témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
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Le courant bouddhisme mahāyāna, terme sanskrit signifiant « Grand Véhicule » apparaît vers le 1er siècle de notre ère dans le Nord de l’Inde. Actuellement le bouddhisme mahayana a une forte présence en Chine, au Tibet, au Japon au ve siècle, en Corée en 372, au Viêtnam, à Singapour et Taïwan. La tradition du Mahayana, met l’accent sur la pratique altruiste du bodhisattva comme moyen pour parvenir à l’éveil, à la fois pour soi-même et pour les autres.
Le courant bouddhisme mahāyāna, terme sanskrit signifiant « Grand Véhicule » apparaît vers le 1er siècle de notre ère dans le Nord de l’Inde. Actuellement le bouddhisme mahayana a une forte présence en Chine, au Tibet, au Japon au ve siècle, en Corée en 372, au Viêtnam, à Singapour et Taïwan. La tradition du Mahayana, met l’accent sur la pratique altruiste du bodhisattva comme moyen pour parvenir à l’éveil, à la fois pour soi-même et pour les autres.
Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 29 avr.18, 06:12[Edit]
Modifié en dernier par Yvon le 29 avr.18, 07:42, modifié 1 fois.
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 29 avr.18, 06:28Message effacé par mes soins !
Modifié en dernier par algol-x le 30 avr.18, 22:55, modifié 2 fois.
"Une carte n'est pas le territoire" Alfred Korzybski
Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 29 avr.18, 07:43[Edit]
Modifié en dernier par kaboo le 30 avr.18, 12:12, modifié 1 fois.
Raison : Merci de rester courtois.
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Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 29 avr.18, 09:55Je me souviens que j'ai pratiqué à fond pour faire face à une situation financière difficile sans résultats. C'était douloureux et frustrant, et les membres ne cessaient de me demander si je pratiquais assez ou de manière cohérente. C'est curieux, ont-ils dit , puisque je faisais gongyo deux fois par jour et que je pratiquait pendant des heures. On m'a aussi dit de faire plus d'activités. Super, puisque je prenais une heure et demie pour aller au centre-ville de Chicago au centre SGI.
Quand j'ai quitté le SGI, un ami adepte m'a dit la raison pour laquelle ils harcèlent les gens pour qu'ils reviennent. Il m'a dit quelque chose à propos des gens qui ont des malheurs ou qui se suicident . Bizarre que l'ami d'un ami se soit suicidé alors qu'il était encore membre !
Je suis aussi fatigué du terme «mystique» chaque fois que les choses semblent se passer en douceur pendant une journée. La psychologie a montré que lorsque nous établissons des intentions de succès et agissons, le succès arrive, pas besoin d'un mandala ou d'un mantra. C'est nous qui augmentons nos possibilités de faire mieux.
Nous avons avec ma mère, pratiqué pendant des heures et des heures tous les jours. Je dormais sur une chaise comme elle. Nos vies ne se sont jamais améliorées, pas d'un seul centimètre. Des choses pénibles nous sont arrivée , aucun membre n'a voulu nous aider et on a blâmée ma mère sous le prétexte qu'elle n’étudiait pas suffisamment ou quelle ne participait pas assez aux réunions.
Dans les réunions j'étais déprimée parce que nos vies semblaient nulles et que la pratique mantrique n'était pas efficace. Je pensais juste que c'était mon quartier et déménagé à des milliers de kilomètres de là et je pensais que ce serait différent, mais la vie est intrinsèquement injuste et pleine de souffrance. Nous allons de l'avant avec des événements aléatoires combinés avec un travail acharné, Je ne connais pas d'autre moyen, la pensée positive m'aide à faire face aux échecs, mais cela n'amène certainement pas le succès.
Mais cependant je vais mieux, j'ai des moments aléatoires où je pense à réciter le mantra mais je ne le fais pas..
https://www.reddit.com/r/SGIcultRecover ... ?context=3
Quand j'ai quitté le SGI, un ami adepte m'a dit la raison pour laquelle ils harcèlent les gens pour qu'ils reviennent. Il m'a dit quelque chose à propos des gens qui ont des malheurs ou qui se suicident . Bizarre que l'ami d'un ami se soit suicidé alors qu'il était encore membre !
Je suis aussi fatigué du terme «mystique» chaque fois que les choses semblent se passer en douceur pendant une journée. La psychologie a montré que lorsque nous établissons des intentions de succès et agissons, le succès arrive, pas besoin d'un mandala ou d'un mantra. C'est nous qui augmentons nos possibilités de faire mieux.
Nous avons avec ma mère, pratiqué pendant des heures et des heures tous les jours. Je dormais sur une chaise comme elle. Nos vies ne se sont jamais améliorées, pas d'un seul centimètre. Des choses pénibles nous sont arrivée , aucun membre n'a voulu nous aider et on a blâmée ma mère sous le prétexte qu'elle n’étudiait pas suffisamment ou quelle ne participait pas assez aux réunions.
Dans les réunions j'étais déprimée parce que nos vies semblaient nulles et que la pratique mantrique n'était pas efficace. Je pensais juste que c'était mon quartier et déménagé à des milliers de kilomètres de là et je pensais que ce serait différent, mais la vie est intrinsèquement injuste et pleine de souffrance. Nous allons de l'avant avec des événements aléatoires combinés avec un travail acharné, Je ne connais pas d'autre moyen, la pensée positive m'aide à faire face aux échecs, mais cela n'amène certainement pas le succès.
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Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 30 avr.18, 02:00Toujours du trés grand mensonge
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Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 30 avr.18, 02:50Merci pour ces témoignages d'anciens membres, la réaction qu'ils suscitent rappelle celle des communistes dans les années 50, quand certain(e)s sont revenus d'URSS disant que ce n'était pas le paradis annoncé. Les militants les plus acharnés, leurs sont tombés dessus pour les insulter et les accuser de tout les maux, trahison, mensonge, dépression, délire, problème psychiques...algol-x a écrit :Je me souviens que j'ai pratiqué à fond pour faire face à une situation financière difficile sans résultats. C'était douloureux et frustrant, et les membres ne cessaient de me demander si je pratiquais assez ou de manière cohérente. C'est curieux, ont-ils dit , puisque je faisais gongyo deux fois par jour et que je pratiquait pendant des heures. On m'a aussi dit de faire plus d'activités. Super, puisque je prenais une heure et demie pour aller au centre-ville de Chicago au centre SGI.
Quand j'ai quitté le SGI, un ami adepte m'a dit la raison pour laquelle ils harcèlent les gens pour qu'ils reviennent. Il m'a dit quelque chose à propos des gens qui ont des malheurs ou qui se suicident . Bizarre que l'ami d'un ami se soit suicidé alors qu'il était encore membre !
Je suis aussi fatigué du terme «mystique» chaque fois que les choses semblent se passer en douceur pendant une journée. La psychologie a montré que lorsque nous établissons des intentions de succès et agissons, le succès arrive, pas besoin d'un mandala ou d'un mantra. C'est nous qui augmentons nos possibilités de faire mieux.
Nous avons avec ma mère, pratiqué pendant des heures et des heures tous les jours. Je dormais sur une chaise comme elle. Nos vies ne se sont jamais améliorées, pas d'un seul centimètre. Des choses pénibles nous sont arrivée , aucun membre n'a voulu nous aider et on a blâmée ma mère sous le prétexte qu'elle n’étudiait pas suffisamment ou quelle ne participait pas assez aux réunions.
Dans les réunions j'étais déprimée parce que nos vies semblaient nulles et que la pratique mantrique n'était pas efficace. Je pensais juste que c'était mon quartier et déménagé à des milliers de kilomètres de là et je pensais que ce serait différent, mais la vie est intrinsèquement injuste et pleine de souffrance. Nous allons de l'avant avec des événements aléatoires combinés avec un travail acharné, Je ne connais pas d'autre moyen, la pensée positive m'aide à faire face aux échecs, mais cela n'amène certainement pas le succès.
Mais cependant je vais mieux, j'ai des moments aléatoires où je pense à réciter le mantra mais je ne le fais pas..
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Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 30 avr.18, 06:29algol-x a écrit :Je me souviens que j'ai pratiqué à fond pour faire face à une situation financière difficile sans résultats. C'était douloureux et frustrant, et les membres ne cessaient de me demander si je pratiquais assez ou de manière cohérente. C'est curieux, ont-ils dit , puisque je faisais gongyo deux fois par jour et que je pratiquait pendant des heures. On m'a aussi dit de faire plus d'activités. Super, puisque je prenais une heure et demie pour aller au centre-ville de Chicago au centre SGI.
Quand j'ai quitté le SGI, un ami adepte m'a dit la raison pour laquelle ils harcèlent les gens pour qu'ils reviennent. Il m'a dit quelque chose à propos des gens qui ont des malheurs ou qui se suicident . Bizarre que l'ami d'un ami se soit suicidé alors qu'il était encore membre !
Je suis aussi fatigué du terme «mystique» chaque fois que les choses semblent se passer en douceur pendant une journée. La psychologie a montré que lorsque nous établissons des intentions de succès et agissons, le succès arrive, pas besoin d'un mandala ou d'un mantra. C'est nous qui augmentons nos possibilités de faire mieux.
Nous avons avec ma mère, pratiqué pendant des heures et des heures tous les jours. Je dormais sur une chaise comme elle. Nos vies ne se sont jamais améliorées, pas d'un seul centimètre. Des choses pénibles nous sont arrivée , aucun membre n'a voulu nous aider et on a blâmée ma mère sous le prétexte qu'elle n’étudiait pas suffisamment ou quelle ne participait pas assez aux réunions.
Dans les réunions j'étais déprimée parce que nos vies semblaient nulles et que la pratique mantrique n'était pas efficace. Je pensais juste que c'était mon quartier et déménagé à des milliers de kilomètres de là et je pensais que ce serait différent, mais la vie est intrinsèquement injuste et pleine de souffrance. Nous allons de l'avant avec des événements aléatoires combinés avec un travail acharné, Je ne connais pas d'autre moyen, la pensée positive m'aide à faire face aux échecs, mais cela n'amène certainement pas le succès.
