Mais je vis tres bien mon cher.medico a écrit :par contre un manuel du savoir vivre serait bien aussi pour toi .
Le foie un peu lourd mais avec une cure d'eau minerale ca va s'arranger.
Et t'es un modérateur ?Pasteur Patrick a écrit :Les divagations gnostiques et les frasques sexuelles de Jésus avec Marie-Madeleine font partie des poubelles de l'histoire.
Elles nourrissent régulièrement l'imagination de piètres écrivains en mal d'inspiration...
Salut
Ah bon, tu le sais ?bsm15 a écrit :(En l'occurence, ceux à qui "2000 ans de culture leur disent que c'est un homme" ont probablement raison, parce qu'ils partagent avec Vinci 1500 ans de culture, et que Vinci ne faisait pas partie d'une quelconque secte d'initiés...).
La diffamation par l'ironie est l'arme du sot.bsm15 a écrit :Oui, oui. Tu offriras aussi des lunettes à tous les spécialistes d'histoire de l'art, qui sont évidemment des incompétents à côté de l'incomparable savant qu'est Christian Doumergue...
Ne repose sur rien selon Eglise et textes officiels.bsm15 a écrit :Oui, je l'ai lu. Il est peut-être sincère et récupéré par des gens dont il ne soupçonne pas les délires (Rennes-le-Château, j'en passe et des meilleures...). Mais j'en doute, puisqu'il affirme lui-même être venu à Marie-Madeleine par Rennes-le-Château, et que deux sur trois de ses principaux livres y sont consacrés...
Ce dont il faut bien être conscient, c'est que l'histoire de Marie-Madeleine et de Jésus telle qu'elle est reconstituée par certain gnostiques ne repose absolument sur rien, même pas sur les évangiles apocryphes qui ne racontent rien de tel. Ces gens partent du principe que l'Eglise cache la Vérité (ce qui est pour le moins contestable ; dans l'éventualité même où ce serait le cas, cela ne justifie pas qu'on invente n'importe qu'elle théorie fumeuse...) pour aboutir à "leur" version de l'histoire de Jésus.
Dis moi, pour dire une chose pareille, tu ferais pas partie de l'Opus Dei ?A noter que Christian Doumergue (puisque certains semblent lui accorder du crédit, je suis désolé de devoir m'acharner un peu sur lui) fait référence au prieuré de Sion (qui comme chacun le sait est une secte liée à l'extrême-droite, créée au XXe siècle).
Comme toi alors, puisque pour qu'une recherche repose sur qque chose il faut que ce soit, pour toi, sur des textes officiels (accrédités par l'Eglise de Rome).On retrouve aussi, chose intéressante, ses interventions sur un forum consacré à Rennes-le-Château. En voici une, qui montre le type de raisonnements utilisé par le personnage :
Quant à ma lecture des évangiles, je ne pense pas qu’elle soit subjective, mais au contraire complètement objective… Un passage démontre à mon avis le bien fondé de mon hypothèse. Ce sont les versets 25 et 26, du chapitre XIX de l’Evangile de Jean : « Près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la soeur de sa mère, Marie, femme de Clopas, et Marie de Magdala. Jésus, voyant sa mère, et auprès d'elle le disciple qu'il aimait, dit à sa mère: Femme, voilà ton fils. »
La façon dont s’enchaînent les deux phrases ne peut que nous amener à conclure que le disciple que Jésus aimait cité par la seconde a nécessairement été mentionné dans la première… Il est donc forcément soit la mère de Jésus, soit Marie de Magdala, soit Marie femme de Clopas… Le candidat le plus probable est bien sûr Marie de Magdala…
A te lire,
Cordialement,
Christian DOUMERGUE
Méthode complétement biaisée, comme on le voit. Doumergue ne prend en compte que les informations qui semblent accréditer sa thèse.
J'sais pas si t'es au courant mais Hitler a fait peu ou prou la même chose et ça c'est historique. C'est la section de l'Anneherbe qui s'en chargeait.Il oublie qu'on parle du "disciple" (titre qui n'est donné qu'à des hommes dans l'Evangile), du "fils" (et un fils n'est pas une fille, que je sache). Il admet, comme si c'était une évidence, que "disciple que Jésus aimait" fait référence à la phrase précédente, alors qu'il est tout aussi probable que c'est un personnage supplémentaire (en l'occurence Jean, qui est d'ailleurs déjà mentionné au récit de la Cène comme étant "le disciple que Jésus aimait" ; en effet, Jean ne cite jamais son nom dans son Evangile).
