Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?
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Le courant bouddhisme mahāyāna, terme sanskrit signifiant « Grand Véhicule » apparaît vers le 1er siècle de notre ère dans le Nord de l’Inde. Actuellement le bouddhisme mahayana a une forte présence en Chine, au Tibet, au Japon au ve siècle, en Corée en 372, au Viêtnam, à Singapour et Taïwan. La tradition du Mahayana, met l’accent sur la pratique altruiste du bodhisattva comme moyen pour parvenir à l’éveil, à la fois pour soi-même et pour les autres.
Le courant bouddhisme mahāyāna, terme sanskrit signifiant « Grand Véhicule » apparaît vers le 1er siècle de notre ère dans le Nord de l’Inde. Actuellement le bouddhisme mahayana a une forte présence en Chine, au Tibet, au Japon au ve siècle, en Corée en 372, au Viêtnam, à Singapour et Taïwan. La tradition du Mahayana, met l’accent sur la pratique altruiste du bodhisattva comme moyen pour parvenir à l’éveil, à la fois pour soi-même et pour les autres.
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Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?
Ecrit le 28 sept.15, 23:12L’adepte s’autopersuade que tous les événements heureux qui surviennent dans sa vie sont dus à la pratique. Ainsi, les réussites professionnelles ou personnelles sont immanquablement mises sur le compte de la pratique, et constituent autant de « preuves actuelles » de son indéniable efficacité.
En revanche, les difficultés rencontrées par le pratiquant, les problèmes de toutes sortes, les échecs sentimentaux ou professionnels, témoigneront d’une pratique incorrecte ou insuffisante. La non-réalisation des désirs de l’adepte ne remettra pas en question le bien-fondé et « l’efficacité » de cette pratique, mais la sincérité de sa croyance et de son engagement. L’absence de résultats n’aura pas pour conséquence d’éloigner l’adepte de cette pratique, mais au contraire de l’enfermer dans une logique le conduisant à pratiquer toujours davantage.
Entre espoir et terreur :
A ce stade, l’attitude de l’adepte pourrait être comparée à celle d’un individu souffrant d’une passion maladive du jeu. En effet, comme le joueur contraint par une pulsion irrésistible à remiser sans cesse dans l’espoir de « se refaire », et d’enfin « rafler la mise », l’adepte s’enferme dans un comportement compulsif qui l’entraîne à pratiquer toujours plus, dans l’espoir irraisonné du « gain » tant espéré. Impossible d’avoir tant perdu pour ne pas finir par gagner. Impossible, après tant d’efforts et de sacrifices, de ne pas obtenir enfin de bénéfices. Ce résultat si merveilleux, si attendu porte un nom, c’est le « kuduku », et son contraire, c’est le « bachi » (prononcer « batchi »). Celui-là, c’est le résultat négatif, celui qui nous tombe dessus parce que l’on a planté des causes négatives. Par exemple, lorsque l’on dit du mal de la pratique, des pratiquants, ou quand d’une façon ou d’une autre on a cherché à nuire à la Soka Gakkai, et le bachi peut être terrible : maladie grave, accident soudain… (…). C’est pourquoi vous ne rencontrez pas de pratiquants pour dénoncer les pratiques de la Soka Gakkai, car ils ont peur du bachi, et puis ils ont fait tant d’efforts pendant tant de temps, qu’ils espèrent qu’un jour, peut-être, ils ramasseront tout de même le kuduku qui changera leur vie en joie (Extrait du témoignage d’une ex-adepte). » L’absence de résultats qui tend à marginaliser l’adepte vis à vis du groupe, le conduit parfois à un véritable déni de la réalité, comme nous l’explique Florence Lacroix : « Si l’adepte n’obtient pas la réalisation de ses désirs, souvent légitimes d’ailleurs, c’est qu’il pratique mal. Alors, un supérieur hiérarchique l’aide à rectifier le tir, mais si ça ne donne rien, la non réalisation de ce désir devient une menace pour la cohésion du groupe. Surtout s’il commence à douter. (…) Il est à un moment où, à force de se voir accusé de ne pas pratiquer correctement, l’adepte culpabilisé va finir par altérer sa propre évaluation de sa situation et peu à peu, abdiquer sa faculté de jugement. Il va en arriver à s’autopersuader que sa situation s’améliore à vue d’œil, que certes ça pourrait aller mieux, mais que ça pourrait aussi être pire. « . Arrêter la pratique signifie pour l’adepte, non seulement renoncer aux bienfaits qu’il aurait pu obtenir en persévérant, mais également perdre tout ce qu’il croit avoir acquis depuis le début grâce à elle. Ayant souvent rencontré l’organisation et commencé à pratiquer alors qu’il traversait une situation difficile, l’idée même de s’en éloigner fait naître en lui une insupportable angoisse, et le laisse en proie à une véritable terreur : « La terreur, c’est quand l’adepte est persuadé que s’il arrête la pratique et sort de la Soka Gakkai, il