Re: Mariage gay annulé après une faute volontaire
Posté : 05 sept.15, 08:33
Ce qui s'y oppose, c'est que le mariage ne se réduit pas à l'officialisation de relations sexuelles entre deux individus
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Et bien justement, légalisons le mariage zoophile dans ce cas pour que Jeannot puisse bénéficier des mêmes droits en épousant sa biquette ou Martine avec son chat, son canari ou son chien. En attendant, ils n'ont pas le droit de le faire parce que c'est immoral, barbare, criminel et contre-nature. Voyez-vous ça ! Et l'évolution de la pensée et de la société dans tout ça ? L'anti-intégrisme religieux ? Après tout, on peut bien léguer son héritage à son animal, on devrait pouvoir se marier avec et faire zizi-pan pan en toute légalitél'hirondelle a écrit :Si les homosexuels ont demandé à pouvoir se marier c'est pour avoir les mêmes droits et mêmes devoirs que les autres mariés. Les devoirs et les droits définis par le code civil ne concernent pas les galipettes.
La loi concerne le droit et non la morale. Et même au regard de la morale, les relations intimes entre deux adultes consentants ne nuisent pas à autrui.En attendant, ils n'ont pas le droit de le faire parce que c'est immoral, barbare, criminel et contre-nature.
En effet, ce genre de sophismes - prendre le parti pour le tout et généralisation abusive - me dépasse car ça n'a rien de philosophique.l'hirondelle a écrit :Les Grecs la pratiquaient on ne peut donc pas la qualifier de barbare ... mais ça doit être une notion philologique qui vous dépasse.
Aux dernières nouvelles, l'Homme est supérieur à l'animal et non au même niveau. Avec ce genre d'argument pour légitimer l'homosexualité, c'est dire la valeur que vous accordez à l'espèce humaine en lui conférant un degré non-négligeable de bestialité à travers ce sophisme naturaliste (mêler un jugement de fait et un jugement de valeur: Prétendre qu'une chose est bonne parce qu'elle est naturelle.)l'hirondelle a écrit :On trouve de maints exemples dans la nature, cela n'a donc rien de contre-nature.
Non, ça met surtout en évidence les faiblesses de vos raisonnements. A travers une ribambelle de sophismes, vous défendez une cause plutôt qu'une autre quand ni l'une ni l'autre ne sont défendables.l'hirondelle a écrit :Comparer l'homosexualité et la zoophilie ne fait jamais que la démonstration d'un stade avancé d'obscurantisme : vous êtes victime d'un bon bourrage de crâne.
Amalgame. Tu lies la liberté sexuel a leur déclin alors que c'est pas ce qui les a fait chuté. Hors, c'est bien plus probable que ce soit la soif de pouvoir, avec Alexandre le Grand pour les grecs, a la séparation du territoire trop grand pour les romain a la mort de Theodosius. Ce qui est drôle, c'est qu'on remarque aussi les prémisse d'une nouvelle religion a chaque déclin, mais je pense que c'est un effet secondaire pour ma part. Quelque chose sur lesquelles les gens s'appuie et non pas la raison.En effet, ce genre de sophismes - prendre le parti pour le tout et généralisation abusive - me dépasse car ça n'a rien de philosophique.
En attendant, les Grecs tout comme les Romains ainsi que l'ensemble des puissances mondiales qui les ont précédé, ont vu leur empire décliner dès l'instant où la moralité s'est vu bafouée et la débauche sexuelle atteindre son paroxysme et être sublimé. Les Grecs n'étaient pas homosexuels par nature, pas plus que les Romains. Quand ils ont toléré ces pratiques parmi une centaine d'autres, ce fut le commencement du déclin pour ceux-là et la disparition de leur civilisation au profit du barbarisme et de la bestialité.
D'un point de vue religieux - mais ça vous vous en fichez on l'a bien compris - ça a valu la destruction de deux villes dont l'une à donner son nom à... la sodomie.
Pour quelque chose de "normal" ou de "civilisé" et de non barbare, il s'avère qu'historiquement parlant, ça a apporté sur le moyen et long terme plus de problèmes catastrophiques que de solutions bénéfiques sans pour autant que la religion et son... obscurantisme n'en soient responsables mais bon, on dira rien, on pensera beaucoup.