Mais cependant je vais mieux, j'ai des moments aléatoires où je pense à réciter le mantra mais je ne le fais pas..
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Certes ! la dialectique des organisations totalitaire se ressemblent, en ex-urss les opposants étaient internés en HP, la soka gakkai les traitent de malades mentaux !zeste de savoir a écrit :Merci pour ces témoignages d'anciens membres, la réaction qu'ils suscitent rappelle celle des communistes dans les années 50, quand certain(e)s sont revenus d'URSS disant que ce n'était pas le paradis annoncé. Les militants les plus acharnés, leurs sont tombés dessus pour les insulter et les accuser de tout les maux, trahison, mensonge, dépression, délire, problème psychiques...
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Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 30 avr.18, 08:01zeste de savoir a écrit :Merci pour ces témoignages d'anciens membres, la réaction qu'ils suscitent rappelle celle des communistes dans les années 50, quand certain(e)s sont revenus d'URSS disant que ce n'était pas le paradis annoncé. Les militants les plus acharnés, leurs sont tombés dessus pour les insulter et les accuser de tout les maux, trahison, mensonge, dépression, délire, problème psychiques...
Les structures totalitaires ont tendance à attirer le même genre d'individus qui finissent par générer les mêmes comportements !algol-x a écrit :
Certes ! la dialectique des organisations totalitaire se ressemblent, en ex-urss les opposants étaient internés en HP, la soka gakkai les traitent de malades mentaux !
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Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 13 mai18, 04:12Comment je suis finalement devenu "Taitan" :
J'étais un nouveau venu à Los Angeles en 1985 - j’étais parti de New York pour étudier la musique et jouer dans des groupes de rock. Je n'avais rien, je ne possédais rien. Aucun argent, aucune propriété, j’étais parti du collège pour déménager là-bas et me débrouiller par moi meme.
Je n'avais aucune famille ou amitié là-bas. J'étais complètement seul dans une grande ville à l'âge de 20 ans.
(C'est l'état vulnérable typique de ceux qui rejoignent SGI, rarement les personnes en bonne santé avec des liens sociaux forts.)
Donc, après avoir reçu mon gohonzon au Temple de Los Angeles en 1986, et l'encouragement que non seulement cela m'aiderait à survivre et m'apporter ce dont j'avais besoin, cela pourrait aussi «faire de mes rêves une réalité». Avec ces choses à l'esprit, j'ai commencé un voyage de près de 3 ans de pratique difficile.
La SGI est devenu à peu près toute ma vie sociale, et ma "famille". J'ai fait tout ce qu'il fallait pour, et ce pour plusieurs raisons, mais le fait d'avoir simplement des contacts humains et de faire partie d'un lieu où je pouvais aller et avoir des relations sociales y était pour beaucoup.
Mais surtout ... des choses se sont passées quand j'ai pratiqué et parlé aux gens. Des choses inhabituelles. Synchronicités.
Oui, je vois maintenant les vérités évidentes de la "rationalisation en arrière" et du "biais cognitif" (SI quelque chose de bien se passe, c'est parce que vous avez pratiqué ... SI cela n'arrive pas ou quelque chose de douloureux arrive parce que c'est votre karma "OU" vous le faites dans le mauvais sens "). Ces distorsions cognitives font partie de la nature humaine et sont inévitables ...
Cependant, je suis et ai toujours été hyper vigilant à ne pas croire en B.S, et en esprit critique comme un scientifique: j'ai plongé profondément dans la pratique pour la tester. S'il y avait quelque chose, j'étais sacrément déterminé à le savoir, indépendamment de toute organisation.
Donc, des choses sont arrivées. Parfois c'était bizarre, parfois hilarant, parfois douloureux, parfois profond, et toujours profondément lié aux problèmes de ma vie concernant la société, les gens, les émotions, l'argent, l'amour. Et donc j'ai continué.
Au fil du temps, j'ai commencé à remettre en question toutes les choses dont vous et d'autres avez parlé dans ce fil. La pression constante pour se conformer et à faire de plus en plus d"activités", et le manque de considération pour mes propres besoins personnels et d'avoir une vie en dehors de SGI. La pression constante pour se conformer à la structure organisationnelle, leur façon de penser, leur façon de percevoir la réalité.
Les personnes que j'ai côtoyées dans l'organisation, que j'ai appelées "drones organisationnels": utilisaient toujours « le discours particulier à la SGI" et "le maniérisme SGI". En communiquant avec eux, je revenais de plus en plus avec l'impression d'avoir affaire à des automates. Une de ces choses que vous voyez dans l'exposition présidentielle à Disney.
Comme si à un moment précis, ils avaient complètement cessé de penser par eux-mêmes et de développer une personnalité indépendante ... ou ils n'étaient jamais assez forts pour commencer à avoir un véritable "esprit de recherche" ou découvrir qui ils étaient uniques. Cela m'a vraiment dérangé. Parce que cela a été et a toujours été l'une de mes bêtes noires (SOYEZ-VOUS et ne soyez pas faux), parce que je peux sentir instinctivement l'hypocrisie à un km.
Mais j'avais mes propres problèmes avec l'argent, des filles, et d'autres choses et ... j'avais ces expériences personnelles ... et donc comme une carotte sur un bâton, la pratique était toujours là, créant l'espoir que je plantais les causes de changer ma vie à un niveau très profond. Et donc j'ai continué à courir après cette carotte malgré mes doutes.
Les plus assidus dans la pratique me connaissaient personnellement, connaissaient mes doutes, les acceptaient comme naturels, me donnaient un feedback sur les choses que je vivais (« La chose la plus importante est ton lien avec le Gohonzon: continue de chanter et de faire du shaka-buku et tu réussiras, tu verras ") ... ils m'ont donné des encouragements qui s'appliquaient à ma situation et cela m'a aussi permis de continuer.
Vers 1987 ou 1988, il y a eu un grand voyage à Seattle. J'étais un AMJ (Division des jeunes hommes), et ils nous préparaient à partir. Mais j'étais fauchéé. A l'époque je vivais à West LA dans une maison avec 5 autres personnes - non membres - et un jeune, Larry,qui était membre - mais le reste était des étudiants etc - et c'était une maison de fous, une maison de fête, des colocataires emménageant et partant chaque semaine. J'ai oublié qui était sur le bail ou même si nous en avions un.
Nous avons eu le projet de faire un show où nous faisions une pyramide humaine sur des patins à roulettes. Apparemment nous cherchions à battre le record du monde en faisant cela, lol.
Parce que je suis un grand gars (plus de 1,80), cela m'a mis au niveau inférieur avec les autres grands. Je portais les patins, avec un panneau sur l'épaule que tous les autres niveaux pouvaient supporter. Et donc nous ferions ces activités un week-end, où nous serions traînés hors du lit à 5 heures du matin !
"Défiez votre négativité! C'est une bonne cause pour Kosen Rufuuuu !!!!" arg!) c'est à dire, allez quelque part, pratiquer, faire de la gymnastique en grands groupes tôt le matin, puis nous tuer au soleil alors que les gars grimpaient sur les planches (avaient-ils une assurance lol? Je n'en ai aucune idée).
Et tout le long du chemin, je leur ai dis que j’étais fauché. Et ils continuaient de me dire que je plantais la cause qui me permettrai de sortir de ma situation financière actuelle. Que c’était le cas, parce que c'était lié à la pratique de travailler avec d'autres pour changer le karma du monde, que cela influencerait directement ma situation personnelle. Ils semblaient assez sûrs d'eux-mêmes. Alors j'ai continué à y croire.
Quand le temps est venu de payer pour le billet d'avion et le coût du voyage (qui était d'environ 400 $ je crois) - j'ai atteint le stade où je devais prendre une décision. J'avais déjà investi tout ce temps de sang de sueur et de larmes dans cette activité folle. J'avais vraiment, vraiment de sérieux problèmes avec l'argent et aussi avec ma vie quotidienne. Je pouvais soit :
A) Faire la chose responsable et payer mon loyer, ou
B) Faire confiance à la pratique ... et espérer un miracle.
J'ai reçu des conseils de tout le monde. Mes dirigeants de district, les chefs de section, les hauts dirigeants ... ils ont tous dit la même chose. "Allez-y, cela va changer votre karma!"
Alors je leur ai donné l'argent et je m'envolais pour Seattle …
... et ainsi, vers la fin de l'été de (1988?) j'ai remis tout mon salaire - tout l'argent que j'avais au monde - la somme d'environ 400 - 500 $ ou plus - à mes chefs de chapitre et nous nous sommes tous retrouvés prêts pour monter à bord d'un avion afin de participer à cette grande réunion commémorant "une chose ou une autre à voir avec la paix dans le monde" à Seattle.
À l'époque, je vivais à Brentwood, à West Los Angeles, près de Wilshire et de Brentwood Ave, à environ un kilomètre et demi du centre communautaire de Santa Monica. Je vivais dans cette maison avec une rotation de personnages, des étudiants et des jeunes au hasard qui avaient répondu à l'annonce pour l'endroit, seul un de mes colocataires était un membre aussi, Larry qui est aussi allé à Seattle avec nous si je me souviens bien.
Je travaillais pour un fleuriste de la ville de Brentwood en haut de la colline de notre place à l'époque, livrant des bouquets tout autour du West Side de Los Angeles. J'ai pris congé du boulot et j'ai pris l'avion pour Seattle avec les autres membres pendant quelques jours.
Le voyage réel était entièrement au service de l'organisation; Je ne me souviens pas de grand choses à part le voyage en ville depuis l'aéroport, voyant Seattle et le Space Needle à travers le brouillard et la pluie de la fenêtre du bus sur le chemin ... une chambre d'hôtel où ils nous ont servi un déjeuner emballé dans des boîtes de papier (je pense qu’il s’agissait d'un sandwich sur du pain blanc, une pomme, peut-être quelques frites, etc.).