perdra non seulement ce qu’il aurait pu obtenir dans une pratique « correcte », donc un bienfait virtuel, mais aussi ce qu’il possède déjà, la santé, un revenu minimum, son domicile, son conjoint, etc. Il se sent habité par une peur irraisonnée qui s’étend par cercles concentriques à chacun des domaines de la vie. La terreur est à la mesure de l’espoir dont elle est la face noire. Son jaillissement sanctionne la perte de l’espoir. Autrement dit, l’adepte a le choix entre se claquemurer dans un espoir déréalisant ou éprouver une terreur épouvantable et qui crée une tension bien plus éprouvante. La terreur est mitoyenne de l’espoir, et c’est cette mitoyenneté qui enferme l’adepte dans une déréalisation parfois stupéfiante. Elle est alimentée par les menaces spirituelles faites téléphoniquement ou par courrier aux adeptes qui s’éloignent de la secte. Ils doivent alors s’attendre à développer un cancer, à perdre leur emploi ou leur conjoint, etc. (Florence Lacroix). »
Les dangers du mantra :
Un mantra est une formule sacrée (phrase ou simple syllabe) censée posséder un pouvoir spirituel. L’usage du mantra se retrouve dans l’hindouisme et le bouddhisme (principalement dans le courant « Vajrayana « ). « Le principe est simple : il s’agit de répéter un son, une syllabe ou une phrase à un rythme variable. (…) L’important n’est pas la signification de la phrase prononcée, mais bien la prononciation rituelle du mantra dont l’efficacité résulte de la répétition rythmée du son, soit à haute voix, soit à voix basse, soit encore mentalement (…). » Mais l’emploi du mantra n’est pas anodin et sa répétition forcenée peut présenter des risques : « [le mantra] peut avoir une signification ou non. On le dit et le redit des centaines ou des milliers de fois par jour pour apaiser son esprit et progresser. Mais attention ! Le mantra n’est pas neutre. (…)La fréquence de la répétition doit être adaptée aux possibilités des uns et des autres. S’il est mal dosé, il peut provoquer des troubles : excitation, hallucinations, auto hypnose (…). » De nombreux spécialistes comme le docteur Jean-Marie Abgrall, s’accordent sur les dangers possibles d’une telle pratique : « L’emploi des mantra est une des techniques les plus répandues dans les sectes. Son apparence caricaturale, sa banalisation masquent bien souvent des dangers véritables. Le mot mantra vient du sanscrit « formule sacrée ». Dans les sectes, il est de surcroît un « instrument de pensée. » (…)Cette répétition permet d’obtenir une baisse de vigilance qui peut conduire au sommeil hypnotique, voire à la transe. » On connaît le fameux mantra « Hare Krishna, Hare Krishna, Krishna, Krishna, Krishna, Hare, etc. » des membres de l’A.I.C.K. « La Soka Gakkai (…) utilise largement ce processus de répétition pour ancrer les termes et la doctrine dans le mental, de même que pour impliquer physiquement et psychologiquement le sujet qui consacre par ce biais temps et énergie à la secte. »
La pratique exigée des adeptes de la Soka Gakkai, comme nous l’avons vu, consiste en la récitation de la formule « Nam Myho Renge Kyo », dont la répétition est censée apporter d’innombrables bienfaits et conduire immanquablement au succès désiré. La durée de la récitation peut être variable et peut se voir prolongée pendant des heures en vue d’un résultat déterminé. Ainsi, le pratiquant peut être amené à faire un million de daimoku dans un but précis, ou pour obtenir la solution d’un problème. Une telle pratique peut paraître saugrenue, mais il ne faut toutefois pas en négliger les effets et les dangers, ni « minimiser le phénomène d’hypnose auto-suggestive des mantras répétés à l’infini (parfois durant des heures, des nuits entières. . . ) qui crée une accoutumance et produit un effet aliénant. » S’il est vrai que ces séances de récitation procurent à court terme des sensations d’apaisement et de bien-être, il n’en demeure pas moins qu’elles peuvent fragiliser le psychisme de la personne à son insu, la rendant perméable à toutes formes de suggestions, l’entraînant malgré elle « au seuil de l’auto hypnose, dans une zone où elle perdra tout esprit critique et laissera pénétrer sans le savoir le discours du Maître au plus profond de son subconscient même. »
En revanche, les difficultés rencontrées par le pratiquant, les problèmes de toutes sortes, les échecs sentimentaux ou professionnels, témoigneront d’une pratique incorrecte ou insuffisante. La non-réalisation des désirs de l’adepte ne remettra pas en question le bien-fondé et « l’efficacité » de cette pratique, mais la sincérité de sa croyance et de son engagement. L’absence de résultats n’aura pas pour conséquence d’éloigner l’adepte de cette pratique, mais au contraire de l’enfermer dans une logique le conduisant à pratiquer toujours davantage.