Je pourrais aussi faire des critiques sur le plan de la compétence du personnage en question, face aux experts d'histoire de l'art qui n'ont jamais mis en doute que Jean était représenté sur le tableau de Vinci, mais je n'aime pas faire d'attaques ad hominem. Concernant Doumergue, ce serait, je le répète, extrêmement facile, mais il est bas d'attaquer quelqu'un sur son défaut de titres universitaires (une maîtrise en histoire de l'art, si je puis me permettre, c'est un peu "limite" pour se mettre contredire tous les historiens de l'art...).
Au-delà de sa bibliographie aux titres accrocheurs, la lecture des sites qui le considèrent comme une référence est édifiante... sans doute ne cautionne-t-il pas tout, mais... imaginer, par exemple, André Malraux envoyant l'armée pour rechercher le Graal...
Va dire à Michael Baigent, Richard Leigh, et Henry Lincoln qu'ils sont des rigolos ; on verra qui c'est le rigolo.Tiens, un autre article de Doumergue que vous pouvez lire pour vous rendre compte à quel point il ferait mieux de relire un manuel d'histoire de l'Antiquité du premier cycle universitaire.
http://www.france-spiritualites.com/PRL ... tienne.htm
Cela dit, je sais qu'il y a beaucoup de gens qui tournent autour de la pseudo-gnose, de Rennes-le-Château et autres trucs loufoques dans le même genre uniquement pour s'amuser, et je ne les confonds absolument pas avec ceux qui imaginent trouver là la racine de toute vérité...
bsm15 a écrit :Oui, je l'ai lu. Il est peut-être sincère et récupéré par des gens dont il ne soupçonne pas les délires (Rennes-le-Château, j'en passe et des meilleures...). Mais j'en doute, puisqu'il affirme lui-même être venu à Marie-Madeleine par Rennes-le-Château, et que deux sur trois de ses principaux livres y sont consacrés...
Ce dont il faut bien être conscient, c'est que l'histoire de Marie-Madeleine et de Jésus telle qu'elle est reconstituée par certain gnostiques ne repose absolument sur rien, même pas sur les évangiles apocryphes qui ne racontent rien de tel. Ces gens partent du principe que l'Eglise cache la Vérité (ce qui est pour le moins contestable ; dans l'éventualité même où ce serait le cas, cela ne justifie pas qu'on invente n'importe qu'elle théorie fumeuse...) pour aboutir à "leur" version de l'histoire de Jésus.
Non, ne repose sur rien selon 99% des historiens de l'art.Ne repose sur rien selon Eglise et textes officiels.
A noter que Christian Doumergue (puisque certains semblent lui accorder du crédit, je suis désolé de devoir m'acharner un peu sur lui) fait référence au prieuré de Sion (qui comme chacun le sait est une secte liée à l'extrême-droite, créée au XXe siècle).
Je n'ai pas dit un mot de Dan Brown. C'est Doumergue qui parle du prieuré de Sion. Je n'y peux rien s'il en vient à dire les mêmes imbécillités que Dan Brown.Dis moi, pour dire une chose pareille, tu ferais pas partie de l'Opus Dei ?
(et me parle pas de Dan Brown, ca va m'enerver : l'Opus Dei existait bien avant son bouquin).
On retrouve aussi, chose intéressante, ses interventions sur un forum consacré à Rennes-le-Château. En voici une, qui montre le type de raisonnements utilisé par le personnage :
Quant à ma lecture des évangiles, je ne pense pas qu’elle soit subjective, mais au contraire complètement objective… Un passage démontre à mon avis le bien fondé de mon hypothèse. Ce sont les versets 25 et 26, du chapitre XIX de l’Evangile de Jean : « Près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la soeur de sa mère, Marie, femme de Clopas, et Marie de Magdala. Jésus, voyant sa mère, et auprès d'elle le disciple qu'il aimait, dit à sa mère: Femme, voilà ton fils. »
La façon dont s’enchaînent les deux phrases ne peut que nous amener à conclure que le disciple que Jésus aimait cité par la seconde a nécessairement été mentionné dans la première… Il est donc forcément soit la mère de Jésus, soit Marie de Magdala, soit Marie femme de Clopas… Le candidat le plus probable est bien sûr Marie de Magdala…
A te lire,
Cordialement,
Christian DOUMERGUE
Méthode complétement biaisée, comme on le voit. Doumergue ne prend en compte que les informations qui semblent accréditer sa thèse.