Ce n'était pas vraiment un voyage d’agrément. Je n'ai jamais vu ou connu de Seattle autre chose que ce voyage en bus, l'hôtel, le centre de convention, et le retour vers Los Angeles de la même façon. Je me souviens avoir été vraiment fatigué par tout ce stress à cette époque ... et de m'inquiéter de ce qui allait m’ arriver à mon retour.
Alors, nous avons fait cette énorme pyramide sur le plancher d'un immense centre de congrès devant des milliers de membres. Tout ce dont je me souviens de ce moment, c'est une grande pièce obscure avec un éclairage de scène autour de nous et des acclamations, et moi debout sur le bas d'une pyramide, avec au dessus environ 3000 livres de gars debout sur des patins à roulettes; Tout ce poids sur mes bras et mes épaules (et me répétant) « reste concentré, reste concentré, tiens le coup et assure-toi que personne ne tombe ... ce sera finit dans une seconde, tiens encore le coup !" lol
Et c'est tout. Nous sommes rentrés ensuite à la maison. Et durant tout le chemin du retour dans l'avion, je me demandais ce que je devinerai quand je reviendrais ...
D'où le miracle allait-il provenir? Où allais-je trouver le loyer? Est-ce que j'allais avoir assez à manger? Qu'est-ce qui allait se passer ....?
Le bouddhisme et l'ensemble de la machinerie SGI m'avaient convaincu que je serais protégé par le Shoten Zenzin et que la loi naturelle ferait en sorte que tout se passe en ma faveur à la fin. Mais cela mettait à l'épreuve le bon sens ordinaire bien au-delà ce que pouvait penser une personne ordinaire raisonnablement intelligente.
Eh bien ... je suis rentré à Los Angeles et ...
Je n'ai pas eu d’agent pour payer le loyer... Je n'avais pas d'argent pour manger ou faire quoi que ce soit jusqu'à ce que je reçoive mon prochain salaire, lequel était environ une semaine plus tard.
Mais ... Je pourrais survivre d'une façon ou d'une autre: ils pourraient attendre un peu pour le loyer, et j'avais des amis ou des colocataires et d'une manière ou d'une autre je pourrais avoir assez à manger.
Mais ce fut bien pire que ça. D'une manière ou d'une autre ... l'instant était tel que tout le monde dans cette maison où je vivais - pour une raison ou une autre - était en train de partir ce mois-ci. Celui-ci était transféré dans une nouvelle école; celui-là avait trouvé un nouvel endroit ailleurs; cet autre était de retour à la maison avec les parents ... environ 5 autres personnes ... partis.
Et m’avaient quitté. Sans argent pour le loyer et sans argent pour trouver un nouvel endroit où vivre. Avec toute ma famille de l'autre côté du pays, et pas d’amis depuis longtemps à Los Angeles qui m'hébergeraient...
Je n'avais pas d'endroit où aller.
A 23 ans: tout d'un coup j'étais sans abri à Los Angeles.
Et la SGI était à peu près tout ce que j'avais. Comment ont-ils répondu?
[... arghhh ... à suivre!]
[je continue mon expérience - partie III]
C'était à la fin de l'été 1987 quand je suis retourné à Los Angeles après un week-end à Seattle avec le YMD de la NSA pour ce grand rassemblement de convention / célébration / promo que nous avons fait. Et le bon sens vous dirait, qu'après avoir donné presque chaque centime à la NSA et la SGI pour le voyage ... avec le loyer dû ... et tous mes colocataires (timing, loi de Murphys) quittant simultanément notre maison ..... que je n'aurais rien quand je suis revenu. Et bien sûr, c'est exactement ce qui est arrivé. Il n'y a eu aucun miracle de l'univers pour me protéger de ma propre crédulité dans ces circonstances. Et il n'y a pas eu non plus de changement soudain miraculeux dans l'égoïsme inhérent, le manque de compassion et l'irresponsabilité de la nature humaine - en vertu du fait que les dirigeants qui m'encourageaient et qui me poussaient à partir faisaient partie de cette organisation depuis longtemps et ne me donnaient que des conseils qui étaient fermement contre le bon sens.
J'étais sans-abri. Je n'avais nulle part où aller, vraiment. Et pendant les jours d'urgence immédiate et le chaos qui ont suivi mon retour, je n’étais plus qu'un jeune psychologiquement et émotionnellement paniqué par tout cela. Et bien c’est gens m’ont tous tourné le dos, ces gens avec qui j'avais passés 2-3 années de ma vie, avec ma "famille" de district qui m'avait accueilli dans leurs maisons, m'encourageaient à chanter, faire gongyo, shaka-buku, me sortir du lit à 4 heures du matin pour aller à des activités, m'ont conduit à des réunions dans toute la ville, m’ont appelé pendant les moments où j'avais des doutes sur la pratique pour de longues conversations, discuté avec moi, aidé quand j'essayais de commencer cette pratique ... Ces gens qui étaient une partie intime de ma vie, qui étaient mes amis les plus proches et mes confidents à bien des égards .. mon district local ... ces gens se sont évaporés comme des couards quand ils ont été confrontés à la réalité de ce qui m'est arrivé. A ce moment, comme je le disais je travaillais comme aide-vendeur et livreur pour un fleuriste sur la route de Brentwood. Alors, ayant nulle part où aller, et sans en parler à mon patron (parce que j'étais gêné par ma situation) ... J'ai utilisé le camion de livraison pour emballer les petits objets de ma maison et les mettre au sous-sol du magasin. Puis je me suis faufilé dans le minuscule sous-sol du fleuriste par la porte arrière pour y dormir durant la nuit. Le sol était en béton et dur. J'ai utilisé une lampe de poche pour lire des trucs au hasard - les romans de Stephen King (je lis "IT" dans ce sous-sol LOL), des vieux World Tribunes, une copie du Gosho. Puis je me levais pendant des jours, je me promenais autour du bâtiment et je rentrais travailler - gagner de l'argent - et survivre un autre jour. Un matin, je me souviens que mon patron ouvrit brusquement la porte et entra dans le sous-sol, me voyant sur le sol ... me regarda, puis sorti en ne disant rien. Il n'était pas trop content de tout ça, mais je pense que fondamentalement c’était un type bien qui a réalisé que je ne nuisais à personne, et voulait juste avoir une chance pour survivre. Les membres de mon district savaient ce qui se passait ... mais n’avaient rien de plus aidant pour moi que de me dire "Ceci est votre karma, pratiquez plus" ou "Faites votre révolution humaine" et autres platitudes. Je n'ai jamais entendu, de quiconque: "Est-ce que ça va" ou "Je suis désolé de ce qui vous est arrivé ... Y a-t-il quelque chose que je puisse faire?" "Hé je connais quelqu'un qui a besoin d'aide à sa boite, vous pouvez gagner de l'argent là-bas pour vous sortir de cette situation "Personne ne m'a apporté de la nourriture. Personne ne m'a donné de conseils pratiques qui me soient utiles, ou est sorti de sa routine pour me ramener et m'emmener à leur maison, ou se sont simplement assis là et m'ont écouté comme un ami qui se soucieraitt de moi pendant cette crise. Seul, les mêmes vieilles platitudes de la SGI sur le karma et la révolution humaine, etc. ... ou ils m'évitaient de manière visible aux réunions parce qu'ils ne savaient pas quoi dire. Il n'y avait aucune compassion, d'aide et d'amour de la part de ces gens. Autre que ... une seule: une fille, une JMJ dans la pratique - autour de mon âge ... nous avons commencé à passer du temps ensemble et nous avons fini par nous brancher - j'ai commencé à rester chez elle et à déménager du sous-sol - et elle est devenu ma petite amie durant les deux prochaines années. Donc, nous sommes tombés amoureux et elle m'a aidé ... CONTRE la politique NSA et SGI (nous étions tous deux membres dans le même district). Et de cette façon je me suis sorti de cette situation. Peu après mon retour de Seattle je suis devenu "taitan". Pourquoi ne l’aurai je pas fait ? les masques étaient tombées, ces gens m'avaient abandonné. Ils n'étaient pas ma "famille". Ils n'étaient pas mes "amis" comme on me laissait croire habituellement. C'était juste des gens avec qui j'ai fait des trucs, que j’ai payé pour soutenir leurs activités, à qui j’ai donné mon énergie et mon temps libre pour soutenir ce qu’ils faisaient. Mais ils se moquaient de moi et de mon bien-être. Après avoir essayé pendant un certain temps de me faire revenir, ils ont fini par abandonner quand je les ai constamment appelés sur leur BS Cet argent pour Seattle aurait payé un acompte pour un nouvel endroit. Ils m'ont encouragé à faire une croix sur leur activité, quand je suis revenu à Los Angeles et qu’ ils m'ont abandonné quand j'étais sans-abri. Fin de l'histoire. Ils n'avaient aucune excuse, alors ils m'ont laissé partir. Au cours de ma dernière année à Los Angeles, je ne me souviens pas d'avoir eu de contact avec aucun d'entre eux. Une fois que je suis devenu taï-tan, ils ont disparu et je n'ai plus jamais entendu parler d’eux.
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... ed_sgiusa/
J'étais un nouveau venu à Los Angeles en 1985 - j’étais parti de New York pour étudier la musique et jouer dans des groupes de rock. Je n'avais rien, je ne possédais rien. Aucun argent, aucune propriété, j’étais parti du collège pour déménager là-bas et me débrouiller par moi meme.
Je n'avais aucune famille ou amitié là-bas. J'étais complètement seul dans une grande ville à l'âge de 20 ans.
(C'est l'état vulnérable typique de ceux qui rejoignent SGI, rarement les personnes en bonne santé avec des liens sociaux forts.)