Entre espoir et terreur :
A ce stade, l’attitude de l’adepte pourrait être comparée à celle d’un individu souffrant d’une passion maladive du jeu. En effet, comme le joueur contraint par une pulsion irrésistible à remiser sans cesse dans l’espoir de « se refaire », et d’enfin « rafler la mise », l’adepte s’enferme dans un comportement compulsif qui l’entraîne à pratiquer toujours plus, dans l’espoir irraisonné du « gain » tant espéré. Impossible d’avoir tant perdu pour ne pas finir par gagner. Impossible, après tant d’efforts et de sacrifices, de ne pas obtenir enfin de bénéfices. Ce résultat si merveilleux, si attendu porte un nom, c’est le « kuduku », et son contraire, c’est le « bachi » (prononcer « batchi »). Celui-là, c’est le résultat négatif, celui qui nous tombe dessus parce que l’on a planté des causes négatives. Par exemple, lorsque l’on dit du mal de la pratique, des pratiquants, ou quand d’une façon ou d’une autre on a cherché à nuire à la Soka Gakkai, et le bachi peut être terrible : maladie grave, accident soudain… (…). C’est pourquoi vous ne rencontrez pas de pratiquants pour dénoncer les pratiques de la Soka Gakkai, car ils ont peur du bachi, et puis ils ont fait tant d’efforts pendant tant de temps, qu’ils espèrent qu’un jour, peut-être, ils ramasseront tout de même le kuduku qui changera leur vie en joie (Extrait du témoignage d’une ex-adepte). » L’absence de résultats qui tend à marginaliser l’adepte vis à vis du groupe, le conduit parfois à un véritable déni de la réalité, comme nous l’explique Florence Lacroix : « Si l’adepte n’obtient pas la réalisation de ses désirs, souvent légitimes d’ailleurs, c’est qu’il pratique mal. Alors, un supérieur hiérarchique l’aide à rectifier le tir, mais si ça ne donne rien, la non réalisation de ce désir devient une menace pour la cohésion du groupe. Surtout s’il commence à douter. (…) Il est à un moment où, à force de se voir accusé de ne pas pratiquer correctement, l’adepte culpabilisé va finir par altérer sa propre évaluation de sa situation et peu à peu, abdiquer sa faculté de jugement. Il va en arriver à s’autopersuader que sa situation s’améliore à vue d’œil, que certes ça pourrait aller mieux, mais que ça pourrait aussi être pire. « . Arrêter la pratique signifie pour l’adepte, non seulement renoncer aux bienfaits qu’il aurait pu obtenir en persévérant, mais également perdre tout ce qu’il croit avoir acquis depuis le début grâce à elle. Ayant souvent rencontré l’organisation et commencé à pratiquer alors qu’il traversait une situation difficile, l’idée même de s’en éloigner fait naître en lui une insupportable angoisse, et le laisse en proie à une véritable terreur : « La terreur, c’est quand l’adepte est persuadé que s’il arrête la pratique et sort de la Soka Gakkai, il perdra non seulement ce qu’il aurait pu obtenir dans une pratique « correcte », donc un bienfait virtuel, mais aussi ce qu’il possède déjà, la santé, un revenu minimum, son domicile, son conjoint, etc. Il se sent habité par une peur irraisonnée qui s’étend par cercles concentriques à chacun des domaines de la vie. La terreur est à la mesure de l’espoir dont elle est la face noire. Son jaillissement sanctionne la perte de l’espoir. Autrement dit, l’adepte a le choix entre se claquemurer dans un espoir déréalisant ou éprouver une terreur épouvantable et qui crée une tension bien plus éprouvante. La terreur est mitoyenne de l’espoir, et c’est cette mitoyenneté qui enferme l’adepte dans une déréalisation parfois stupéfiante. Elle est alimentée par les menaces spirituelles faites téléphoniquement ou par courrier aux adeptes qui s’éloignent de la secte. Ils doivent alors s’attendre à développer un cancer, à perdre leur emploi ou leur conjoint, etc. (Florence Lacroix). »
Les dangers du mantra :
Un mantra est une formule sacrée (phrase ou simple syllabe) censée posséder un pouvoir spirituel. L’usage du mantra se retrouve dans l’hindouisme et le bouddhisme (principalement dans le courant « Vajrayana « ). « Le principe est simple : il s’agit de répéter un son, une syllabe ou une phrase à un rythme variable. (…) L’important n’est pas la signification de la phrase prononcée, mais bien la prononciation rituelle du mantra dont l’efficacité résulte de la répétition rythmée du son, soit à haute voix, soit à voix basse, soit encore mentalement (…). » Mais l’emploi du mantra n’est pas anodin et sa répétition forcenée peut présenter des risques : « [le mantra] peut avoir une signification ou non. On le dit et le redit des centaines ou des milliers de fois par jour pour apaiser son esprit et progresser. Mais