Salut;
J'ai trouvé ! Eurêka !
Gabriel Ange ne s'intéresse pas aux cas particuliers.
Forcément il n'est pas médecin ni infirmier... et pour cause.IL est dès lors assez facile de disposer de la vie ou de lamlort ou de la souffrance d'autrui , de s'en décharger sur les autres, quitte à les pourfendre des flammes de l'enfer biblique.
Mais il y a une évidence (quand je dis UNE,c'est un euphémisme
) qui échappe totalement à Gabriel Ange, c'est que les médecins, les infirmers ne s'occupent que d'individus particuliers et non de "chiffres" ou de statisques sous forme de tableau ou de textes de lois.
Le médecin ou le staff infirmier doit agir dans les "normes légales" produites par des législateurs qui doivent avoir le souci du bien commun le plus large possible.
On a vu dernièrement le jusqu'au-boutisme" de l'iman particulier du président Yasser Arafat qui disait qu'il n'était pas question de participer médicalement à sa mort . C'est Allah seul qui décide de la vie et de lamort d'un individu.
En rtant que chrétien, nous sommes bien d'accord là dessus. Mais tant qu'un individu, qu'on appelle malheureusement en médecine un "patient" (du latin patiens = celui qui souffre), est vivant il apparteint au "monde" et sa souffrance doit pouvoir être amoindrie ou abrégée dans les cas extrême pour l'excellent raison que latechnique médicale a évolué en ce domaine. Cela ressort de la responsabilité du corps médical de tout faire, aujourd'hui plus qu'hier, pour le confort du malade (aure mot malheureux car lemot indique que l'individu est atteint par le Mal, conception liée au péché héritée de l'antiquité).
Je ne dirais pas comme Désertdweller, attndons que tu sois atteint d'un cancer... mais ce qu'il dit est loin d'être une pure banalité: je suis d'accord avec lui pour dire qu'il faut se soucier de l'autre en pensant à soi-même. Il s'agit d'une éthique beaucoup plus exigente car elle n'est pas une éthique de cabinet", càd uneéthique purement formelle et théorique.
Certes, la loi doit être généraliste,mais cele-ci doit être au service de l'homme etnon d'une cause. Il faut toujours rester "humaniste",proche de l'homme.
L'euthanasie, puisqu'il s'agit de cela, est une forme extrême de mort et rare en l'espèce. On doit pouvoir légiférer largement et enthéorie tout en laissant l'appréciation définitive au corps médical. car, qu'on ne s'y méprenne point, la décision finale, si ellle apparteien en terme de responsabilité, au médecin en chef, la décision est toujours collective après plusieurs réunions d'oùla famille nepeut être absente. C'esttoujours une dcision douloureuse et jamais un acte banalisé.
Je ne te souhaite pas d'êtr médecin, Gabreil Ange et si possible, j'éviterais ton hôpital si je devais tomber dans tes pattes... Tu es un fanatique de la pire espèce. excuse-moi d'être u peu brutal, mais c'est l'image que tu donnes de toi... en plus d'être antiprotestant, antioécuménique etc.
Bon dimanche quand même.