Donc, après avoir reçu mon gohonzon au Temple de Los Angeles en 1986, et l'encouragement que non seulement cela m'aiderait à survivre et m'apporter ce dont j'avais besoin, cela pourrait aussi «faire de mes rêves une réalité». Avec ces choses à l'esprit, j'ai commencé un voyage de près de 3 ans de pratique difficile.
La SGI est devenu à peu près toute ma vie sociale, et ma "famille". J'ai fait tout ce qu'il fallait pour, et ce pour plusieurs raisons, mais le fait d'avoir simplement des contacts humains et de faire partie d'un lieu où je pouvais aller et avoir des relations sociales y était pour beaucoup.
Mais surtout ... des choses se sont passées quand j'ai pratiqué et parlé aux gens. Des choses inhabituelles. Synchronicités.
Oui, je vois maintenant les vérités évidentes de la "rationalisation en arrière" et du "biais cognitif" (SI quelque chose de bien se passe, c'est parce que vous avez pratiqué ... SI cela n'arrive pas ou quelque chose de douloureux arrive parce que c'est votre karma "OU" vous le faites dans le mauvais sens "). Ces distorsions cognitives font partie de la nature humaine et sont inévitables ...
Cependant, je suis et ai toujours été hyper vigilant à ne pas croire en B.S, et en esprit critique comme un scientifique: j'ai plongé profondément dans la pratique pour la tester. S'il y avait quelque chose, j'étais sacrément déterminé à le savoir, indépendamment de toute organisation.
Donc, des choses sont arrivées. Parfois c'était bizarre, parfois hilarant, parfois douloureux, parfois profond, et toujours profondément lié aux problèmes de ma vie concernant la société, les gens, les émotions, l'argent, l'amour. Et donc j'ai continué.
Au fil du temps, j'ai commencé à remettre en question toutes les choses dont vous et d'autres avez parlé dans ce fil. La pression constante pour se conformer et à faire de plus en plus d"activités", et le manque de considération pour mes propres besoins personnels et d'avoir une vie en dehors de SGI. La pression constante pour se conformer à la structure organisationnelle, leur façon de penser, leur façon de percevoir la réalité.
Les personnes que j'ai côtoyées dans l'organisation, que j'ai appelées "drones organisationnels": utilisaient toujours « le discours particulier à la SGI" et "le maniérisme SGI". En communiquant avec eux, je revenais de plus en plus avec l'impression d'avoir affaire à des automates. Une de ces choses que vous voyez dans l'exposition présidentielle à Disney.
Comme si à un moment précis, ils avaient complètement cessé de penser par eux-mêmes et de développer une personnalité indépendante ... ou ils n'étaient jamais assez forts pour commencer à avoir un véritable "esprit de recherche" ou découvrir qui ils étaient uniques. Cela m'a vraiment dérangé. Parce que cela a été et a toujours été l'une de mes bêtes noires (SOYEZ-VOUS et ne soyez pas faux), parce que je peux sentir instinctivement l'hypocrisie à un km.
Mais j'avais mes propres problèmes avec l'argent, des filles, et d'autres choses et ... j'avais ces expériences personnelles ... et donc comme une carotte sur un bâton, la pratique était toujours là, créant l'espoir que je plantais les causes de changer ma vie à un niveau très profond. Et donc j'ai continué à courir après cette carotte malgré mes doutes.
Les plus assidus dans la pratique me connaissaient personnellement, connaissaient mes doutes, les acceptaient comme naturels, me donnaient un feedback sur les choses que je vivais (« La chose la plus importante est ton lien avec le Gohonzon: continue de chanter et de faire du shaka-buku et tu réussiras, tu verras ") ... ils m'ont donné des encouragements qui s'appliquaient à ma situation et cela m'a aussi permis de continuer.
Vers 1987 ou 1988, il y a eu un grand voyage à Seattle. J'étais un AMJ (Division des jeunes hommes), et ils nous préparaient à partir. Mais j'étais fauchéé. A l'époque je vivais à West LA dans une maison avec 5 autres personnes - non membres - et un jeune, Larry,qui était membre - mais le reste était des étudiants etc - et c'était une maison de fous, une maison de fête, des colocataires emménageant et partant chaque semaine. J'ai oublié qui était sur le bail ou même si nous en avions un.
Nous avons eu le projet de faire un show où nous faisions une pyramide humaine sur des patins à roulettes. Apparemment nous cherchions à battre le record du monde en faisant cela, lol.
Parce que je suis un grand gars (plus de 1,80), cela m'a mis au niveau inférieur avec les autres grands. Je portais les patins, avec un panneau sur l'épaule que tous les autres niveaux pouvaient supporter. Et donc nous ferions ces activités un week-end, où nous serions traînés hors du lit à 5 heures du matin !
"Défiez votre négativité! C'est une bonne cause pour Kosen Rufuuuu !!!!" arg!) c'est à dire, allez quelque part, pratiquer, faire de la gymnastique en grands groupes tôt le matin, puis nous tuer au soleil alors que les gars grimpaient sur les planches (avaient-ils une assurance lol? Je n'en ai aucune idée).
Et tout le long du chemin, je leur ai dis que j’étais fauché. Et ils continuaient de me dire que je plantais la cause qui me permettrai de sortir de ma situation financière actuelle. Que c’était le cas, parce que c'était lié à la pratique de travailler avec d'autres pour changer le karma du monde, que cela influencerait directement ma situation personnelle. Ils semblaient assez sûrs d'eux-mêmes. Alors j'ai continué à y croire.
Quand le temps est venu de payer pour le billet d'avion et le coût du voyage (qui était d'environ 400 $ je crois) - j'ai atteint le stade où je devais prendre une décision. J'avais déjà investi tout ce temps de sang de sueur et de larmes dans cette activité folle. J'avais vraiment, vraiment de sérieux problèmes avec l'argent et aussi avec ma vie quotidienne. Je pouvais soit :
A) Faire la chose responsable et payer mon loyer, ou
B) Faire confiance à la pratique ... et espérer un miracle.
J'ai reçu des conseils de tout le monde. Mes dirigeants de district, les chefs de section, les hauts dirigeants ... ils ont tous dit la même chose. "Allez-y, cela va changer votre karma!"
Alors je leur ai donné l'argent et je m'envolais pour Seattle …
... et ainsi, vers la fin de l'été de (1988?) j'ai remis tout mon salaire - tout l'argent que j'avais au monde - la somme d'environ 400 - 500 $ ou plus - à mes chefs de chapitre et nous nous sommes tous retrouvés prêts pour monter à bord d'un avion afin de participer à cette grande réunion commémorant "une chose ou une autre à voir avec la paix dans le monde" à Seattle.
À l'époque, je vivais à Brentwood, à West Los Angeles, près de Wilshire et de Brentwood Ave, à environ un kilomètre et demi du centre communautaire de Santa Monica. Je vivais dans cette maison avec une rotation de personnages, des étudiants et des jeunes au hasard qui avaient répondu à l'annonce pour l'endroit, seul un de mes colocataires était un membre aussi, Larry qui est aussi allé à Seattle avec nous si je me souviens bien.
Je travaillais pour un fleuriste de la ville de Brentwood en haut de la colline de notre place à l'époque, livrant des bouquets tout autour du West Side de Los Angeles. J'ai pris congé du boulot et j'ai pris l'avion pour Seattle avec les autres membres pendant quelques jours.
Le voyage réel était entièrement au service de l'organisation; Je ne me souviens pas de grand choses à part le voyage en ville depuis l'aéroport, voyant Seattle et le Space Needle à travers le brouillard et la pluie de la fenêtre du bus sur le chemin ... une chambre d'hôtel où ils nous ont servi un déjeuner emballé dans des boîtes de papier (je pense qu’il s’agissait d'un sandwich sur du pain blanc, une pomme, peut-être quelques frites, etc.).
Ce n'était pas vraiment un voyage d’agrément. Je n'ai jamais vu ou connu de Seattle autre chose que ce voyage en bus, l'hôtel, le centre de convention, et le retour vers Los Angeles de la même façon. Je me souviens avoir été vraiment fatigué par tout ce stress à cette époque ... et de m'inquiéter de ce qui allait m’ arriver à mon retour.
Alors, nous avons fait cette énorme pyramide sur le plancher d'un immense centre de congrès devant des milliers de membres. Tout ce dont je me souviens de ce moment, c'est une grande pièce obscure avec un éclairage de scène autour de nous et des acclamations, et moi debout sur le bas d'une pyramide, avec au dessus environ 3000 livres de gars debout sur des patins à roulettes; Tout ce poids sur mes bras et mes épaules (et me répétant) « reste concentré, reste concentré, tiens le coup et assure-toi que personne ne tombe ... ce sera finit dans une seconde, tiens encore le coup !" lol
Et c'est tout. Nous sommes rentrés ensuite à la maison. Et durant tout le chemin du retour dans l'avion, je me demandais ce que je devinerai quand je reviendrais ...
D'où le miracle allait-il provenir? Où allais-je trouver le loyer? Est-ce que j'allais avoir assez à manger? Qu'est-ce qui allait se passer ....?
Le bouddhisme et l'ensemble de la machinerie SGI m'avaient convaincu que je serais protégé par le Shoten Zenzin et que la loi naturelle ferait en sorte que tout se passe en ma faveur à la fin. Mais cela mettait à l'épreuve le bon sens ordinaire bien au-delà ce que pouvait penser une personne ordinaire raisonnablement intelligente.
Eh bien ... je suis rentré à Los Angeles et ...
Je n'ai pas eu d’agent pour payer le loyer... Je n'avais pas d'argent pour manger ou faire quoi que ce soit jusqu'à ce que je reçoive mon prochain salaire, lequel était environ une semaine plus tard.
Mais ... Je pourrais survivre d'une façon ou d'une autre: ils pourraient attendre un peu pour le loyer, et j'avais des amis ou des colocataires et d'une manière ou d'une autre je pourrais avoir assez à manger.
