Horreur et damnation pour Rachel et d'autres de ce forum !
La démocratie s'étant au MO:
Moubarak administre un "électrochoc démocratique" à l'Egypte (PAPIER D'ANGLE)
par Hassen ZENATI
LE CAIRE, 27 fév (AFP) - Le président Hosni Moubarak a administré un "électrochoc démocratique" à l'Egypte en décidant d'ouvrir le jeu de l'élection présidentielle et semble lancé pour un cinquième mandat à la tête de l'Etat.
Sa décision de demander l'amendement de la Constitution pour permettre, pour la première fois en Egypte, l'élection d'un chef de l'Etat au suffrage universel direct a pris de court les Egyptiens.
Elle a été tenue secrète jusqu'au dernier moment. Trente-six heures avant son annonce spectaculaire, seuls les présidents des deux chambres du Parlement et un groupe réduit de la garde rapprochée du chef de l'Etat avaient été mis dans la confidence, selon des sources politiques.
Les élus de Manoufieh (nord), sa région natale, devant lesquels il s'est exprimé samedi, semblaient interloqués par l'annonce. Ils ont marqué un temps d'hésitation avant de se lever pour applaudir l'initiative présidentielle.
Jusque là, le chef de l'Etat, le Premier ministre et plusieurs responsables du Parti national démocrate (PND, au pouvoir) avaient écarté toute réforme de la Constitution avant la présidentielle prévue en septembre.
"C'est un électrochoc démocratique. Les vents du changement qui soufflent du Caire pourraient balayer pas mal de régimes dans la région. Ils vont conforter la marche de la démocratie au Proche-Orient", écrit Karam Gabr, directeur de la rédaction de la revue Rose el-Youssef.
Tous les journaux ont fait leur Une sur la décision présidentielle. Pour la première fois le titre d'Al-Ahram était en rouge: "L'Egypte commence une ère nouvelle sur la voie des réformes". "La balle est dans le camp du peuple", estime Al-Akhbar.
M. Moubarak a entamé depuis quelques semaines une tournée de l'Egypte, qui ressemble à une pré-campagne électorale pour briguer un nouveau mandat de six ans, même s'il n'a pas annoncé officiellement sa candidature.
Au pouvoir depuis l'assassinat du président Anouar Sadate en 1981, s'il était réélu en septembre, il conforterait son record de longévité à la tête de l'Egypte depuis la proclamation de la République en 1953.
La réforme constitutionnelle doit être approuvée par référendum, en principe dans les deux mois de sa mise en forme par le Parlement, qui a commencé dès samedi l'examen de la demande présidentielle.
Washington, en délicatesse avec le Caire depuis la mise en détention préventive en janvier du président du parti d'opposition Al-Ghad, Ayman Nour, accusé de "falsification de documents officiels", a salué la décision de M. Moubarak.
"Les Etats-Unis ont pressé l'Egypte d'élargir la base de la participation politique" et la réforme constitutionnelle annoncée "est un pas en direction d'un système politique plus ouvert et nous la saluons", a déclaré un porte-parole du département d'Etat.
Le président George W. Bush avait pressé à plusieurs reprises l'Egypte "qui a montré la voie de la paix au Proche-Orient (de lui) montrer maintenant la voie de la démocratie", malgré les vives réticences de M. Moubarak à adhérer au projet américain de réformes politiques dit du Grand Moyen-Orient.
L'opposition égyptienne, également prise de court, s'est félicitée de l'initiative de M. Moubarak, en demandant toutefois la réduction des pouvoirs étendus du chef de l'Etat et plus de libertés publiques.
George Isaac, coordinateur du mouvement Kefaya (Ca suffit), qui a déclenché en décembre une série de manifestations publiques inédites contre le maintien au pouvoir de M. Moubarak, a indiqué à l'AFP qu'il se battrait désormais pour la limitation des mandats présidentiels à deux d'une durée de quatre ans chacun.
