Par Toutatis, manquerait plus que le ciel nous tombe sur la tête.Simplement moi a écrit : Je connais quelques Gaulois... qui doutaient aussi
D'ailleurs c'est pour cela que les dolmen étaient construits... au cas où .... pour pallier à l'absence de montagnes et éviter des chutes impromptues...
PS bien entendu... je ne vise personne
Miracle du Coran
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
- elwahrani
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Ecrit le 24 janv.05, 05:50
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Ecrit le 25 janv.05, 10:12
Victor Hugo chante le prophète de l'islam
Comme s’il pressentait que son heure était proche,
Grave, il ne faisait plus à personne une reproche ;
Il marchait en rendant aux passants leur salut ;
On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu’il eût
A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ;
Il s'arrêtait parfois pour voir les chameaux boire,
Se souvenant du temps qu’il était chamelier.
Il semblait avoir vu l’Eden, l’âge de d’amour,
Les temps antérieurs, l’ère immémoriale.
Il avait le front haut, la joue impériale,
Le sourcil chauve, l’œil profond et diligent,
Le cou pareil au col d’une amphore d’argent,
L’air d’un Noé qui sait le secret du déluge.
Si des hommes venaient le consulter, ce juge
Laissait l’un affirmer, l’autre rire et nier,
Ecoutait en silence et parlait le dernier.
Sa bouche était toujours en train d’une prière ;
Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ;
Il s’occupait de lui-même à traire ses brebis ;
Il s’asseyait à terre et cousait ses habits.
Il jeûnait plus longtemps qu’autrui les jours de jeûne,
Quoiqu’il perdît sa force et qu’il ne fût plus jeune.
A soixante-trois ans une fièvre le prit.
Il relut le Coran de sa main même écrit,
Puis il remit au fils de Séid la bannière,
En lui disant : " Je touche à mon aube dernière.
Il n’est pas d’autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. "
Et son œil, voilé d’ombre, avait ce morne ennui
D’un vieux aigle forcé d’abandonner son aire.
Il vint à la mosquée à son heure ordinaire,
Appuyé sur Ali le peuple le suivant ;
Et l’étendard sacré se déployait au vent.
Là, pâle, il s’écria, se tournant vers la foule ;
" Peuple, le jour s’éteint, l’homme passe et s’écroule ;
La poussière et la nuit, c’est nous. Dieu seul est grand.
Peuple je suis l’aveugle et suis l’ignorant.
Sans Dieu je serais vil plus que la bête immonde. "
Un cheikh lui dit : " o chef des vrais croyants ! le monde,
Sitôt qu’il t’entendit, en ta parole crut ;
Le jour où tu naquit une étoile apparut,
Et trois tours du palais de Chosroès tombèrent. "
Lui, reprit : " Sur ma mort les Anges délibèrent ;
L’heure arrive. Ecoutez. Si j’ai de l’un de vous
Mal parlé, qu’il se lève, ô peuple, et devant tous
Qu’il m’insulte et m’outrage avant que je m’échappe ;
Si j’ai frappé quelqu’un, que celui-là me frappe. "
Et, tranquille, il tendit aux passants son bâton.
Une vieille, tondant la laine d’un mouton,
Assise sur un seuil, lui cria : " Dieu t’assiste ! "
Il semblait regarder quelque vision triste,
Et songeait ; tout à coup, pensif, il dit : " voilà,
Vous tous, je suis un mot dans la bouche d’Allah ;
Je suis cendre comme homme et feu comme prophète.
J’ai complété d’Issa la lumière imparfaite.
Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.
Le soleil a toujours l’aube pour précurseur.
Jésus m’a précédé, mais il n’est pas la Cause.
Il est né d’une Vierge aspirant une rose.
Moi, comme être vivant, retenez bien ceci,
Je ne suis qu’un limon par les vices noirci ;
J’ai de tous les péchés subi l’approche étrange ;
Ma chair a plus d’affront qu’un chemin n’a de fange,
Et mon corps par le mal est tout déshonoré ;
O vous tous, je serais bien vite dévoré
Si dans l’obscurité du cercueil solitaire
Chaque faute engendre un ver de terre.
Fils, le damné renaît au fond du froid caveau
Pour être par les vers dévoré de nouveau ;
Toujours sa chair revit, jusqu’à ce que la peine,
Finie ouvre à son vol l’immensité sereine.