attention ! Le mantra n’est pas neutre. (…)La fréquence de la répétition doit être adaptée aux possibilités des uns et des autres. S’il est mal dosé, il peut provoquer des troubles : excitation, hallucinations, auto hypnose (…). » De nombreux spécialistes comme le docteur Jean-Marie Abgrall, s’accordent sur les dangers possibles d’une telle pratique : « L’emploi des mantra est une des techniques les plus répandues dans les sectes. Son apparence caricaturale, sa banalisation masquent bien souvent des dangers véritables. Le mot mantra vient du sanscrit « formule sacrée ». Dans les sectes, il est de surcroît un « instrument de pensée. » (…)Cette répétition permet d’obtenir une baisse de vigilance qui peut conduire au sommeil hypnotique, voire à la transe. » On connaît le fameux mantra « Hare Krishna, Hare Krishna, Krishna, Krishna, Krishna, Hare, etc. » des membres de l’A.I.C.K. « La Soka Gakkai (…) utilise largement ce processus de répétition pour ancrer les termes et la doctrine dans le mental, de même que pour impliquer physiquement et psychologiquement le sujet qui consacre par ce biais temps et énergie à la secte. »
La pratique exigée des adeptes de la Soka Gakkai, comme nous l’avons vu, consiste en la récitation de la formule « Nam Myho Renge Kyo », dont la répétition est censée apporter d’innombrables bienfaits et conduire immanquablement au succès désiré. La durée de la récitation peut être variable et peut se voir prolongée pendant des heures en vue d’un résultat déterminé. Ainsi, le pratiquant peut être amené à faire un million de daimoku dans un but précis, ou pour obtenir la solution d’un problème. Une telle pratique peut paraître saugrenue, mais il ne faut toutefois pas en négliger les effets et les dangers, ni « minimiser le phénomène d’hypnose auto-suggestive des mantras répétés à l’infini (parfois durant des heures, des nuits entières. . . ) qui crée une accoutumance et produit un effet aliénant. » S’il est vrai que ces séances de récitation procurent à court terme des sensations d’apaisement et de bien-être, il n’en demeure pas moins qu’elles peuvent fragiliser le psychisme de la personne à son insu, la rendant perméable à toutes formes de suggestions, l’entraînant malgré elle « au seuil de l’auto hypnose, dans une zone où elle perdra tout esprit critique et laissera pénétrer sans le savoir le discours du Maître au plus profond de son subconscient même. »
Une religion qui serait une religion de vérité chercherait la vérité sur la vie en se plaçant directement au coeur de la vie , et ne chercherait pas à en fabriquer une par la foi artificiellement .
Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?
Ecrit le 28 sept.15, 23:32La recitation d'un mantra n'est pas propre à la soka gakkai c'est le principe en autre également du bouddhisme de la terre pure .
Il n'y a absolument rien de dangereux dans cette méditation active , à chacun de l'adapter en fonction de ses capacités Personnellement je pratique depuis 31 ans et en fonction des circonstances je récite le mantra entre 6 mn et 1h / jour maxi et tout va bien .
Nam myoho renghe kyo est comme un excelent médicament , et comme tout médicament la posologie est fonction du patient
Comment pratiquer le bouddhisme de Nichiren ?
Si rien ne s’y oppose, vous pouvez commencer à pratiquer tout simplement chez vous, en vous installant dans un endroit où vous vous sentez à l’aise.
Dans la mesure du possible, la pratique s’effectue assis, le dos droit, la paume des mains jointes et les yeux ouverts. Réciter Nam-myoho-renge-kyo implique seulement de répéter cette phrase en rythme, pendant une durée que vous aurez choisie. Vous mettre face à un mur nu ou devant une bougie peut vous aider à éviter que le regard et l’esprit ne se dispersent trop.
Certains ont pu se sentir un peu gênés à l'idée de se retrouver ainsi assis face à un mur en récitant ces mots étranges et craindre d’avoir l’air idiot. Pourtant, après avoir commencé, intuitivement, ils ressentent la profondeur des mots répétés, et tout sentiment d’embarras disparaît.
La voix
Si vous avez entendu la récitation de Nam-myoho-renge-kyo par des pratiquants plus expérimentés à une vitesse qui vous paraissait difficile à égaler, n’essayez pas de les imiter. Les points importants sont la sincérité, la prononciation et la régularité jour après jour. Le rythme viendra peu à peu.
La lecture de gongyo, elle, nécessite presque toujours l’aide de quelqu’un afin d'apprendre le rythme et la prononciation corrects.
Le volume de la voix n’est pas important. Ce qui importe, c’est d’avoir une voix ferme et claire.
