le déesquilibre de l'équilibre civile.

[IIuowolus]

Aujourd'hui, je vais tenter de vous expliquer l'importance de la dualité dans un monde évolutifs.

Prennonds le fidéle, celui qui croie en la société ou en une religion.
Tout ça vie, il va se contenter d'agir au mieux sans savoir pourquoi
et serras l'exemple typique du bon mouton.

Parlons un peu du berger, imaginons notre bon mouton qui deviends prêtre et qui de sa position centrale va arranger tout les histoires de
ses fidéles.

Dans nos grandes ville le travail dans l'ombre du berger et assez modeste
car tout fidéle peu changer de berger facilement et les berger son plutot les patron et l'état.

Au contraire dans un petit village ou dans un communauté on se retrouve rapidement dans la position de Don Camillo à jongler avec les humeurs des gens pour parvenir à maintenir un équilibre de bon voisinage, en finalité n'as que noyé le poisson et detourné ou caché une réalité.

rien de matériellement rationelle ou de cause à effet peu justifier ou calculer un tel comportement, puisque la matiere ne nous influence pas,à part l'electricité, le nuclaire et les poisons, mais ceux-ci n'atteigne que le corps et certain esprit fort sont totalement capable de prendre sur eux.

Pour terminer de chapeauté ces régles et loi hasardeuse nous bénéficions du libre arbitre, qui rends toutes reglés prédéterminable inderterminable.

ainsi par fièreté ou part compassion nous sommes capable de passée aux dessus du mal et du bien que nous ressentons par empathie.

Même le malade imaginaire va influencer la force de sa maladie en fonction de son libre arbitre lui même piloté par son humeur.

L'humeur, voilà notre dualité intérieur qui influence toutes celle qui nous arrive.

de bonne humeur nous supportons des choses qui de mauvais humeur on le don de nous irrité, certain fois l'amour nous mets tellement de bonne humeur ou d'euphorie que plus rien n'existe à par l'autre.

Comble de malchance, contrairement à la génétique dans un mélange d'idée ou de pensée c'est la plus négatives qui prends le dessus et les noir qui l'emporte dans 3 combinaison sur 4.

l'être humain est fasciné par la race pure de corps et d'esprit, il ne recherche que la qualité et les lignes droites.

ainsi tout solution qui apporte le même résultat, mais qui ne suis pas
un esprit de pureté totale et totalement écarte pour son manque de pureté.

L'être humains en tire de généralité et ne garde ce qu'il y a de bien...

la société et conne, il y a que la fraternité et la solidarité qui compte
c'est le discours que l'on entends.

mais un jour ou l'autre cette même solidarité vous mettras au pied de cette société conne car la frateternité et le sociale englobe tout le monde et ne laisse derrière elle aucun laisser pour compte.

les religions tient exactement ce même discour dans notre eglise c'est bien ailleurs c'est pas bien, il faut surtout pas s'accoquiner avec les impures, mais un fois intégrer il vous faudra aussi allez chez de nouveau adepte parmis ses impures, voir dans le camps adverse, tout ça dans l'idée de les sauver et de faire le bien, alors que dans les faits les gens deteste être aider et préférent comprendre les chose par eux même et aux pires, il viennent d'eux même demander de l'aide.

Autre paradoxe, quand les gens viennent demandez de l'aide automatiquement on vois des bon à rien et on leur faire notre porte
alors qu'il ne demande qu'à parlez comprendre et s'en sortir toujours par eux-même avec vos précieux conseil.

Aux lieu de celà on repars sur des généralités et on demande à des alcooliques d'aller bosser, à des malades d'allez mieux et j'en passe.

on crée des généralité partout c'est ce qui nous aide à être certain d'être dans le bon chemin, alors pour courroner le tout on fait tout celà à notre échelle pour un monde meilleur, alors que ouvertement nous passons notre journée à le dénigrez et à chercher les failles du systèmes pour conserver un espace vitale de liberté.

Cette premiere dualité, c'est la construction du moi aux travers de la réalité donc le monde extérieure et les autres.