Mais ce fut bien pire que ça. D'une manière ou d'une autre ... l'instant était tel que tout le monde dans cette maison où je vivais - pour une raison ou une autre - était en train de partir ce mois-ci. Celui-ci était transféré dans une nouvelle école; celui-là avait trouvé un nouvel endroit ailleurs; cet autre était de retour à la maison avec les parents ... environ 5 autres personnes ... partis.
Et m’avaient quitté. Sans argent pour le loyer et sans argent pour trouver un nouvel endroit où vivre. Avec toute ma famille de l'autre côté du pays, et pas d’amis depuis longtemps à Los Angeles qui m'hébergeraient...
Je n'avais pas d'endroit où aller.
A 23 ans: tout d'un coup j'étais sans abri à Los Angeles.
Et la SGI était à peu près tout ce que j'avais. Comment ont-ils répondu?
[... arghhh ... à suivre!]
[je continue mon expérience - partie III]
C'était à la fin de l'été 1987 quand je suis retourné à Los Angeles après un week-end à Seattle avec le YMD de la NSA pour ce grand rassemblement de convention / célébration / promo que nous avons fait. Et le bon sens vous dirait, qu'après avoir donné presque chaque centime à la NSA et la SGI pour le voyage ... avec le loyer dû ... et tous mes colocataires (timing, loi de Murphys) quittant simultanément notre maison ..... que je n'aurais rien quand je suis revenu. Et bien sûr, c'est exactement ce qui est arrivé. Il n'y a eu aucun miracle de l'univers pour me protéger de ma propre crédulité dans ces circonstances. Et il n'y a pas eu non plus de changement soudain miraculeux dans l'égoïsme inhérent, le manque de compassion et l'irresponsabilité de la nature humaine - en vertu du fait que les dirigeants qui m'encourageaient et qui me poussaient à partir faisaient partie de cette organisation depuis longtemps et ne me donnaient que des conseils qui étaient fermement contre le bon sens.
J'étais sans-abri. Je n'avais nulle part où aller, vraiment. Et pendant les jours d'urgence immédiate et le chaos qui ont suivi mon retour, je n’étais plus qu'un jeune psychologiquement et émotionnellement paniqué par tout cela. Et bien c’est gens m’ont tous tourné le dos, ces gens avec qui j'avais passés 2-3 années de ma vie, avec ma "famille" de district qui m'avait accueilli dans leurs maisons, m'encourageaient à chanter, faire gongyo, shaka-buku, me sortir du lit à 4 heures du matin pour aller à des activités, m'ont conduit à des réunions dans toute la ville, m’ont appelé pendant les moments où j'avais des doutes sur la pratique pour de longues conversations, discuté avec moi, aidé quand j'essayais de commencer cette pratique ... Ces gens qui étaient une partie intime de ma vie, qui étaient mes amis les plus proches et mes confidents à bien des égards .. mon district local ... ces gens se sont évaporés comme des couards quand ils ont été confrontés à la réalité de ce qui m'est arrivé. A ce moment, comme je le disais je travaillais comme aide-vendeur et livreur pour un fleuriste sur la route de Brentwood. Alors, ayant nulle part où aller, et sans en parler à mon patron (parce que j'étais gêné par ma situation) ... J'ai utilisé le camion de livraison pour emballer les petits objets de ma maison et les mettre au sous-sol du magasin. Puis je me suis faufilé dans le minuscule sous-sol du fleuriste par la porte arrière pour y dormir durant la nuit. Le sol était en béton et dur. J'ai utilisé une lampe de poche pour lire des trucs au hasard - les romans de Stephen King (je lis "IT" dans ce sous-sol LOL), des vieux World Tribunes, une copie du Gosho. Puis je me levais pendant des jours, je me promenais autour du bâtiment et je rentrais travailler - gagner de l'argent - et survivre un autre jour. Un matin, je me souviens que mon patron ouvrit brusquement la porte et entra dans le sous-sol, me voyant sur le sol ... me regarda, puis sorti en ne disant rien. Il n'était pas trop content de tout ça, mais je pense que fondamentalement c’était un type bien qui a réalisé que je ne nuisais à personne, et voulait juste avoir une chance pour survivre. Les membres de mon district savaient ce qui se passait ... mais n’avaient rien de plus aidant pour moi que de me dire "Ceci est votre karma, pratiquez plus" ou "Faites votre révolution humaine" et autres platitudes. Je n'ai jamais entendu, de quiconque: "Est-ce que ça va" ou "Je suis désolé de ce qui vous est arrivé ... Y a-t-il quelque chose que je puisse faire?" "Hé je connais quelqu'un qui a besoin d'aide à sa boite, vous pouvez gagner de l'argent là-bas pour vous sortir de cette situation "Personne ne m'a apporté de la nourriture. Personne ne m'a donné de conseils pratiques qui me soient utiles, ou est sorti de sa routine pour me ramener et m'emmener à leur maison, ou se sont simplement assis là et m'ont écouté comme un ami qui se soucieraitt de moi pendant cette crise. Seul, les mêmes vieilles platitudes de la SGI sur le karma et la révolution humaine, etc. ... ou ils m'évitaient de manière visible aux réunions parce qu'ils ne savaient pas quoi dire. Il n'y avait aucune compassion, d'aide et d'amour de la part de ces gens. Autre que ... une seule: une fille, une JMJ dans la pratique - autour de mon âge ... nous avons commencé à passer du temps ensemble et nous avons fini par nous brancher - j'ai commencé à rester chez elle et à déménager du sous-sol - et elle est devenu ma petite amie durant les deux prochaines années. Donc, nous sommes tombés amoureux et elle m'a aidé ... CONTRE la politique NSA et SGI (nous étions tous deux membres dans le même district). Et de cette façon je me suis sorti de cette situation. Peu après mon retour de Seattle je suis devenu "taitan". Pourquoi ne l’aurai je pas fait ? les masques étaient tombées, ces gens m'avaient abandonné. Ils n'étaient pas ma "famille". Ils n'étaient pas mes "amis" comme on me laissait croire habituellement. C'était juste des gens avec qui j'ai fait des trucs, que j’ai payé pour soutenir leurs activités, à qui j’ai donné mon énergie et mon temps libre pour soutenir ce qu’ils faisaient. Mais ils se moquaient de moi et de mon bien-être. Après avoir essayé pendant un certain temps de me faire revenir, ils ont fini par abandonner quand je les ai constamment appelés sur leur BS Cet argent pour Seattle aurait payé un acompte pour un nouvel endroit. Ils m'ont encouragé à faire une croix sur leur activité, quand je suis revenu à Los Angeles et qu’ ils m'ont abandonné quand j'étais sans-abri. Fin de l'histoire. Ils n'avaient aucune excuse, alors ils m'ont laissé partir. Au cours de ma dernière année à Los Angeles, je ne me souviens pas d'avoir eu de contact avec aucun d'entre eux. Une fois que je suis devenu taï-tan, ils ont disparu et je n'ai plus jamais entendu parler d’eux.
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... ed_sgiusa/
Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 14 mai18, 00:08Cette "expérience "est en effet navrante,...En ce qui me concerne et parce que je pratique en fonction de l'enseignement et non des personnes (suivre la Loi et non la personne")...je continue encore aujourd'hui,...il y a en effet (comme dans le monde) des comportements aberrants partout, bouddhisme ou non,...si je me base sur ces personnes, j'arrête immédiatement, mais parce que mon choix est personnel et ne dépend de personne je suis libre,...notamment de dire leur 4 vérités à quelques uns. Les 3 présidents de la Soka ne se sont jamais gêné de réprimandé vertement les mauvais comportement de mauvais responsables...Tout le monde fait sa révolution humaine dans la soka et il convient de toujours faire le point sur ses motivations personnelles (Foi ,Etude, Pratique)...Lisez bien le Gosho,..Nichiren insiste sur le fait qu'il n'est nullement responsable si nous n'avons pas de bienfaits,...il nous donne un enseignement, à nous de le mettre en pratique)...c'est sûr, ce n'est pas évident...
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Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 14 mai18, 03:34Non ce n'est pas une exception, puisque vous etes conditionné à penser que vous aurez une retour karmique positif avec tous ces dons !
Le fait est qu'une fois l'argent donné, la sgi ne vous doit rien, et le jour ou vous réveillerez et bien vous vous réveillerez !
Blanche Kizno 02/18/2014
Je suis parti depuis 4 ans maintenant, presque exactement, et j'en ressens toujours l’impact. Vous savez comment votre esprit se concentre sur quelque chose ? Je me suis entrainé à réciter le mantra dans mon esprit et je me sens toujours en défaut quand ça revient. Je l’interrompt, mais je n’y ai rien substitué, donc je suppose que ce n'est pas une surprise que ça persiste. J'ai inséré la récitation dans mes pensées pour remplacer l'endoctrinement chrétien, les hymnes. L'une des raisons pour lesquelles ces groupes scandent des chants et des récitations, c'est parce que ceux ci tournent ensuite dans les esprits - pensez aux spots publicitaires dont vous vous souvenez de votre enfance. POURQUOI vous souviendriez-vous de cela, et pas d’autres choses ?? Mais cela fonctionne. C'est le pouvoir de la musique et du rythme.
J'ai lu le même article, et cela correspond très bien à la SGI. La collecte de fonds agressive; la flatterie, la peur, la culpabilité; et les exhortations répétées à ne jamais quitter l'organisation. Que le vrai bonheur ne peut se trouver que dans l’orbite de l'organisation. Vous devez être un satellite, en d'autres termes - la position du soleil a déjà été prise. Par Ikeda.