Le temps de pratique
Quant à la durée de la récitation, elle relève uniquement de la décision chaque personne. Nichiren Daishonin encourage à réciter Nam-myoho-renge-kyo « tout son content », à l’égal de ce qui est dit dans le 16e chapitre du Sûtra du Lotus : « Ayant à coeur le désir de voir le bouddha, ils ne donnent pas de leur vie à contrecoeur. »
Le temps peut varier largement selon les circonstances du moment et nos désirs pour l’avenir. A titre indicatif, on peut commencer par dix minutes le matin et le soir (de préférence pas trop tard pour ne pas être fatigué). Ce rythme biquotidien est très important dans la mesure où il fait écho à notre rythme le plus basique : celui du lever et du coucher du soleil.
http://www.soka-bouddhisme.fr/questions ... e-nichiren
La récitation de Nam-myoho-renge-kyo, également appelé Daimoku (« titre » en japonais), est la pratique principale dans le bouddhisme de Nichiren. Elle permet de révéler l’état de bouddha inhérent à la vie, qui se manifeste par l'émergence naturelle de joie, vitalité, courage, sagesse et compassion.
http://culte.soka-bouddhisme.fr/pratiqu ... -renge-kyo
Il n'y a absolument rien de dangereux dans cette méditation active , à chacun de l'adapter en fonction de ses capacités Personnellement je pratique depuis 31 ans et en fonction des circonstances je récite le mantra entre 6 mn et 1h / jour maxi et tout va bien .
Nam myoho renghe kyo est comme un excelent médicament , et comme tout médicament la posologie est fonction du patient
Comment pratiquer le bouddhisme de Nichiren ?
Si rien ne s’y oppose, vous pouvez commencer à pratiquer tout simplement chez vous, en vous installant dans un endroit où vous vous sentez à l’aise.
Dans la mesure du possible, la pratique s’effectue assis, le dos droit, la paume des mains jointes et les yeux ouverts. Réciter Nam-myoho-renge-kyo implique seulement de répéter cette phrase en rythme, pendant une durée que vous aurez choisie. Vous mettre face à un mur nu ou devant une bougie peut vous aider à éviter que le regard et l’esprit ne se dispersent trop.
Certains ont pu se sentir un peu gênés à l'idée de se retrouver ainsi assis face à un mur en récitant ces mots étranges et craindre d’avoir l’air idiot. Pourtant, après avoir commencé, intuitivement, ils ressentent la profondeur des mots répétés, et tout sentiment d’embarras disparaît.
La voix
Si vous avez entendu la récitation de Nam-myoho-renge-kyo par des pratiquants plus expérimentés à une vitesse qui vous paraissait difficile à égaler, n’essayez pas de les imiter. Les points importants sont la sincérité, la prononciation et la régularité jour après jour. Le rythme viendra peu à peu.
La lecture de gongyo, elle, nécessite presque toujours l’aide de quelqu’un afin d'apprendre le rythme et la prononciation corrects.
Le volume de la voix n’est pas important. Ce qui importe, c’est d’avoir une voix ferme et claire.
Le temps de pratique
Quant à la durée de la récitation, elle relève uniquement de la décision chaque personne. Nichiren Daishonin encourage à réciter Nam-myoho-renge-kyo « tout son content », à l’égal de ce qui est dit dans le 16e chapitre du Sûtra du Lotus : « Ayant à coeur le désir de voir le bouddha, ils ne donnent pas de leur vie à contrecoeur. »
Le temps peut varier largement selon les circonstances du moment et nos désirs pour l’avenir. A titre indicatif, on peut commencer par dix minutes le matin et le soir (de préférence pas trop tard pour ne pas être fatigué). Ce rythme biquotidien est très important dans la mesure où il fait écho à notre rythme le plus basique : celui du lever et du coucher du soleil.
http://www.soka-bouddhisme.fr/questions ... e-nichiren
La récitation de Nam-myoho-renge-kyo, également appelé Daimoku (« titre » en japonais), est la pratique principale dans le bouddhisme de Nichiren. Elle permet de révéler l’état de bouddha inhérent à la vie, qui se manifeste par l'émergence naturelle de joie, vitalité, courage, sagesse et compassion.
http://culte.soka-bouddhisme.fr/pratiqu ... -renge-kyo
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
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Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?
Ecrit le 29 sept.15, 00:37Humour Soka :
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Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?
Ecrit le 29 sept.15, 01:14Bonjour coeur de loi,
Merci d'apporter de l'eau au moulin du sujet , et de nous démontrer par cette bande dessinée publiée par la sokka gakkaï que la logique d'endoctrinement de cette secte est tout à fait conforme à l'analyse de ce que j'ai posté en introduction de ce sujet .
On est à mon avis très éloigné de l'enseignement du bouddha et de la pleine conscience dans l'enseignement sokka gakkaï .