Oh non. J'ai lu les Evangiles apocryphes, figures-toi, par exemple. Et je comprends d'autant mieux que l'Eglise ne les ait pas inclus dans sa liste des textes canoniques. Quoique celui de Marie-Madeleine, à tout prendre, n'est pas le moins intéressant.Comme toi alors, puisque pour qu'une recherche repose sur qque chose il faut que ce soit, pour toi, sur des textes officiels (accrédités par l'Eglise de Rome).
Il oublie qu'on parle du "disciple" (titre qui n'est donné qu'à des hommes dans l'Evangile), du "fils" (et un fils n'est pas une fille, que je sache). Il admet, comme si c'était une évidence, que "disciple que Jésus aimait" fait référence à la phrase précédente, alors qu'il est tout aussi probable que c'est un personnage supplémentaire (en l'occurence Jean, qui est d'ailleurs déjà mentionné au récit de la Cène comme étant "le disciple que Jésus aimait" ; en effet, Jean ne cite jamais son nom dans son Evangile).
Je pourrais aussi faire des critiques sur le plan de la compétence du personnage en question, face aux experts d'histoire de l'art qui n'ont jamais mis en doute que Jean était représenté sur le tableau de Vinci, mais je n'aime pas faire d'attaques ad hominem. Concernant Doumergue, ce serait, je le répète, extrêmement facile, mais il est bas d'attaquer quelqu'un sur son défaut de titres universitaires (une maîtrise en histoire de l'art, si je puis me permettre, c'est un peu "limite" pour se mettre contredire tous les historiens de l'art...).
Au-delà de sa bibliographie aux titres accrocheurs, la lecture des sites qui le considèrent comme une référence est édifiante... sans doute ne cautionne-t-il pas tout, mais... imaginer, par exemple, André Malraux envoyant l'armée pour rechercher le Graal...
Enfin... entre Malraux et Hitler, y'a p'têtre une différence de crédulité, non ? Tout le monde sait qu'Hitler était fasciné par les objets "sacrés" (Sainte Lance, Graal, voire le drapeau de sang de son propre parti).J'sais pas si t'es au courant mais Hitler a fait peu ou prou la même chose et ça c'est historique. C'est la section de l'Anneherbe qui s'en chargeait.
Va dire à Michael Baigent, Richard Leigh, et Henry Lincoln qu'ils sont des rigolos ; on verra qui c'est le rigolo.Tiens, un autre article de Doumergue que vous pouvez lire pour vous rendre compte à quel point il ferait mieux de relire un manuel d'histoire de l'Antiquité du premier cycle universitaire.
http://www.france-spiritualites.com/PRL ... tienne.htm
Cela dit, je sais qu'il y a beaucoup de gens qui tournent autour de la pseudo-gnose, de Rennes-le-Château et autres trucs loufoques dans le même genre uniquement pour s'amuser, et je ne les confonds absolument pas avec ceux qui imaginent trouver là la racine de toute vérité...
Une fois de plus tu es pris en flagrant delit de "jetage de poudre aux yeux"Ce dont il faut bien être conscient, c'est que l'histoire de Marie-Madeleine et de Jésus telle qu'elle est reconstituée par certain gnostiques ne repose absolument sur rien, même pas sur les évangiles apocryphes qui ne racontent rien de tel.
Plus une bonne vingtaine de livres, articles et d'enquetes en 5 langues qui des le debut du 20ieme siecle s'interessent a la fortune soudaine de l'abbe Saulniere et son interet soudain pour Marie Madeleine.Mais j'en doute, puisqu'il affirme lui-même être venu à Marie-Madeleine par Rennes-le-Château, et que deux sur trois de ses principaux livres y sont consacrés...
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