Fils, je suis le champ vil des sublimes combats,
Tantôt l’homme d’en haut, tantôt l’homme d’en bas,
Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne
Comme dans le désert le sable et la citerne ;
Ce qui n’empêche pas que je n’aie, ô croyants !
Tenu tête dans l’ombre au x Anges effrayants
Qui voudraient replonger l’homme dans les ténèbres ;
J’ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ;
Souvent, comme Jacob, j’ai la nuit, pas à pas,
Lutté contre quelqu’un que je ne voyais pas ;
Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie ;
Ils ont jeté sur moi leur haine et leur envie,
Et, comme je sentais en moi la vérité,
Je les ai combattus, mais sans être irrité,
Et, pendant le combat je criais : " laissez faire !
Je suis le seul, nu, sanglant, blessé ; je le préfère.
Qu’ils frappent sur moi tous ! Que tout leur soit permis !
Quand même, se ruant sur moi, mes ennemis
Auraient, pour m’attaquer dans cette voie étroite,
Le soleil à leur gauche et la lune à leur droite,
Ils ne me feraient point reculer ! " C’est ainsi
Qu’après avoir lutté quarante ans, me voici
Arrivé sur le bord de la tombe profonde,
Et j’ai devant moi Allah, derrière moi le monde.
Quant à vous qui m’avez dans l’épreuve suivi,
Comme les grecs Hermès et les hébreux Lévi,
Vous avez bien souffert, mais vous verrez l’aurore.
Après la froide nuit, vous verrez l’aube éclore ;
Peuple, n’en doutez pas ; celui qui prodigua
Les lions aux ravins du Jebbel-Kronnega,
Les perles à la mer et les astres à l’ombre,
Peut bien donner un peu de joie à l’homme sombre. "
Il ajouta ; " Croyez, veillez ; courbez le front.
Ceux qui ne sont ni bons ni mauvais resteront
Sur le mur qui sépare Eden d’avec l’abîme,
Etant trop noirs pour Dieu, mais trop blancs pour le crime ;
Presque personne n’est assez pur de péchés
Pour ne pas mériter un châtiment ; tâchez,
En priant, que vos corps touchent partout la terre ;
L’enfer ne brûlera dans son fatal mystère
Que ce qui n’aura point touché la cendre, et Dieu
A qui baise la terre obscure, ouvre un ciel bleu ;
Soyez hospitaliers ; soyez saints ; soyez justes ;
Là-haut sont les fruits purs dans les arbres augustes,
Les chevaux sellés d’or, et, pour fuir aux sept dieux,
Les chars vivants ayant des foudres pour essieux ;
Chaque houri, sereine, incorruptible, heureuse,
Habite un pavillon fait d’une perle creuse ;
Le Gehennam attend les réprouvés ; malheur !
Ils auront des souliers de feu dont la chaleur
Fera bouillir leur tête ainsi qu’une chaudière.
La face des élus sera charmante et fière. "
Il s’arrêta donnant audience à l’espoir.
Puis poursuivant sa marche à pas lents, il reprit :
" O vivants ! Je répète à tous que voici l’heure
Où je vais me cacher dans une autre demeure ;
Donc, hâtez-vous. Il faut, le moment est venu,
Que je sois dénoncé par ceux qui m’ont connu,
Et que, si j’ai des torts, on me crache aux visages. "
La foule s’écartait muette à son passage.
Il se lava la barbe au puits d’Aboufléia.
Un homme réclama trois drachmes, qu’il paya,
Disant : " Mieux vaut payer ici que dans la tombe. "
L’œil du peuple était doux comme un œil de colombe
En le regardant cet homme auguste, son appui ;
Tous pleuraient ; quand, plus tard, il fut rentré chez lui,
Beaucoup restèrent là sans fermer la paupière,
Et passèrent la nuit couchés sur une pierre
Le lendemain matin, voyant l’aube arriver ;
" Aboubékre, dit-il, je ne puis me lever,
Tu vas prendre le livre et faire la prière. "
Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ;
Il écoutait pendant qu’Aboubékre lisait,
Et souvent à voix basse achevait le verset ;
Et l’on pleurait pendant qu’il priait de la sorte.
Et l’Ange de la mort vers le soir à la porte
Apparut, demandant qu’on lui permît d’entrer.
" Qu’il entre. " On vit alors son regard s’éclairer
De la même clarté qu’au jour de sa naissance ;
Et l’Ange lui dit : " Dieu désire ta présence.