L'opposition demande aussi l'abrogation de l'état d'urgence, en vigueur depuis l'assassinat de Sadate, pour permettre la tenue d'un scrutin libre, sans contraintes policières.
27/02/05 10:54
L'effet domino démocratique !
- pascal
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L'effet domino démocratique !
Ecrit le 27 févr.05, 21:53Ecrit le 17 mars05, 13:42
completement stupide la citation a la fin de ton message pascal
« … L’antisionisme est à cet égard une introuvable aubaine, car il nous donne la permission et même le droit, et même le devoir d’être antisémite au nom de la démocratie ! »
c'est facile de taxer d'antisemitisme toute personne qui regrette la creation d'israel ou qui desapprouve la politique d'israel.
Ne confond pas la politique et les conflits territoriaux avec la connerie des hommes et les sentiments racistes
Certains antisemites utilisent surement le mot antisioniste pour justifier leur racisme certes mais ne met pas tout le monde dans le meme paquet
« … L’antisionisme est à cet égard une introuvable aubaine, car il nous donne la permission et même le droit, et même le devoir d’être antisémite au nom de la démocratie ! »
c'est facile de taxer d'antisemitisme toute personne qui regrette la creation d'israel ou qui desapprouve la politique d'israel.
Ne confond pas la politique et les conflits territoriaux avec la connerie des hommes et les sentiments racistes
Certains antisemites utilisent surement le mot antisioniste pour justifier leur racisme certes mais ne met pas tout le monde dans le meme paquet
- pascal
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Ecrit le 18 mars05, 04:15
"Certains antisemites utilisent surement le mot antisioniste pour justifier leur racisme certes mais ne met pas tout le monde dans le meme paquet"
********************
Bonjour trt,
Je ne mets pas tout le monde dans le meme paquet.
Pour certains (es) l'antisionisme est un habit neuf de l'antisémitisme qui ne vise pas uniquement les juifs d'Israel.
Mais tous les juifs !
L'antisionisme devient alors une aubaine pour ces antisémites.
On peu etre antisionisme sans etre antisémite.
Mais aujourd'hui la fontière est si mince entre les 2 qu'il est très difficile de voir ou fini l'antisionisme et ou commence l'antisémitisme.
Bien souvent les 2 co-habitent.
Pascal
****************************************************
A ce propos:
http://www.cicad.ch/antisemitisme/histo ... isme.shtml
L'antisionisme
La critique d'Israël et de sa politique n'est pas une expression d'antisémitisme, pour autant qu'il soit jugé à la même aune que les autres Etats. Or, il arrive assez souvent que la critique des actions du gouvernement israélien prenne la forme d'une condamnation globale et définitive d'Israël, ou que le terme "sioniste" ("qui aspire à l'établissement et au maintien d'un foyer national juif")soit substitué au terme "juif" pour camoufler derrière une façade antisioniste des arguments antisémites.
Pendant vingt ans après la création de l'Etat d'Israël (1948), l'antisionisme est resté un phénomène limité aux pays arabes, qui procédait du conflit israélo-arabe, ainsi qu'en URSS et dans les pays du bloc de l'Est, qui soutenaient le camp arabe.
Dès la fin des années 60, l'antisionisme revêt un caractère international. Il se manifeste d'abord dans les universités après la guerre des Six jours, lorsque la nouvelle gauche attaque le sionisme de concert avec des associations d'étudiants arabes. La résolution 3379 de l'Assemblée générale des Nations Unies du 10 novembre 1975, condamnant le sionisme comme "racisme et comme forme de discrimination raciale", internationalise l'antisionisme. Cette résolution ne sera annulée qu'en 1995.
Pour ôter toute légitimité au sionisme, des organisations arabes n'ont pas hésité à le qualifier de colonialisme, de racisme, de nazisme. Avec le temps, elles ont récupéré les arguments négationnistes*, selon lesquels la Shoah est une invention des Juifs pour obtenir la création d'Israël et d'autres privilèges.