"Si nous voyageons dans l'orbite de" la foi égale la vie quotidienne ", toutes nos prières recevront certainement une réponse." - Encouragement quotidien de Daisaku Ikeda, le mardi 8 juillet 2014
Erf, vraiment? Par magie? Cela signifie que si nous n'obtenons pas quelque chose pour lequel nous prions sincèrement, cela signifie que nous n'avons pas la « bonne orbite ». Nous commettons une erreur en d'autres termes. Et le hamster court toujours plus vite dans sa roue ...
"Il est donc important que nous sauvegardions ce précieux mouvement par notre soutien financier, afin que nous puissions nous rassembler, communiquer les uns avec les autres et construire une organisation unie et efficace." - Matilda Buck, ancienne responsable des femmes de SGI-USA
« J'étais un étudiant diplômé pauvre vivant d’un semestre à l’autre, ne sachant pas si je pouvais réellement me permettre de terminer mes études supérieures. Malgré cela, je me souviens distinctement debout au coin d'une rue à Berkeley, en Californie, avec mon chef de section SGI-USA, qui m’a dit: "Je pense qu'il est temps pour vous de commencer à penser à faire une contribution financière mensuelle à l'organisation pour créer de la bonne fortune pour votre vie. Ayez la détermination de continuer, peu importe la difficulté de votre situation."
J'ai décidé de commencer à contribuer chaque mois à notre organisation et je n'ai pas arrêté depuis. Exactement comme il l'a dit, cet acte d'offrande est devenu la source d’une grande fortune.
Environ un an plus tard, le SGI-USA a annoncé qu'il accepterait des contributions pour construire le Centre Culturel Mondial. À ce moment-là, j'étais tellement fatigué de vivre dans la pauvreté. Comme nous n'avions pas d'assurance, ma femme a dû quitter l'hôpital le jour de la naissance de notre premier enfant. Nous avons déterminé que nous devions faire quelque chose pour surmonter nos difficultés financières. Nous avons décidé de prendre tout l'argent que nous avions réussi à économiser pour les frais de scolarité du semestre suivant, qui n'était pas assez suffisant de toute façon, et nous y avons contribué avec une grande fierté, afin qu'au moins une porte dans le bâtiment puisse être achetée grâce à nos efforts.
Je crois que c'est cette détermination qui nous a permis de surmonter tous les obstacles, de payer mes frais de scolarité pour les prochaines années et de créer une immense fortune pour notre famille. »- Tariq Hasan, SGI-USA Men's Leader
Yuh-huh. "Donner jusqu'à ce que ça pique", en d'autres termes.
C'est ça "le bouddhisme est le bon sens" ...
"Rappelant ces premiers jours dans le roman historique The New Human Revolution, le président Ikeda écrit:" Les offrandes et les contributions financières que l'organisation a sollicitées étaient exclusivement pour accomplir le mandat de Nichiren Daishonin de propager largement la loi mystique. Il n'y avait donc pas de plus grande offrande, plus de bien, certainement pas de plus grand bénéfice »(vol.4).
"Considérant l'histoire de la transmission du bouddhisme Nichiren jusqu'à nos jours, il est clair que la SGI est la seule organisation qui a hérité et qui exécute correctement les enseignements de Nichiren Daishonin et son vœu de créer un monde pacifique. comme Nichiren a enseigné, partager cette grande philosophie avec leurs familles et amis, et montrer la preuve réelle de son pouvoir dans leur vie quotidienne. " - http://www.sgi-usa.org/studyan [...] istory.pdf
Considérant que Nichiren a souscrit à un modèle fasciste, dans lequel toutes les autres sectes du bouddhisme étaient censées être éradiquées par le gouvernement, à travers un programme suggéré par Nichiren, d'exécutions, de restrictions interdisant tous les dons et de démolition de tous les temples.
Ce vœu de créer un monde pacifique "est totalement factice !"
https://taitenwisdom.weebly.com/blog/in ... n#comments
Le fait est qu'une fois l'argent donné, la sgi ne vous doit rien, et le jour ou vous réveillerez et bien vous vous réveillerez !
Blanche Kizno 02/18/2014
Je suis parti depuis 4 ans maintenant, presque exactement, et j'en ressens toujours l’impact. Vous savez comment votre esprit se concentre sur quelque chose ? Je me suis entrainé à réciter le mantra dans mon esprit et je me sens toujours en défaut quand ça revient. Je l’interrompt, mais je n’y ai rien substitué, donc je suppose que ce n'est pas une surprise que ça persiste. J'ai inséré la récitation dans mes pensées pour remplacer l'endoctrinement chrétien, les hymnes. L'une des raisons pour lesquelles ces groupes scandent des chants et des récitations, c'est parce que ceux ci tournent ensuite dans les esprits - pensez aux spots publicitaires dont vous vous souvenez de votre enfance. POURQUOI vous souviendriez-vous de cela, et pas d’autres choses ?? Mais cela fonctionne. C'est le pouvoir de la musique et du rythme.
J'ai lu le même article, et cela correspond très bien à la SGI. La collecte de fonds agressive; la flatterie, la peur, la culpabilité; et les exhortations répétées à ne jamais quitter l'organisation. Que le vrai bonheur ne peut se trouver que dans l’orbite de l'organisation. Vous devez être un satellite, en d'autres termes - la position du soleil a déjà été prise. Par Ikeda.
"Si nous voyageons dans l'orbite de" la foi égale la vie quotidienne ", toutes nos prières recevront certainement une réponse." - Encouragement quotidien de Daisaku Ikeda, le mardi 8 juillet 2014
Erf, vraiment? Par magie? Cela signifie que si nous n'obtenons pas quelque chose pour lequel nous prions sincèrement, cela signifie que nous n'avons pas la « bonne orbite ». Nous commettons une erreur en d'autres termes. Et le hamster court toujours plus vite dans sa roue ...
"Il est donc important que nous sauvegardions ce précieux mouvement par notre soutien financier, afin que nous puissions nous rassembler, communiquer les uns avec les autres et construire une organisation unie et efficace." - Matilda Buck, ancienne responsable des femmes de SGI-USA
« J'étais un étudiant diplômé pauvre vivant d’un semestre à l’autre, ne sachant pas si je pouvais réellement me permettre de terminer mes études supérieures. Malgré cela, je me souviens distinctement debout au coin d'une rue à Berkeley, en Californie, avec mon chef de section SGI-USA, qui m’a dit: "Je pense qu'il est temps pour vous de commencer à penser à faire une contribution financière mensuelle à l'organisation pour créer de la bonne fortune pour votre vie. Ayez la détermination de continuer, peu importe la difficulté de votre situation."
J'ai décidé de commencer à contribuer chaque mois à notre organisation et je n'ai pas arrêté depuis. Exactement comme il l'a dit, cet acte d'offrande est devenu la source d’une grande fortune.
Environ un an plus tard, le SGI-USA a annoncé qu'il accepterait des contributions pour construire le Centre Culturel Mondial. À ce moment-là, j'étais tellement fatigué de vivre dans la pauvreté. Comme nous n'avions pas d'assurance, ma femme a dû quitter l'hôpital le jour de la naissance de notre premier enfant. Nous avons déterminé que nous devions faire quelque chose pour surmonter nos difficultés financières. Nous avons décidé de prendre tout l'argent que nous avions réussi à économiser pour les frais de scolarité du semestre suivant, qui n'était pas assez suffisant de toute façon, et nous y avons contribué avec une grande fierté, afin qu'au moins une porte dans le bâtiment puisse être achetée grâce à nos efforts.
Je crois que c'est cette détermination qui nous a permis de surmonter tous les obstacles, de payer mes frais de scolarité pour les prochaines années et de créer une immense fortune pour notre famille. »- Tariq Hasan, SGI-USA Men's Leader
Yuh-huh. "Donner jusqu'à ce que ça pique", en d'autres termes.
C'est ça "le bouddhisme est le bon sens" ...
"Rappelant ces premiers jours dans le roman historique The New Human Revolution, le président Ikeda écrit:" Les offrandes et les contributions financières que l'organisation a sollicitées étaient exclusivement pour accomplir le mandat de Nichiren Daishonin de propager largement la loi mystique. Il n'y avait donc pas de plus grande offrande, plus de bien, certainement pas de plus grand bénéfice »(vol.4).
"Considérant l'histoire de la transmission du bouddhisme Nichiren jusqu'à nos jours, il est clair que la SGI est la seule organisation qui a hérité et qui exécute correctement les enseignements de Nichiren Daishonin et son vœu de créer un monde pacifique. comme Nichiren a enseigné, partager cette grande philosophie avec leurs familles et amis, et montrer la preuve réelle de son pouvoir dans leur vie quotidienne. " - http://www.sgi-usa.org/studyan [...] istory.pdf
Considérant que Nichiren a souscrit à un modèle fasciste, dans lequel toutes les autres sectes du bouddhisme étaient censées être éradiquées par le gouvernement, à travers un programme suggéré par Nichiren, d'exécutions, de restrictions interdisant tous les dons et de démolition de tous les temples.
Ce vœu de créer un monde pacifique "est totalement factice !"
https://taitenwisdom.weebly.com/blog/in ... n#comments
Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 19 juil.21, 02:29Traduction par Theryca :
Que fait Ikeda dans sa cachette depuis qu’on l’a vu pour la dernière fois en avril 2010 ?
Je suis tombé sur ce rapport, de 2011 - selon cette source :
Ikeda est en fauteuil roulant en raison d’un infarctus du cerveau (l’obstruction de l’approvisionnement en sang à un organe ou à une région de tissu, généralement par un thrombus ou une embolie, causant la mort locale du tissu ; infarctus : une zone localisée de tissu mort (nécrose) résultant de l’obstruction de l’approvisionnement en sang à cette partie, esp par une embolie, aussi appelé infarctus.)
En raison de complications liées au diabète, ses pieds ont dû être amputés. Ça expliquerait pourquoi Ikeda est assis sur toutes ses photos.
Démence avancée.