- Bien ", dit-il. Un frisson sur les tempes courut,
Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut.
Victor Hugo, le 15 janvier 1858.
Comme s’il pressentait que son heure était proche,
Grave, il ne faisait plus à personne une reproche ;
Il marchait en rendant aux passants leur salut ;
On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu’il eût
A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ;
Il s'arrêtait parfois pour voir les chameaux boire,
Se souvenant du temps qu’il était chamelier.
Il semblait avoir vu l’Eden, l’âge de d’amour,
Les temps antérieurs, l’ère immémoriale.
Il avait le front haut, la joue impériale,
Le sourcil chauve, l’œil profond et diligent,
Le cou pareil au col d’une amphore d’argent,
L’air d’un Noé qui sait le secret du déluge.
Si des hommes venaient le consulter, ce juge
Laissait l’un affirmer, l’autre rire et nier,
Ecoutait en silence et parlait le dernier.
Sa bouche était toujours en train d’une prière ;
Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ;
Il s’occupait de lui-même à traire ses brebis ;
Il s’asseyait à terre et cousait ses habits.
Il jeûnait plus longtemps qu’autrui les jours de jeûne,
Quoiqu’il perdît sa force et qu’il ne fût plus jeune.
A soixante-trois ans une fièvre le prit.
Il relut le Coran de sa main même écrit,
Puis il remit au fils de Séid la bannière,
En lui disant : " Je touche à mon aube dernière.
Il n’est pas d’autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. "
Et son œil, voilé d’ombre, avait ce morne ennui
D’un vieux aigle forcé d’abandonner son aire.
Il vint à la mosquée à son heure ordinaire,
Appuyé sur Ali le peuple le suivant ;
Et l’étendard sacré se déployait au vent.
Là, pâle, il s’écria, se tournant vers la foule ;
" Peuple, le jour s’éteint, l’homme passe et s’écroule ;
La poussière et la nuit, c’est nous. Dieu seul est grand.
Peuple je suis l’aveugle et suis l’ignorant.
Sans Dieu je serais vil plus que la bête immonde. "
Un cheikh lui dit : " o chef des vrais croyants ! le monde,
Sitôt qu’il t’entendit, en ta parole crut ;
Le jour où tu naquit une étoile apparut,
Et trois tours du palais de Chosroès tombèrent. "
Lui, reprit : " Sur ma mort les Anges délibèrent ;
L’heure arrive. Ecoutez. Si j’ai de l’un de vous
Mal parlé, qu’il se lève, ô peuple, et devant tous
Qu’il m’insulte et m’outrage avant que je m’échappe ;
Si j’ai frappé quelqu’un, que celui-là me frappe. "
Et, tranquille, il tendit aux passants son bâton.
Une vieille, tondant la laine d’un mouton,
Assise sur un seuil, lui cria : " Dieu t’assiste ! "
Il semblait regarder quelque vision triste,
Et songeait ; tout à coup, pensif, il dit : " voilà,
Vous tous, je suis un mot dans la bouche d’Allah ;
Je suis cendre comme homme et feu comme prophète.
J’ai complété d’Issa la lumière imparfaite.
Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.
Le soleil a toujours l’aube pour précurseur.
Jésus m’a précédé, mais il n’est pas la Cause.
Il est né d’une Vierge aspirant une rose.
Moi, comme être vivant, retenez bien ceci,
Je ne suis qu’un limon par les vices noirci ;
J’ai de tous les péchés subi l’approche étrange ;
Ma chair a plus d’affront qu’un chemin n’a de fange,
Et mon corps par le mal est tout déshonoré ;
O vous tous, je serais bien vite dévoré
Si dans l’obscurité du cercueil solitaire
Chaque faute engendre un ver de terre.
Fils, le damné renaît au fond du froid caveau
Pour être par les vers dévoré de nouveau ;
Toujours sa chair revit, jusqu’à ce que la peine,
Finie ouvre à son vol l’immensité sereine.
Fils, je suis le champ vil des sublimes combats,
Tantôt l’homme d’en haut, tantôt l’homme d’en bas,
Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne
Comme dans le désert le sable et la citerne ;
Ce qui n’empêche pas que je n’aie, ô croyants !