Le mythe du complot juif* a été rebaptisé complot sioniste, tout en colportant les mêmes accusations mensongères de désir de conquête. De même, la propagande antisioniste s'appuie encore sur les Protocoles des Sages de Sion*. La dérive de l'antisionisme à l'antisémitisme est claire. D'autres arguments participent à ce glissement : les attaques contre la Torah et les principes du judaïsme pour critiquer la société israélienne (on montre ainsi la nature foncièrement criminelle des Juifs, ou leur cupidité, ou encore leur amour de la guerre et du sang). La mauvaise nature d'Israël découle de son identité juive. Ces accusations antisionistes sont identiques aux stéréotypes antisémites classiques : même paranoïa, mêmes mythes de malfaisance et de conspiration pour dominer le monde. Même tendance à généraliser, à englober les Juifs dans une même catégorie, à les juger et à les condamner à partir de clichés anciens. L'amalgame unit des éléments objectifs de la politique israélienne et des représentations relatives aux Juifs en général.
L'antisionisme offre un alibi, une nouvelle façade à l'antisémitisme. Il redonne même vie à des accusations antérieures qu'il intègre dans son discours. Il est notamment présent dans plusieurs discours tenus à l'intérieur des organisations internationales, notamment à l'ONU.
Il s'est exprimé publiquement en Suisse à plusieurs reprises en 1997 lors du 100e anniversaire du premier Congrès sioniste à Bâle, et sert de façade à plusieurs arguments antisémites entendus pendant la crise des fonds en déshérence.
Walter LAQUEUR : Histoire du sionisme, Paris, Gallimard (tel), 1973, 2 vol.
Bernard LEWIS : Sémites et antisémites, Paris, Presses Pocket, 1991.
Léon POLIAKOV : Histoire de l'antisémitisme 1945-1993, Paris, Seuil, 1994.
********************
Bonjour trt,
Je ne mets pas tout le monde dans le meme paquet.
Pour certains (es) l'antisionisme est un habit neuf de l'antisémitisme qui ne vise pas uniquement les juifs d'Israel.
Mais tous les juifs !
L'antisionisme devient alors une aubaine pour ces antisémites.
On peu etre antisionisme sans etre antisémite.
Mais aujourd'hui la fontière est si mince entre les 2 qu'il est très difficile de voir ou fini l'antisionisme et ou commence l'antisémitisme.
Bien souvent les 2 co-habitent.
Pascal
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A ce propos:
http://www.cicad.ch/antisemitisme/histo ... isme.shtml
L'antisionisme
La critique d'Israël et de sa politique n'est pas une expression d'antisémitisme, pour autant qu'il soit jugé à la même aune que les autres Etats. Or, il arrive assez souvent que la critique des actions du gouvernement israélien prenne la forme d'une condamnation globale et définitive d'Israël, ou que le terme "sioniste" ("qui aspire à l'établissement et au maintien d'un foyer national juif")soit substitué au terme "juif" pour camoufler derrière une façade antisioniste des arguments antisémites.
Pendant vingt ans après la création de l'Etat d'Israël (1948), l'antisionisme est resté un phénomène limité aux pays arabes, qui procédait du conflit israélo-arabe, ainsi qu'en URSS et dans les pays du bloc de l'Est, qui soutenaient le camp arabe.
Dès la fin des années 60, l'antisionisme revêt un caractère international. Il se manifeste d'abord dans les universités après la guerre des Six jours, lorsque la nouvelle gauche attaque le sionisme de concert avec des associations d'étudiants arabes. La résolution 3379 de l'Assemblée générale des Nations Unies du 10 novembre 1975, condamnant le sionisme comme "racisme et comme forme de discrimination raciale", internationalise l'antisionisme. Cette résolution ne sera annulée qu'en 1995.