Les adeptes de la sokka gakkaï ne méditent pas et justement la méditation vipassana par exemple nous apprend par le fait simplement d'observer en témoin neutre nos pensée nos émotions de façon pleinement consciente à entrer en relation de façon équilibrée avec nous même et les choses , même à entrer en relation intérieurement de façon correcte avec le fait de réciter un mantra .
Réciter un mantra sans l'enseignement de la méditation c'est inévitablement créer une distorsion de la réalité pour le pratiquant .
Voilà pourquoi proner l'unique enseignement d'un seul soutra ( soutra du lotus) sans étudier les autres qui en donnent la clé de lecture et en donnent une vue panoramique d'ensemble d'équilibre de l'esprit est une catastrophe pour le psychique du pratiquant .
Du reste le soutra du lotus dit qu'il est le soutra le plus élevé mais ne dit pas qu'il se suffit à lui tout seul , c'est là l'erreur d'analyse de Nichiren .
D'autres part comme je l'ai dit dans un autre sujet , les historiens et beaucoup de pratiquants émettent de nombreux doutes sur le fait que ce soutra du lotus comme l'ensemble des soutras du mahayana bouddhiste soient des paroles de bouddha , seuls les soutras du hinayana ne sont pas mis en doute comme provenant des paroles du bouddha .Donc la prudence est de mise quand aux soutras du mahayana qui ne doivent pas faire eux seuls matière de vérité pour parler du bouddhisme , ça serait une trop grande prise de risque .
Je ne dis pas que les soutras du mahayanas sont faux , je dis étudions d'abord ceux qui ne sont pas mis en doute pour faire un éclairage des autres et un tri selon la cohérence d'ensemble , c'est du simple bon sens au lieu de faire tout à l'envers .
Merci d'apporter de l'eau au moulin du sujet , et de nous démontrer par cette bande dessinée publiée par la sokka gakkaï que la logique d'endoctrinement de cette secte est tout à fait conforme à l'analyse de ce que j'ai posté en introduction de ce sujet .
On est à mon avis très éloigné de l'enseignement du bouddha et de la pleine conscience dans l'enseignement sokka gakkaï .
Les adeptes de la sokka gakkaï ne méditent pas et justement la méditation vipassana par exemple nous apprend par le fait simplement d'observer en témoin neutre nos pensée nos émotions de façon pleinement consciente à entrer en relation de façon équilibrée avec nous même et les choses , même à entrer en relation intérieurement de façon correcte avec le fait de réciter un mantra .
Réciter un mantra sans l'enseignement de la méditation c'est inévitablement créer une distorsion de la réalité pour le pratiquant .
Voilà pourquoi proner l'unique enseignement d'un seul soutra ( soutra du lotus) sans étudier les autres qui en donnent la clé de lecture et en donnent une vue panoramique d'ensemble d'équilibre de l'esprit est une catastrophe pour le psychique du pratiquant .
Du reste le soutra du lotus dit qu'il est le soutra le plus élevé mais ne dit pas qu'il se suffit à lui tout seul , c'est là l'erreur d'analyse de Nichiren .
D'autres part comme je l'ai dit dans un autre sujet , les historiens et beaucoup de pratiquants émettent de nombreux doutes sur le fait que ce soutra du lotus comme l'ensemble des soutras du mahayana bouddhiste soient des paroles de bouddha , seuls les soutras du hinayana ne sont pas mis en doute comme provenant des paroles du bouddha .Donc la prudence est de mise quand aux soutras du mahayana qui ne doivent pas faire eux seuls matière de vérité pour parler du bouddhisme , ça serait une trop grande prise de risque .
Je ne dis pas que les soutras du mahayanas sont faux , je dis étudions d'abord ceux qui ne sont pas mis en doute pour faire un éclairage des autres et un tri selon la cohérence d'ensemble , c'est du simple bon sens au lieu de faire tout à l'envers .
Une religion qui serait une religion de vérité chercherait la vérité sur la vie en se plaçant directement au coeur de la vie , et ne chercherait pas à en fabriquer une par la foi artificiellement .
Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?
Ecrit le 29 sept.15, 01:26D'abord ce n'est pas une BD de la soka gakkai
Ensuite faire de la méditation silencieuse ne signifie faire du bouddhisme et être conforme au bouddhisme .
Pratiquer la récitation d'un mantra , réciter un sûtra fait partie des pratiques bouddhiques .
Ensuite faire de la méditation silencieuse ne signifie faire du bouddhisme et être conforme au bouddhisme .
Pratiquer la récitation d'un mantra , réciter un sûtra fait partie des pratiques bouddhiques .
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?
Ecrit le 29 sept.15, 01:35C'est un copier coller du site "prévensectes"vic a écrit :L’adepte s’autopersuade ........»
http://www.prevensectes.com/soka13.htm
C'est du trés grand n'importe quoi , caricatural, et faux .
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?