Tenu tête dans l’ombre au x Anges effrayants
Qui voudraient replonger l’homme dans les ténèbres ;
J’ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ;
Souvent, comme Jacob, j’ai la nuit, pas à pas,
Lutté contre quelqu’un que je ne voyais pas ;
Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie ;
Ils ont jeté sur moi leur haine et leur envie,
Et, comme je sentais en moi la vérité,
Je les ai combattus, mais sans être irrité,
Et, pendant le combat je criais : " laissez faire !
Je suis le seul, nu, sanglant, blessé ; je le préfère.
Qu’ils frappent sur moi tous ! Que tout leur soit permis !
Quand même, se ruant sur moi, mes ennemis
Auraient, pour m’attaquer dans cette voie étroite,
Le soleil à leur gauche et la lune à leur droite,
Ils ne me feraient point reculer ! " C’est ainsi
Qu’après avoir lutté quarante ans, me voici
Arrivé sur le bord de la tombe profonde,
Et j’ai devant moi Allah, derrière moi le monde.
Quant à vous qui m’avez dans l’épreuve suivi,
Comme les grecs Hermès et les hébreux Lévi,
Vous avez bien souffert, mais vous verrez l’aurore.
Après la froide nuit, vous verrez l’aube éclore ;
Peuple, n’en doutez pas ; celui qui prodigua
Les lions aux ravins du Jebbel-Kronnega,
Les perles à la mer et les astres à l’ombre,
Peut bien donner un peu de joie à l’homme sombre. "
Il ajouta ; " Croyez, veillez ; courbez le front.
Ceux qui ne sont ni bons ni mauvais resteront
Sur le mur qui sépare Eden d’avec l’abîme,
Etant trop noirs pour Dieu, mais trop blancs pour le crime ;
Presque personne n’est assez pur de péchés
Pour ne pas mériter un châtiment ; tâchez,
En priant, que vos corps touchent partout la terre ;
L’enfer ne brûlera dans son fatal mystère
Que ce qui n’aura point touché la cendre, et Dieu
A qui baise la terre obscure, ouvre un ciel bleu ;
Soyez hospitaliers ; soyez saints ; soyez justes ;
Là-haut sont les fruits purs dans les arbres augustes,
Les chevaux sellés d’or, et, pour fuir aux sept dieux,
Les chars vivants ayant des foudres pour essieux ;
Chaque houri, sereine, incorruptible, heureuse,
Habite un pavillon fait d’une perle creuse ;
Le Gehennam attend les réprouvés ; malheur !
Ils auront des souliers de feu dont la chaleur
Fera bouillir leur tête ainsi qu’une chaudière.
La face des élus sera charmante et fière. "
Il s’arrêta donnant audience à l’espoir.
Puis poursuivant sa marche à pas lents, il reprit :
" O vivants ! Je répète à tous que voici l’heure
Où je vais me cacher dans une autre demeure ;
Donc, hâtez-vous. Il faut, le moment est venu,
Que je sois dénoncé par ceux qui m’ont connu,
Et que, si j’ai des torts, on me crache aux visages. "
La foule s’écartait muette à son passage.
Il se lava la barbe au puits d’Aboufléia.
Un homme réclama trois drachmes, qu’il paya,
Disant : " Mieux vaut payer ici que dans la tombe. "
L’œil du peuple était doux comme un œil de colombe
En le regardant cet homme auguste, son appui ;
Tous pleuraient ; quand, plus tard, il fut rentré chez lui,
Beaucoup restèrent là sans fermer la paupière,
Et passèrent la nuit couchés sur une pierre
Le lendemain matin, voyant l’aube arriver ;
" Aboubékre, dit-il, je ne puis me lever,
Tu vas prendre le livre et faire la prière. "
Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ;
Il écoutait pendant qu’Aboubékre lisait,
Et souvent à voix basse achevait le verset ;
Et l’on pleurait pendant qu’il priait de la sorte.
Et l’Ange de la mort vers le soir à la porte
Apparut, demandant qu’on lui permît d’entrer.
" Qu’il entre. " On vit alors son regard s’éclairer
De la même clarté qu’au jour de sa naissance ;
Et l’Ange lui dit : " Dieu désire ta présence.
- Bien ", dit-il. Un frisson sur les tempes courut,
Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut.
Victor Hugo, le 15 janvier 1858.