Pour ôter toute légitimité au sionisme, des organisations arabes n'ont pas hésité à le qualifier de colonialisme, de racisme, de nazisme. Avec le temps, elles ont récupéré les arguments négationnistes*, selon lesquels la Shoah est une invention des Juifs pour obtenir la création d'Israël et d'autres privilèges.
Le mythe du complot juif* a été rebaptisé complot sioniste, tout en colportant les mêmes accusations mensongères de désir de conquête. De même, la propagande antisioniste s'appuie encore sur les Protocoles des Sages de Sion*. La dérive de l'antisionisme à l'antisémitisme est claire. D'autres arguments participent à ce glissement : les attaques contre la Torah et les principes du judaïsme pour critiquer la société israélienne (on montre ainsi la nature foncièrement criminelle des Juifs, ou leur cupidité, ou encore leur amour de la guerre et du sang). La mauvaise nature d'Israël découle de son identité juive. Ces accusations antisionistes sont identiques aux stéréotypes antisémites classiques : même paranoïa, mêmes mythes de malfaisance et de conspiration pour dominer le monde. Même tendance à généraliser, à englober les Juifs dans une même catégorie, à les juger et à les condamner à partir de clichés anciens. L'amalgame unit des éléments objectifs de la politique israélienne et des représentations relatives aux Juifs en général.
L'antisionisme offre un alibi, une nouvelle façade à l'antisémitisme. Il redonne même vie à des accusations antérieures qu'il intègre dans son discours. Il est notamment présent dans plusieurs discours tenus à l'intérieur des organisations internationales, notamment à l'ONU.
Il s'est exprimé publiquement en Suisse à plusieurs reprises en 1997 lors du 100e anniversaire du premier Congrès sioniste à Bâle, et sert de façade à plusieurs arguments antisémites entendus pendant la crise des fonds en déshérence.
Walter LAQUEUR : Histoire du sionisme, Paris, Gallimard (tel), 1973, 2 vol.
Bernard LEWIS : Sémites et antisémites, Paris, Presses Pocket, 1991.
Léon POLIAKOV : Histoire de l'antisémitisme 1945-1993, Paris, Seuil, 1994.
Ecrit le 21 mars05, 05:59
Au début était le terrorismetrt a écrit :completement stupide la citation a la fin de ton message pascal
« … L’antisionisme est à cet égard une introuvable aubaine, car il nous donne la permission et même le droit, et même le devoir d’être antisémite au nom de la démocratie ! »
c'est facile de taxer d'antisemitisme toute personne qui regrette la creation d'israel ou qui desapprouve la politique d'israel.
Ne confond pas la politique et les conflits territoriaux avec la connerie des hommes et les sentiments racistes
Certains antisemites utilisent surement le mot antisioniste pour justifier leur racisme certes mais ne met pas tout le monde dans le meme paquet
Ronald Bleier
Une bonne part de l’histoire du terrorisme du Moyen-Orient actuel a été jetée dans le puits de la
mémoire d’Orwell, en raison d’une campagne très efficace au cours des 50 dernières années pour supprimer
les informations préjudiciables à Israël. Faire sauter un bus, un train, un bateau, un café ou un hôtel,
assassiner un diplomate ou un négociateur de paix, tuer des otages, envoyer des colis piégés, massacrer des
villageois sans défense, c’est, comme on le sait, du terrorisme. Dans le Moyen-Orient moderne, ça a
commencé par les sionistes qui fondèrent l’Etat juif .
Le péché originel
Le péché originel d'Israël est le sionisme, l’idéologie pour laquelle un Etat juif doit remplacer la
Palestine précédente. A la racine du problème se trouve l’exclusivisme sioniste par lequel seuls les juifs sont
traités comme citoyens de première classe. Pour créer et consolider un Etat juif en 1948, les sionistes ont
expulsé 750.000 Palestiniens de chez eux et n’ont jamais permis à eux ni à leurs descendants de revenir. De
plus, les forces israéliennes ont détruit plus de 400 villages et perpétré près de trois douzaines de massacres.
