message par IIuowolus »

Aujourd'hui Maitre Benefix, va vous enseigne l'art du thé au pate.
euh je veux dirent l'osthéopathe.

Ha non je me suis tromper de fiche, aujourd'hui actuellement dans l'instant
nous parlons des archie type de base ou les archéthipe de base.

L'archie type de base se trouve partout d'ailleur partout c'est un archétype de base, partout c'est ici, mais aussi ailleurs.

rien ne défini la valeur d'un achétype sauf son contraire ainsi partout, n'est pas nul part, et un limite à l'autre.

la valeur de deux archetype antagoniste, n'est pas fixer elle peux-être large ou trés petit ainsi nul part, c'est partout, mais il resteras un petit nul partout ailleurs que partout.

C'est d'ailleurs le sens profonds de la dualité de mettre en colaboration deux force antagoniste pour qu'elle servent un seul objectifs.

il ne faut pas confondre un archétype avec un réalité induit de la vie,
ainsi un pauvre et un riche ne sont pas des archétype contraire naturelle
et reflettant de loi cosmique mais forcer par l'argent.

ses loi cosmique sont trés simple nous les connaissant tous nous les employons des milliers de fais part jour se sont des mts en apparences anodine qui peuvent revetir n'importe qu'elle forme.
les plus connus sont le haut, le bas, le premier, le dernier, le debut et la fin.

Prennonds le premier et le dernier, c'est un archétype qui conditionne nos vies de A-Z et non sans plus de connaitre l'esprit compétition, il nous oblige à rentrée en propre compétion avec la recherche de notre propre satisfaction.
ainsi à la place de ce demandez si tout est bien
on se demande si tout va bien. et on rentre dans un quête pour un archétipe d'idéale informel puisque nous ne savons pas ce qui ferras notre bonheur à cette instant là.

Maintenant par la force du nombre le premier et le dernier sont dillue ans la masse, l'interêt de la vie en communauté résident dans le fait que part le nombres je ne deviendais plus automatiquement le dernier puisque les risque d'avoir "la malchance" se divise par le nombre de participant à une communauté.

Si nous étions que deux sur terre, l'un après l'autre et dans des domaines différents nous serrions premier ou dernier et après un moment de compétition celle-ci deviendrais caduque, dans un groupe superieur à 2
il deviend plus durent de voir ceci comme un réalité de la vie implacable
et d'en faire son deuil.

Dans la course pour les interet terreste on vois plusieur tendance se dégager, mais toujours lier à des archétypes.
Ainsi il y a le début, le milleu et la fin ou en language de course
la tête, le ploton et la queue.

dans ses trois groupes on retrouve un schéma de premier et de dernier.

si on reprends l'interet du jeu chez l'enfant c'est bien pour lui apprendre à savoir perdre et aperceverer par l'amusement.

la compétition sportive est un bonne manière de canaliser positivement,
l'esprit de jalousie ou de peur prédominant pour pour compendre les faux archétype, comme l'argent, la nouriturre, et le confort, qui sont part notre éducation de reférencielle existenciel aux même titre qu'un archétype et qui ne sont pas fondamentalement des pilliers archétypaux.

l'argent, la nourriture et le confort s'acquièrent par le travail et se partage.
mais on nous éduque pour cherchez à atteindre les plus hautes sphéres et personne en souhaite à ses enfants d'être derniers même si celà serrais un élèctrochoque bénéfique pour eux.

la notion positive de l'aspect générale des choses négatives et négligé par un hantise du mal qui nous pousse à peindre le diable sur la muraille.

les conceptes de remede de cheval, de chemin de traverse, ou de pari perdant gagnant ou de bonheur de eux fait malheur des autres ne sont comprise que vers l'adolescence.

Par contre pour préparez son enfant aux monde de la réalité, il vaux mieux lui apprendre à perdre pour gagner, à faire profile bas, à ce faire [ATTENTION Censuré dsl] avec le sourire ou a soumettre implacablement et avec despotisme ses vices aux services du bien par l'autodiscipline, l'altruisme la tolérance, etc... ce contre ses propres convictions personelles ou humeur passagère.

au lieu de celà on explique que la vie est comme ne voiture qui se pilote,
ou un train qui va dans la direction que l'on as choisi de prendre.

on vous place les archétipe haut-bas gauche-droit en avant en arrière.
comme des fonctions vous permettants d'atteindres votre rêve.

tout en omettant de vous expliquez que le corps et un machine qui à besoin de nombreux carburant, comme la nouriture, les images, les émotions, l'amour et les calins qui bien souvent manquant ou inexpériementer débouche sur le manque de sexe.

On vous présentre le volant la vitre et vous ne savez pas dans quoi vous rouler.

maintenant imaginé que vous ayez une voiture piloter par la pensée

le volant se pilote par vos idées et ce que vous en faites.
l'accélérateurs c'est la passion que vous souhaiter mettre dedans.
le frein c'est la sagesse et le recule que vous arrivé à place entre vo émotion et vous.
la carosserie est sensible c'est comme un peau qui communique directement avec vos émotion via le systpme de controle par le pensée de la voiture.

Ainsi si vous arrivé à vous faire un image de vous même et surtout à
imagé les émotion comme un fonction informationelle du cerveau.
c'est que vous 'est plus vraiment dans le cokpit de la voiture (dans vous même) mais c'est que vous avez la faculté de vous voir (comme la vue par dessus dans les jeux d'auto)

Si vous arrivé à analyser que vous êtes capable de pensée, c'est que
vous n'êtes pas vraiment limité à vous même. D'ou la pensée "je pense donc je suis" le sage indou réponds, peux-tu te voir, te pense, te sentir.
L'apprentis reponds ou je le peux alors je ne suis pas uniquement moi-même.


L'archétype principale "la voiture" c'est soi en entier qui contient "le pilote" le moi et son cortège de loi mentale qui s'efface dans l'urgence
pour une approche pragmatique.

la voiture impose des régles au pilotes et si le pilotes ne fais pas corps avec la voiture, il finiras là ou sa pensée n'auras pu s'arrêter.

soi-même on s'impose des régles sans respecter, nos propres besoins
en amour, en solitude, en image, ou en échange verbaux..
Par exemple:
On as l'idée que si on arrête de fumer il faudras bien compenser, sans vraiment cherchez à comprendre pourquoi on fume.
mais souvent l'anxiété peux-être appaiser en parlant avec la personne concerner de ses craintes ou en se confiant à une amis, par contre la cigarette et le téléphone, ne va pas permettre de vous changer l'air, bouger un peu.

si vous remplaciez la personne par une voiture vous pourriez sentir la chaleur du moteur, l'odeur de l'essence et de l'huile.

Chez un personne on peux desceller son fascécie malheur ou de mauvaise humeur, mais vous pourrais difficilement descelle que son aura
va s'imprégné de son malheur et que son appartement par extention son chez soi va amplifier son malheur et sa rumination.

maintenant on peux cherchez à rendre les gens heureux ou à les comprendres, deux archétypes de base pour la relation inter-chose
mais apprendre dans les deux voies c'est mieux.

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