C’est un vrai problème pour le Soka Gakkai, étant donné le grand nombre de fois où Ikéda a martelé ce qui arrive à la toute fin de notre vie, et que les effets des causes que nous avons posées deviennent finalement manifestes . Dans la culture japonaise, la démence et la maladie d’Alzheimer sont comptées comme "des têtes brisées en sept morceaux", ce qui est la punition pour avoir calomnié le Soutra du Lotus. Ikeda et sa Soka Gakkai auraient fait une danse de la victoire si des moines de la Nichiren Shoshu avaient été diagnostiqués avec une démence ou Alzheimer, et ils auraient proclamé ceci bruyamment comme preuve de leur calomnie et de leur injustice grotesque. Mais maintenant, la chaussure est à l'autre pied, pour ainsi dire.
Donc ils ont gardé Ikeda hors de vue et tous ces auteurs fantômes sont occupés à produire des articles et des interviews ou quoi que ce soit, tous attribués à Ikeda. Alors que selon l'évidence, ce n’est pas son propre travail.
De plus :
Infarctus cérébral à DEUX endroits dans le cerveau.
Ne peut pas marcher.
Comportement bizarre et violent et bruits étranges.
Incapacité de reconnaître les infirmières ou les visiteurs.
Incapacité de communiquer avec les infirmières ou les visiteurs.
Des difficultés de mastication ont entraîné l’insertion d’un tube d’alimentation.
Il faut quatre à cinq personnes pour l’aider à sortir de son fauteuil roulant pour le transporter jusqu'au bain.
Ikéda porte une robe de chambre pour faciliter les changements de couches.
On suppose que, lorsque Ikeda mourra, il n’y aura pas de visionnement ou de funérailles publiques ; ce sera une affaire familiale privée.
( Traduction de l'anglais depuis la source suivante : https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... ce_he_was/ )
Que fait Ikeda dans sa cachette depuis qu’on l’a vu pour la dernière fois en avril 2010 ?
Je suis tombé sur ce rapport, de 2011 - selon cette source :
Ikeda est en fauteuil roulant en raison d’un infarctus du cerveau (l’obstruction de l’approvisionnement en sang à un organe ou à une région de tissu, généralement par un thrombus ou une embolie, causant la mort locale du tissu ; infarctus : une zone localisée de tissu mort (nécrose) résultant de l’obstruction de l’approvisionnement en sang à cette partie, esp par une embolie, aussi appelé infarctus.)
En raison de complications liées au diabète, ses pieds ont dû être amputés. Ça expliquerait pourquoi Ikeda est assis sur toutes ses photos.
Démence avancée.
C’est un vrai problème pour le Soka Gakkai, étant donné le grand nombre de fois où Ikéda a martelé ce qui arrive à la toute fin de notre vie, et que les effets des causes que nous avons posées deviennent finalement manifestes . Dans la culture japonaise, la démence et la maladie d’Alzheimer sont comptées comme "des têtes brisées en sept morceaux", ce qui est la punition pour avoir calomnié le Soutra du Lotus. Ikeda et sa Soka Gakkai auraient fait une danse de la victoire si des moines de la Nichiren Shoshu avaient été diagnostiqués avec une démence ou Alzheimer, et ils auraient proclamé ceci bruyamment comme preuve de leur calomnie et de leur injustice grotesque. Mais maintenant, la chaussure est à l'autre pied, pour ainsi dire.
Donc ils ont gardé Ikeda hors de vue et tous ces auteurs fantômes sont occupés à produire des articles et des interviews ou quoi que ce soit, tous attribués à Ikeda. Alors que selon l'évidence, ce n’est pas son propre travail.
De plus :
Infarctus cérébral à DEUX endroits dans le cerveau.
Ne peut pas marcher.
Comportement bizarre et violent et bruits étranges.
Incapacité de reconnaître les infirmières ou les visiteurs.
Incapacité de communiquer avec les infirmières ou les visiteurs.
Des difficultés de mastication ont entraîné l’insertion d’un tube d’alimentation.
Il faut quatre à cinq personnes pour l’aider à sortir de son fauteuil roulant pour le transporter jusqu'au bain.
Ikéda porte une robe de chambre pour faciliter les changements de couches.
On suppose que, lorsque Ikeda mourra, il n’y aura pas de visionnement ou de funérailles publiques ; ce sera une affaire familiale privée.
( Traduction de l'anglais depuis la source suivante : https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... ce_he_was/ )
Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 05 sept.21, 04:09Article de 2010 provenant de :
(traduit d'après un article de l'hebdomadaire "Shukan Bunshun" paru le 27/10/2011).
https://ecolefuji.jimdo.com/2015/06/22/ ... aku-ikeda/
L'école Fuji est Ostile au président Ikéda . Cet article est complètement mensongé . J'ai un ami qui a rencontré le président Ikeda en 2014 en parfaite santé .
Personnelement j'ai vu une vidéo du président Ikeda à Trest en séminaire en 2015 .
Décidément les emnemis du président Ikeda ne savent plus quoi inventer pour le dénigrer
(traduit d'après un article de l'hebdomadaire "Shukan Bunshun" paru le 27/10/2011).
https://ecolefuji.jimdo.com/2015/06/22/ ... aku-ikeda/
L'école Fuji est Ostile au président Ikéda . Cet article est complètement mensongé . J'ai un ami qui a rencontré le président Ikeda en 2014 en parfaite santé .
Personnelement j'ai vu une vidéo du président Ikeda à Trest en séminaire en 2015 .
Décidément les emnemis du président Ikeda ne savent plus quoi inventer pour le dénigrer
Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 20 mars22, 04:23Bonjour, en faisant des recherche sur le mantra nam myoho regé kyo voici ce que j'ai pu lire, c'est original ! Voir le copié collé sous l'adresse du site https://anandapostbouddha.wixsite.com/w ... A9r%C3%A9s)
Ce mantra a été propagé en France, depuis le début des années 1960, par deux organisations religieuses japonaises transnationales (monastique et laïque) affirmant détenir l'orthodoxie de l'enseignement essentiel du sutra du lotus et la mission universaliste d'enseigner ses valeurs pour la paix dans le monde. Ce sont d'authentiques Sociétés d’économie religieuse, oscillant entre conservatisme moral et modernisme pragmatique, bureaucratiques et hiérarchiques, dirigées par une oligarchie masculine (alors que la majorité des adeptes et constituée de femmes), et un peu ostracisées par certaines institutions bouddhiques françaises, malgré les différents contacts souvent initiés.
Elles sont finalement devenues schismatiques l'une vis-à-vis de l'autre à cause de conflits d'intérêts provoqués par leurs propensions respectives à développer leurs pouvoirs d'influences sur le marché du religieux, et par les profits économiques produits par leurs diverses activités de service au Japon (pompes funèbres, transport des pèlerins, presse).
À quoi s'ajoute le caractère arrogant et totalitaire de leurs deux dirigeants. Le patriarche monastique (décédé depuis) s'était toujours opposé au président (retiré des affaires pour cause de sénilité et d'impotence depuis 2005) de l'organisation laïque la plus importante (10 millions d'adhérents) qui désirait diriger la confédération laïque des autres écoles pratiquant le mantra selon des doctrines différentes, afin de les contrôler et de les convertir à sa philosophie morale. Et de plus, bien que son organisation laïque offrit de colossales donations financières aux moines (des centaines de milliards de yen sur 40 ans), ceux-ci ont préféré l'excommunier (1991) pour tenter de récupérer directement cette manne économique.
L'émergence en France de ces deux organisations religieuses japonaises a fait l'objet d'incompréhensions et de controverses idéologiques, provoquées par des dérives 'sectaires' exaltées de certains convertis, induites par : leur ignorance des philosophies orientales et l'absence de curiosité noétique ; leurs carences intellectuelles naturelles accentuées par la propagande officielle très doctrinaire ; l'égotisme et les agissements directifs d'adeptes en quête de statut social (et de pouvoir).
Si des tentatives de corrections des mœurs ont permis un certain assainissement déontologique, la mentalité du groupe reste imprégnée de ces différentes traces 'sectaires'. Il en résulte des relations hiérarchiques relativement formalistes, une psycho-rigidité récurrente chez de nombreux pratiquants, des raisonnement obtus et des savoirs culturels limités, une tendance courante à se conformer à la doxa sociale politiquement correcte de la Société laïque d'économie religieuse.
Suite à des calomnies et diffamations, la Société laïque d’économie religieuse se défie de possibles intrusions de non convertis cherchant à s'informer sur ses pratiques 'politiques' internes et leurs contradictions sous-jacentes. Ce qui induit une forme de méfiance, un repli mesuré à l'égard des médias, la nécessité d'un filtrage des nouveaux venus dans ses activités associatives, par crainte de pénétration de chercheurs trop curieux, d'esprits libres et contradicteurs, ou d'individus malveillants... D'où une culture de la communication interne et institutionnelle marquée du sceau du secret. À quoi, pour un regard extérieur critique, se juxtaposent les ambitions mondialistes originelles de la Société laïque d'économie religieuse, de par son statut d'ONG (UNESCO, ONU, Union Européenne, Réseau d'Universités Internationales, Publications multilingues, Lobbying, Missions Diplomatiques). Et, au Japon, son pouvoir d'influencer les forces politiques (avec son propre parti politique 'indépendant' de l'organisation religieuse laïque) et financières (gestion de son capital par Mitsubishi Bank) concomitant à un rôle sociétal ambiguë : son implication est tout à fait avérée dans des collusions politiques, économiques, industrielles (sources diplomatiques françaises). En 2013 après 30 ans de lobbying pondéré elle est reçue et reconnue officiellement par le Vatican.