En 1967, les Israéliens ont forcé 350.000 Palestiniens à fuir la Cisjordanie et Gaza, et 147.000 Syriens à
partir des hauteurs du Golan. Depuis 1967, Israël a mis la population entière des territoires sous occupation
militaire. Les effets de la dépossession des Palestiniens et d’autres Arabes nous suivent, avec les vies
détruites de millions de gens directement touchés, et aussi comme signe de la guerre de l'occident contre la
nation arabe entière et les musulmans partout. On peut avancer que le péché originel du sionisme et ses effets
sur les peuples du Moyen-Orient ont été au centre de la motivation derrière les événements du 11 septembre,
dont la conséquence la plus importante a été la " guerre contre le terrorisme " en cours qui étouffe notre
paysage politique.
Assassinat d’un négociateur de paix
Un des actes les plus notoires du terrorisme israélien a eu lieu en 1948 quand des forces juives,
membres de la faction LEHI (aussi connue comme Gang Stern) assassinèrent le comte Suédois Folk
Bernadotte, médiateur appointé par l’ONU. Bernadotte fut tué le 17 septembre 1948, un jour après qu’il eut
présenté son second plan de médiation qui, entre autres choses, demandait le rapatriement et des
dédommagements pour les réfugiés palestiniens. L’assassinat de Bernadotte souligna une des principales
différences de politique à l’époque entre les USA et Israël, c'est-à-dire le sort des réfugiés palestiniens. A
l’époque, les forces juives/israéliennes avaient déjà forcé plus d’un demi-million de Palestiniens hors de chez
eux. Le tollé international qui en suivit attira l’attention sur les effets sur la paix au Moyen-Orient autant que
sur les souffrances des réfugiés. De plus, le devenir de centaines de milliers de juifs vivant dans le monde
arabe, surtout en Irak, au Maroc, au Yémen et en Egypte, était mis en danger par la politique d’expulsion
israélienne.
La veille de l’assassinat, le ministre des Affaires Etrangères Moshe Sharett accusa publiquement
Bernadotte d’un " parti-pris contre l’Etat d’Israël et pour les Etats arabes ". Stephen Green indique les
preuves montrant que le gouvernement israélien lui-même fut directement impliqué dans l’assassinat. La nuit
de l’assassinat, les consulats tchècoslovaques de Jérusalem et de Haïfa étaient occupés à préparer les quelque
30 visas pour les membres du groupe Stern " qui avaient été arrêtés pour leur implication dans la préparation
ou l’exécution " de l’assassinat. " Entre les 18 et 29 septembre, la plupart sinon tous les 30 quittèrent Israël
sur des vols pour Prague." L’" échelle, la précision, et la vitesse de la fuite-évacuation " conduisit le
Département d’Etat à " suspecter que le Gang Stern n’était pas seul impliqué ". Les USA se demandèrent si
" l’opération avait pu être planifiée de Tchécoslovaquie, et si un escadron spécialement entraîné avait volé de
Prague en Israël dans ce but " . De plus, l’historien Howard Sachar note que " On pense en général que
Yehoshua Cohen, un ami de Ben Gourion, a servi de détonateur " .
Huit mois plus tard, en mai 1949, les Israéliens ont révélé à l’ONU que la majorité des membres du
groupe Stern arrêtés pendant la " purge " avaient été libérés avant quinze jours. Les non-libérés furent gardés
jusqu’à une amnistie générale accordée le 14 février 1949 (4). Personne n’a jamais été jugé pour le meurtre.
L’assassinat de Bernadotte fit les titres internationaux et pendant quelques temps on fit plus attention à la
question des réfugiés palestiniens. Finalement la pression pour les rapatrier ne put jamais être assemblée.
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