kaboo a écrit :L’origine du mot «chrétien» remonte à une insulte à caractère homophobe – dirions nous aujourd’hui – lancée par les détracteurs de l’Evangile et de l’église naissante dans la ville d’Antioche en Syrie, au premier siècle de notre ère (Actes 11.26).
Oui, "chrétien", c'est "le pommadé", sans aucun problème. Nous avons des dictionnaires grecs de la koiné d'il y a 2000 ans, pour comprendre ce grec de la rue parlé partout.
Il n'y a pas d'onction religieuse en grec, rien. Tout juste christos, enduire. On peint un mur, il est christos. Une femme se pommade, elle est christos. On renverse de l'huile par terre, le sol est christos. "Du goudron et des plumes", c'est un christos. C'est la même insulte. Cela est venu en Amérique avec les protestants qui maitrisaient le grec tandis que les catholiques maitrisent mieux le latin. Pour humilier les non croyants, on leur répandait cette gomme gluante avec des plumes pour les railler.
Pour les chinois, on coupait la nate mandchoue, ce qui les condamnait à mort dans leur clan car le port était rendu obligatoire.
Pour les amérindiens, apprenant qu'ils allaient au pays des prairies éternelles avec leur plus belle chevelure, ils ont inventé le scalp, pour les terrifier de ne pas aller dans leur paradis. Horrible, non ?
Le crime de masse a été inventé avec les romains sous Néron, amplifié par Marc Aurèle qu'on enseigne être un bon philosophe. Ce fut un terrifiant massacreur, pire que son fils Commode. Des monstres.
Le crime moderne de masse fut inventé par les anglais, avec l'alcool aux indiens qui s'y détruisirent. Aux chinois, avec leur guerre de l'opium... Les anglais n'enseignent pas cela dans leurs écoles, mais je vous prie de croire que les chinois l'enseignent obligatoirement à tous les enfants.
--> On a donc, au nom de Jésus, de Jehovah, de Dieu, du roi, de l'empereur, massacré des gens parce qu'ils croient en l'amour. L'homophobie existe !
Les TJ ont été massacrés en Europe, presque totalement exterminés dans les camps de concentration. Pourquoi on ne l'enseigne pas ? La haine est restée, et revient.