C'est la dessus que nous jouons la carte l'esprit de compétition
comme tout chose crée sont contraire dans le monde des esprit et des energies, cette otion de dévellopement personelle et enfermer par un autre dualité que nous appellons le "quand-diras-t-on"
Enfant nous regardions la vie, Adulte la vie nous regarde.

c'est ce reflets de sois-même qui premets d'évoluer.
le probléme c'est qu'il est enfermer entre le je n'arrive pas être moi
et j'ai peur de ce que les autres pense de moi.
Tout ça parce que notre référence n'est pas notre recherche de bonne humeur personnelle, mais une quête vers la perfections morale que la somme sociataire ne réprésente pas.

Tout le monde se juge n'ont pas en connaissance de soi-même
mais en connaissance de la perfection, ainsi l'intelligent à toujours matières à critiquer puisqu'il se référence à une image mentale qu'il pense le reflet de l'ordre morale de notre société.

l'exemple le plus frappant et la manières d'on les gens se lance dans une nouvelle entreprise, tête baisser comme un sprotifs de haut-niveaux sans entrainement, sans masseu, sans medécin et dans des course de niveaux professionelles.

Cela en est tellement une obsession que celui qui entreprendre de changer de régimes s'effrondreras des le premier jours ou il n'auras pas reussis à boucler son planning ou perdre 100 grammes ou à la premier faiblesse.

D'entrée l'homme ce mets en situation d'échec, car il affabulle sur tout les qualités, les améliorations et les astuces qu'il pourrais trouvé ou ajouter
pour transformer la réalité actuelle du produit en produit finals qui en fonds ses buts et motivation et on touche qu'au passionelle sans rentrée dans la vocation.

Par exemple, on idéalise trop notre avenir, notre futur femme, notre mariage, ce qui rends les tâches à accomplir et les connaissance à acquérir tellement grands immense qu'elle nous déborde rien qu'à y penser.

en résumé:
nous tirons des généralité sur
la morale
le comportement
l'energie investis
ce qui est bien pour les autres.
Tout ça en vue de contrôler notre humeur pour accerde au bonheur.

Mais si on joue le jeu de tous qu'on écoute tout le monde et qu'on ne travaille pas au cas par cas alors la morale remplace l'humeur et le bien-être et chacun deviends la police et le justice.

si nous tirons des généralités comportementales, nous restons dans les carcan des stéréotypes et là ou cercle est fragile et l'action possible notre amertume nous empêche de voir que tout est possible.

Si on format l'energie investis alors la socitété stress et cherche des contre partis emotionelle bénéfique ou vicieuse, mais pour un mal nous cherchons la mélancolie plutot que la sagesse.

Si on cherche à contrôler son humeur alors on se laisse pas vivre et on ne peux pas se laisser aller et oublier tout celà pour toucher ou être touchée par la beauté et la grace des choses.

En conclusion:

les haut et les bas qui nous arrive dans la vie ne sont que des vues d'esprit induite par les émotions du corps que l'on peu aplanir en acceptant la leçon que la vie nous offre.
si la prochaine fois nous respectons ses principes de vie alors nous verrons le temps se gater et nous aurrons le temps de se mettre à l'abris
et avec le sagesse et l'expérience, nous aquérons le pouvoir d'anticiper.

Avec le temps vous découvrirez que la souffrance ressentis et un moteur dualitaire qui motive l'esprit vers des jours meilleurs ou à comprendre quand il sont impossible, bien plus puissament que n'importe laquels des motivations ou des intêrets.

C'est pour ça que nous acceptons les gens qui reconnaissent leur erreur
car il sont conscient et souffre et sont sur la voie du changement.

c'est pour celà que certaine fois des érudits qui pense ainsi se réjouissent
de leur bêtise et de leur periode noir et que certain vont même la recherchez comme les fakir ou les ascétes.

le livre "lettre à un jeune poête" de Maria Rilke Meier est un chef d'oeuvre d'independance qui partâges notre solitude mais qui replace l'humain dans son contexte de créateur solitaire et incompris de sa destinée qui posséder en lui tout les ressources nécessaires à l'accomplissement de plein de chose imnimagiable et complétement impossible et qui nécessite de se saigner, de sortir ses tripes, de douter, de renier et de souffrir pour amener nos idées dans la réalités et les concétisers.


Pour terminer je citerais un menuisier suisse partie vivre et aider aux Brésil qui disait sur une radio:

"les gens veulent faire le bien, mais on ne savent même pas faire le mal quand il le faut ou le reconnaître, alors comme peuvent-il être sur d'être bon quand il le faut..."