Tu parts sur un principe non-fonder ou prouver du moins.A l'heure actuel, c'est une question de point de vue que de dire l'homme supérieur au animaux. Et il existe des exemples d'animaux qui se "suicide". Ceci dit, les scientifique ne s'avance pas trop, ne sachant pas si ce qui se passe dans le cerveau est réellement le même phénomène. Il n'empêche qu'une étude préliminaire tant a prouver que les gens ayant un fort taux d'anticorps de toxoplasma gondii aurait bien plus de "chance" d'en venir au suicide. Or le toxo est un parasite qui pousse les rats a aller faire mumuse avec les chats.Aux dernières nouvelles, l'Homme est supérieur à l'animal et non au même niveau. Avec ce genre d'argument pour légitimer l'homosexualité, c'est dire la valeur que vous accordez à l'espèce humaine en lui conférant un degré non-négligeable de bestialité à travers ce sophisme naturaliste (mêler un jugement de fait et un jugement de valeur: Prétendre qu'une chose est bonne parce qu'elle est naturelle.)
Maintenant si demain on a maints exemples d'animaux se foutant en l'air, j'imagine qu'on va légaliser le suicide ?
A un moment donné, faut arrêter les conneries.
En fait, l'inceste relève encore d'un autre problème tout autre que l'homosexualité, vu que c'est les progéniture qui risque de subir. Encore une fois, c'est une fausse analogie, tout aussi efficace que celle de la zoophilie. De plus, certain race d’animaux évite tout inceste. En fait, j'ai jamais tout compris dessus, mais en gros, le taux de dépression consanguine est extrêmement élevé chez l'homme, alors qu'elle est assez faible, voir négligeable, chez certain race. Cette moral "anti-consanguinité" ne toucherait donc pas que les humain, et serait en plus le résultat d'une logique d’adaptation a nos capacité.Non, ça met surtout en évidence les faiblesses de vos raisonnements. A travers une ribambelle de sophismes, vous défendez une cause plutôt qu'une autre quand ni l'une ni l'autre ne sont défendables.
Pourquoi ne pas légaliser le mariage entre deux membres d'une même famille ? On a maints exemple dans la nature de parents se tapant leur progéniture donc c'est pas contre-nature. La loi se fout de la morale et s'intéresse aux droits ? ( ce qui est vrai en passant, je suis d'accord avec ça) Et ben légalisons les mariages consanguins ! Eux aussi on droit à jouir des mêmes choses que les autres !
Là aussi, en poussant VOTRE raisonnement, vous constaterez vous-même à quel point il est totalement absurde du début à la fin.
Alors pourquoi frère et soeur ne peuvent-il pas se marier ? Et père et fille ? Et père et fils dans un mariage homo ?l'hirondelle a écrit :Et en quoi le mariage entre personnes de même sexe serait une officialisation de relations sexuelles ?
En rien. Si les homosexuels ont demandé à pouvoir se marier c'est pour avoir les mêmes droits et mêmes devoirs que les autres mariés. Les devoirs et les droits définis par le code civil ne concernent pas les galipettes.
Mais on s'en fout de la consanguinité puisque selon toi le mariage n'est pas une question de filiation.l'hirondelle a écrit :Saint Glinglin, je dois vraiment répondre à ce genre de question ? Tu n'es pas plus malin que ça ?
Inceste sous-entend absence de consentements dans la plupart des cas, pressions psychologiques de toute façon et problèmes de consanguinité quand il y a fertilité. Je te pensais assez intelligent pour le comprendre de toi-même.
J'ai écrit ça où ? Surtout je ne comprends pas ce que tu veux dire !Saint Glinglin a écrit : Mais on s'en fout de la consanguinité puisque selon toi le mariage n'est pas une question de filiation.
Relis ce que j'ai écrit plus haut, je ne vais pas passer mon temps à me répéter.Saint Glinglin a écrit : Et je parle de relations sexuelles entre proche parents consentants.
Du moment qu'ils sont consentants, la société n'a pas à violer leur droit au mariage, non ?
l'hirondelle a écrit :Pour marier deux personnes, il ne faut ni dieu(x) ni famille, juste les deux intéressés et leur témoin. Le mariage peut ne prendre que quelques minutes devant l'officier d'état civil, le temps pour celui-ci de faire lecture des articles de ce code civil et de procéder à l'échange de consentements.
Le mariage est bel et bien un contrat entre deux personnes adultes, avec des droits et des devoirs définis par le code civil, quelle que soit la façon dont on croit.