Cette complexité culturelle sociopolitique lui a valu, depuis l'origine en France, la fuite de dizaines de milliers de convertis ne s'y retrouvant plus dans leurs propres aspirations bouddhiques, et dubitatifs à l'égard de l'idéologie dominante de type 'petite bourgeoise', consumériste et néo-libérale, scientiste et matérialiste, comme des idéaux officiels hostiles aux alternatives culturelles non-conformistes innovantes pourtant cohérentes avec l'utopie civilisationnelle bouddhique (alter mondialiste). Les dirigeants n'ont jamais toléré les expressions démocratiques contradictoires car toute orientation procède prioritairement de la sagesse du président. Cette sécession de convertis souvent cultivés, a aussi pour cause le malaise provoqué par la pédagogie doctrinale simpliste et infantilisante ; comme par le rejet officiel de réflexions différentes de l’exégèse institutionnelle, de réflexions originales 'trop personnelles' inspirées par la méditation d'idées et de principes bouddhiques. De surcroît, chez les dissidents très expérimentés et évolués philosophiquement, se révèle une dissonance intellectuelle face à l'amplitude de la vénération officielle du dogme cultuel des 3 trésors, qu'ils considèrent particulièrement prégnant, et facteur d'un état latent de servitude volontaire (inconsciente) des convertis dans leur relation à la Société laïque d'économie religieuse, a contrario de l'idéal originel prônant la libération des souffrances causées par des croyances assujettissantes. Cette servitude (l'engagement associatif zélé) est justifiée par le concept vertueux d'altruisme opposé à l'individualisme… par le fait que s'impliquer 'corps et âme dans l'organisation' est la voie pour révolutionner son ego, approcher l'état de bodhisattva, réaliser le vœux du maître.
Les 3 trésors : 1er) le dharma sous la forme d'un mandala : l'objet de culte fondamental, et par conséquence d'obédience à : 2ème) la sangha ou l'organisation laïque d'économie religieuse, la seule pouvant sauver l'Humanité de la dégénérescence ; 3ème) le bouddha prédicateur de l'orthodoxie (aujourd'hui : le président, le maître moral, de la Société laïque d'économie religieuse). Les trois conditionnent les actes de foi quotidiens essentiels : la piété au mandala alliance sacrée à l'orthodoxie ; l'obédience pour la vie à la sangha, sinon point d'illumination (l'état de bouddha ou la boddhéité) ; la relation exclusive au président maître absolu du vrai bouddhisme.
Selon ces témoignages recueillis auprès d'ex-convertis, ceci révèle que l'institutionnalisation de la spiritualité bouddhique fabrique chez les adeptes des aliénations mentales à des orientations doctrinales antagonistes à leur Éveil, tout autant qu'à celui de l'Humanité. Ceci expose l'impérative nécessité d'une délivrance de toute espèce de servitude volontaire. Et, par conséquent, d'opter pour un apprenti-sage par soi-même, libre de tout attachement à 'la personne' et à 'la loi', afin d'expérimenter l'interdépendance et la coopération avec le Monde, La Nature et Le Kosmos, directement connecté à Sa Conscience Originelle, comme le propose la sagesse bouddhique originelle.
Ce mantra a été propagé en France, depuis le début des années 1960, par deux organisations religieuses japonaises transnationales (monastique et laïque) affirmant détenir l'orthodoxie de l'enseignement essentiel du sutra du lotus et la mission universaliste d'enseigner ses valeurs pour la paix dans le monde. Ce sont d'authentiques Sociétés d’économie religieuse, oscillant entre conservatisme moral et modernisme pragmatique, bureaucratiques et hiérarchiques, dirigées par une oligarchie masculine (alors que la majorité des adeptes et constituée de femmes), et un peu ostracisées par certaines institutions bouddhiques françaises, malgré les différents contacts souvent initiés.
Elles sont finalement devenues schismatiques l'une vis-à-vis de l'autre à cause de conflits d'intérêts provoqués par leurs propensions respectives à développer leurs pouvoirs d'influences sur le marché du religieux, et par les profits économiques produits par leurs diverses activités de service au Japon (pompes funèbres, transport des pèlerins, presse).
À quoi s'ajoute le caractère arrogant et totalitaire de leurs deux dirigeants. Le patriarche monastique (décédé depuis) s'était toujours opposé au président (retiré des affaires pour cause de sénilité et d'impotence depuis 2005) de l'organisation laïque la plus importante (10 millions d'adhérents) qui désirait diriger la confédération laïque des autres écoles pratiquant le mantra selon des doctrines différentes, afin de les contrôler et de les convertir à sa philosophie morale. Et de plus, bien que son organisation laïque offrit de colossales donations financières aux moines (des centaines de milliards de yen sur 40 ans), ceux-ci ont préféré l'excommunier (1991) pour tenter de récupérer directement cette manne économique.
L'émergence en France de ces deux organisations religieuses japonaises a fait l'objet d'incompréhensions et de controverses idéologiques, provoquées par des dérives 'sectaires' exaltées de certains convertis, induites par : leur ignorance des philosophies orientales et l'absence de curiosité noétique ; leurs carences intellectuelles naturelles accentuées par la propagande officielle très doctrinaire ; l'égotisme et les agissements directifs d'adeptes en quête de statut social (et de pouvoir).
Si des tentatives de corrections des mœurs ont permis un certain assainissement déontologique, la mentalité du groupe reste imprégnée de ces différentes traces 'sectaires'. Il en résulte des relations hiérarchiques relativement formalistes, une psycho-rigidité récurrente chez de nombreux pratiquants, des raisonnement obtus et des savoirs culturels limités, une tendance courante à se conformer à la doxa sociale politiquement correcte de la Société laïque d'économie religieuse.
Suite à des calomnies et diffamations, la Société laïque d’économie religieuse se défie de possibles intrusions de non convertis cherchant à s'informer sur ses pratiques 'politiques' internes et leurs contradictions sous-jacentes. Ce qui induit une forme de méfiance, un repli mesuré à l'égard des médias, la nécessité d'un filtrage des nouveaux venus dans ses activités associatives, par crainte de pénétration de chercheurs trop curieux, d'esprits libres et contradicteurs, ou d'individus malveillants... D'où une culture de la communication interne et institutionnelle marquée du sceau du secret. À quoi, pour un regard extérieur critique, se juxtaposent les ambitions mondialistes originelles de la Société laïque d'économie religieuse, de par son statut d'ONG (UNESCO, ONU, Union Européenne, Réseau d'Universités Internationales, Publications multilingues, Lobbying, Missions Diplomatiques). Et, au Japon, son pouvoir d'influencer les forces politiques (avec son propre parti politique 'indépendant' de l'organisation religieuse laïque) et financières (gestion de son capital par Mitsubishi Bank) concomitant à un rôle sociétal ambiguë : son implication est tout à fait avérée dans des collusions politiques, économiques, industrielles (sources diplomatiques françaises). En 2013 après 30 ans de lobbying pondéré elle est reçue et reconnue officiellement par le Vatican.
Cette complexité culturelle sociopolitique lui a valu, depuis l'origine en France, la fuite de dizaines de milliers de convertis ne s'y retrouvant plus dans leurs propres aspirations bouddhiques, et dubitatifs à l'égard de l'idéologie dominante de type 'petite bourgeoise', consumériste et néo-libérale, scientiste et matérialiste, comme des idéaux officiels hostiles aux alternatives culturelles non-conformistes innovantes pourtant cohérentes avec l'utopie civilisationnelle bouddhique (alter mondialiste). Les dirigeants n'ont jamais toléré les expressions démocratiques contradictoires car toute orientation procède prioritairement de la sagesse du président. Cette sécession de convertis souvent cultivés, a aussi pour cause le malaise provoqué par la pédagogie doctrinale simpliste et infantilisante ; comme par le rejet officiel de réflexions différentes de l’exégèse institutionnelle, de réflexions originales 'trop personnelles' inspirées par la méditation d'idées et de principes bouddhiques. De surcroît, chez les dissidents très expérimentés et évolués philosophiquement, se révèle une dissonance intellectuelle face à l'amplitude de la vénération officielle du dogme cultuel des 3 trésors, qu'ils considèrent particulièrement prégnant, et facteur d'un état latent de servitude volontaire (inconsciente) des convertis dans leur relation à la Société laïque d'économie religieuse, a contrario de l'idéal originel prônant la libération des souffrances causées par des croyances assujettissantes. Cette servitude (l'engagement associatif zélé) est justifiée par le concept vertueux d'altruisme opposé à l'individualisme… par le fait que s'impliquer 'corps et âme dans l'organisation' est la voie pour révolutionner son ego, approcher l'état de bodhisattva, réaliser le vœux du maître.
Les 3 trésors : 1er) le dharma sous la forme d'un mandala : l'objet de culte fondamental, et par conséquence d'obédience à : 2ème) la sangha ou l'organisation laïque d'économie religieuse, la seule pouvant sauver l'Humanité de la dégénérescence ; 3ème) le bouddha prédicateur de l'orthodoxie (aujourd'hui : le président, le maître moral, de la Société laïque d'économie religieuse). Les trois conditionnent les actes de foi quotidiens essentiels : la piété au mandala alliance sacrée à l'orthodoxie ; l'obédience pour la vie à la sangha, sinon point d'illumination (l'état de bouddha ou la boddhéité) ; la relation exclusive au président maître absolu du vrai bouddhisme.
Selon ces témoignages recueillis auprès d'ex-convertis, ceci révèle que l'institutionnalisation de la spiritualité bouddhique fabrique chez les adeptes des aliénations mentales à des orientations doctrinales antagonistes à leur Éveil, tout autant qu'à celui de l'Humanité. Ceci expose l'impérative nécessité d'une délivrance de toute espèce de servitude volontaire. Et, par conséquent, d'opter pour un apprenti-sage par soi-même, libre de tout attachement à 'la personne' et à 'la loi', afin d'expérimenter l'interdépendance et la coopération avec le Monde, La Nature et Le Kosmos, directement connecté à Sa Conscience Originelle, comme le propose la sagesse bouddhique originelle.
Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 26 mars22, 20:35Hé bien, je vois que les "vieilles lunes" ont toujours cours ici....
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