Ecrit le 29 sept.15, 01:39C'est une BD de Fabrice Tarin qui narre de façon humoristique et critique son enfance avec sa mère adepte de la soka gakkai.vic a écrit : Merci d'apporter de l'eau au moulin du sujet , et de nous démontrer par cette bande dessinée publiée par la sokka gakkaï
http://www.fabricetarrin.com/blog/index ... a-gakkai-1
"Une carte n'est pas le territoire" Alfred Korzybski
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Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?
Ecrit le 29 sept.15, 01:44C'est une BD d'un dessinateur, pas de la Soka.
http://www.fabricetarrin.com/blog/index.php?p79
---
Même si c'est un peu de l'auto-persuasion, ce n'est pas forcement dangereux.
Lotus 16 : Proportion des mérites
"Écoute cela, et grave bien dans ton esprit quel immense mérite ils en recueillent. Supposons d'un côté, ô toi qui es invincible, un fils ou une fille de famille qui, désirant obtenir l'état suprême d'Éveillé parfaitement accompli, remplirait, pendant huit myriades de milliers de milliards d'éons, les devoirs des cinq perfections, c'est-à-dire, de la perfection de l'aumône, de celle de la moralité, de celle de la patience, de celle de l'énergie et de celle de la contemplation.
Et d'un autre côté, ô toi qui es invincible, un fils ou une fille de famille, qui après avoir entendu cette indication de la durée de la vie de l'Ainsi-Venu, laquelle est une exposition de la loi, ferait preuve de confiance, ne fut-ce que par un seul acte de pensée, ou qui y ajouterait foi.
Eh bien ! comparée à cette dernière masse de mérites, la première masse de mérites et de vertus acquise par l'accomplissement des cinq perfections pratiquées pendant huit myriades de milliers de milliards d'éons, n'en égale pas la centième partie, ni la millième, ni la cent-millième, ni la dix-millionième, ni la dix-trillionième, ni la quintillionième; la seconde masse de mérites surpasse tout nombre, tout calcul, toute comparaison, toute similitude.
Un fils ou une fille de famille, ô toi qui es invincible, qui est pourvu d'une telle masse de mérites, ne peut jamais se détourner de l'état suprême d'Éveillé parfaitement accompli; non, cela n'est pas possible."
http://lotus.leforum.eu/t3-Le-soutra-du ... art=15#p32
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Les mérites de rendre hommage et de se réjouir du soutra du lotus sont incalculables... selon le Bouddha.
http://www.fabricetarrin.com/blog/index.php?p79
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Même si c'est un peu de l'auto-persuasion, ce n'est pas forcement dangereux.
Lotus 16 : Proportion des mérites
"Écoute cela, et grave bien dans ton esprit quel immense mérite ils en recueillent. Supposons d'un côté, ô toi qui es invincible, un fils ou une fille de famille qui, désirant obtenir l'état suprême d'Éveillé parfaitement accompli, remplirait, pendant huit myriades de milliers de milliards d'éons, les devoirs des cinq perfections, c'est-à-dire, de la perfection de l'aumône, de celle de la moralité, de celle de la patience, de celle de l'énergie et de celle de la contemplation.
Et d'un autre côté, ô toi qui es invincible, un fils ou une fille de famille, qui après avoir entendu cette indication de la durée de la vie de l'Ainsi-Venu, laquelle est une exposition de la loi, ferait preuve de confiance, ne fut-ce que par un seul acte de pensée, ou qui y ajouterait foi.
Eh bien ! comparée à cette dernière masse de mérites, la première masse de mérites et de vertus acquise par l'accomplissement des cinq perfections pratiquées pendant huit myriades de milliers de milliards d'éons, n'en égale pas la centième partie, ni la millième, ni la cent-millième, ni la dix-millionième, ni la dix-trillionième, ni la quintillionième; la seconde masse de mérites surpasse tout nombre, tout calcul, toute comparaison, toute similitude.
Un fils ou une fille de famille, ô toi qui es invincible, qui est pourvu d'une telle masse de mérites, ne peut jamais se détourner de l'état suprême d'Éveillé parfaitement accompli; non, cela n'est pas possible."
http://lotus.leforum.eu/t3-Le-soutra-du ... art=15#p32
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Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?
Ecrit le 29 sept.15, 04:37C'est surtout une aliénation comme en comporte tous les trucs d'auto hypnose hyper intensives , la personne n'a plus le recul sur elle même , l'exemple de l'enjeu et du jeu d'argent est tout à fait probant , la personne ne se rend plus compte qu'elle s'auto hypnose , et que c'est du placébo .Coeur de loi a dit :Même si c'est un peu de l'auto-persuasion, ce n'est pas forcement dangereux.
Moi je ne suis pas contre le placébo ou l'autohyponose quand on a conscience de ce qu'on fait et ce que ça produit sur nous et qu'on en reste lucide et maitre .
Tu as l'auto hypnose médicale par exemple mais les gens savent quand ils écoutent un cd d'auto hypnose pour quoi c'est fait et que ça n'est pas réel tout à fait , que ça n'est qu'une suggestion mentale .
L'auto hypnose ne doit être réservée que dans un certain cadre contrôlé et non être utilisé par des gourous pour manipuler des gens .
Sinon oui dans un cadre bien précis l'auto hypnose peut aider des gens , mais pas en faisant une fixation aussi obnubilatoire comme le font la sokka gakkaï sur un mantra ou sur un seul texte spirituel du bouddha .
Non j'ai fait un copié collé mais pas sur leur site , le texte que je cite est de florence Lacroix , qui a un doctorat en sciences religieuses , elle a fait sa thèse sur la sokka gakkaï .Yvon a dit :C'est un copier coller du site "prévensectes"
Voici le lien où j'ai eu ce texte que j'ai cité sur l'intro de ce sujet :
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q= ... 367Z1dfazQ
Une religion qui serait une religion de vérité chercherait la vérité sur la vie en se plaçant directement au coeur de la vie , et ne chercherait pas à en fabriquer une par la foi artificiellement .
Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?
Ecrit le 29 sept.15, 05:55Pas trés honnête tout ça . Mais bon ça vaut pas grand chose comme thèse .
Rien à voir avec ce que moi et d'autres pratiquants avons vécu depuis 30 ans .
Rien à voir avec ce que moi et d'autres pratiquants avons vécu depuis 30 ans .
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?
Ecrit le 29 sept.15, 06:08Florence Lacroix devenue chef d'entreprise c'est une super référence , et fait autorité en la matière
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?
Ecrit le 29 sept.15, 07:04"C'est un copier coller du site "prévensectes" C'est du trés grand n'importe quoi , caricatural, et faux "
"Pas trés honnête tout ça . Mais bon ça vaut pas grand chose comme thèse ."
"Ensuite faire de la méditation silencieuse ne signifie faire du bouddhisme et être conforme au bouddhisme .Pratiquer la récitation d'un mantra , réciter un sûtra fait partie des pratiques bouddhiques .
Cher Yvon, quand on parle de "prévensectes" vous sortez les crocs, ensuite le texte en référence documente les mécanismes de pratiques détournées de leur sens bouddhique, votre conviction intériorisée par votre pratique mantrique ne vous autorise pas à avoir d'autre réaction, vous dénigrez tout ce qui peut faire de l'ombre au mouvement dont vous assurez la promotion, c'est irrépressible chez vous...
"Pas trés honnête tout ça . Mais bon ça vaut pas grand chose comme thèse ."
"Ensuite faire de la méditation silencieuse ne signifie faire du bouddhisme et être conforme au bouddhisme .Pratiquer la récitation d'un mantra , réciter un sûtra fait partie des pratiques bouddhiques .
Cher Yvon, quand on parle de "prévensectes" vous sortez les crocs, ensuite le texte en référence documente les mécanismes de pratiques détournées de leur sens bouddhique, votre conviction intériorisée par votre pratique mantrique ne vous autorise pas à avoir d'autre réaction, vous dénigrez tout ce qui peut faire de l'ombre au mouvement dont vous assurez la promotion, c'est irrépressible chez vous...
Modifié en dernier par algol-x le 29 sept.15, 08:27, modifié 1 fois.
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Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?
Ecrit le 29 sept.15, 07:56Je peux témoigner également du bienfait de cette pratique .
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
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Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?
Ecrit le 29 sept.15, 08:12Vous la connaissez ?Yvon a écrit :Florence Lacroix devenue chef d'entreprise c'est une super référence , et fait autorité en la matière
Donnez des preuves à vos argumentaires .
IL existe peut être plusieurs florence Lacroix dont une est chef d'entreprise , mais quelle preuve avez vous qu'elle est actuellement dans un autre métier que la science des religions ?
On voit que vous dites tout et n'importe quoi pour tenter de noyer le poisson .
Voilà la preuve qu'elle a passé sa thèse sur la science des religions sur le thème de la sokka gakkaï :
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q= ... npI_teXj4A
Une religion qui serait une religion de vérité chercherait la vérité sur la vie en se plaçant directement au coeur de la vie , et ne chercherait pas à en fabriquer une par la foi artificiellement .
Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?
Ecrit le 29 sept.15, 08:47Il suffit de demander voici la preuve :
https://fr.linkedin.com/pub/florence-lacroix/22/13/97
Et regardez dans sa formation .
Je ne dis pas n'importe quoi c'est vous qui prenez des vessies pour des lanternes .
https://fr.linkedin.com/pub/florence-lacroix/22/13/97
Et regardez dans sa formation .
Je ne dis pas n'importe quoi c'est vous qui prenez des vessies pour des lanternes .
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
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