Ecrit le 25 janv.05, 10:15
"Jamais un homme ne se proposa, volontairement ou involontairement, un but plus sublime, puisque ce but était surhumain : Saper les superstitions interposées entre la créature et le Créateur, rendre Dieu à l'homme et l'homme à Dieu, restaurer l'idée rationnelle et sainte de la divinité dans ce chaos de dieux materiels et défigurés de l'idolatrie... Jamais homme n'accomplit en moins de temps une si immense et durable révolution dans le monde, puisque moins de deux siècle après sa prédication, l' islamisme, préché et armé, régnait sur les trois Arabies, conquérait à l'Unité de Dieu la Perse, le Khorassan, la Transoxiane, l'Inde occidentale, la Syrie, l'Egypte, l'Ethiopie, tout le continent connu de l'Afrique septentrionale, plusieurs iles de la méditerannée, l'Espagne et une partie de la Gaule.
Si la grandeur du dessein, la petitesse des moyens, l'immensité du résultat sont les trois mesures du génie de l'homme, qui osera comparer humainement un grand homme de l'histoire moderne à Mahomet ? Les plus fameux n'ont remués que des armes, des lois, des empires ; ils n'ont fondé, quand ils ont fondés quelque chose, que des puissances materielles, écroulées souvent avant eux. Celui-là a remué des armées, des legislations, des empires, des peuples, des dynasties, des millions d'hommes sur un tiers du globe habité ; mais il a remué, de plus, des idées, des croyances, des âmes. Il a fondé sur un Livre, dont chaque lettre est devenue une loi, une nationalité spirituelle qui englobe des peuples de toutes les langues et de toutes les races, et il a imprimé, pour caractère indélèbile de cette nationalité musulmane, la haine des faux dieux et la passion du Dieu un et immateriel...
Philosophe, orateur, apôtre, legislateur, guerrier, conquerant d'idées, restaurateur de dogmes rationels, d'un culte sans images, fondateur de vingt empires terrestres et d'un empire spirituel, voilà Mahomet. A toutes les echelles où l'on mesure la grandeur humaine, quel homme fut plus grand ?..."
Lamartine, Paris 1854
que dire de plus non comment.
Si la grandeur du dessein, la petitesse des moyens, l'immensité du résultat sont les trois mesures du génie de l'homme, qui osera comparer humainement un grand homme de l'histoire moderne à Mahomet ? Les plus fameux n'ont remués que des armes, des lois, des empires ; ils n'ont fondé, quand ils ont fondés quelque chose, que des puissances materielles, écroulées souvent avant eux. Celui-là a remué des armées, des legislations, des empires, des peuples, des dynasties, des millions d'hommes sur un tiers du globe habité ; mais il a remué, de plus, des idées, des croyances, des âmes. Il a fondé sur un Livre, dont chaque lettre est devenue une loi, une nationalité spirituelle qui englobe des peuples de toutes les langues et de toutes les races, et il a imprimé, pour caractère indélèbile de cette nationalité musulmane, la haine des faux dieux et la passion du Dieu un et immateriel...
Philosophe, orateur, apôtre, legislateur, guerrier, conquerant d'idées, restaurateur de dogmes rationels, d'un culte sans images, fondateur de vingt empires terrestres et d'un empire spirituel, voilà Mahomet. A toutes les echelles où l'on mesure la grandeur humaine, quel homme fut plus grand ?..."
Lamartine, Paris 1854
que dire de plus non comment.
Ecrit le 25 janv.05, 10:24
Dans le Coran, il est noté que l'homme est créé dans un processus de trois étapes dans l'utérus maternel.
Il vous crée dans les ventres de vos mères, création après création, dans trois ténèbres. Tel est Allah, votre Seigneur! À Lui appartient toute la royauté. Point de divinité à part Lui. Comment pouvez-vous vous détourner (de son culte)? (Sourate az-Zumar, 6)
Comme on peut le comprendre, ce verset indique que l'être humain est créé dans le ventre de sa mère en trois étapes distinctes. La biologie moderne a bien révélé que le développement embryonnaire du bébé a lieu dans trois régions distinctes de l'utérus maternel. Aujourd'hui, dans les manuels d'embryologie étudiés dans les facultés de médecine, ce sujet est considéré comme une connaissance fondamentale. Par exemple, dans Basic Human Embryology, un texte de référence fondamental dans le domaine de l'embryologie, ce fait est exprimé ainsi:
"La vie dans l'utérus connaît trois étapes: pré-embyonnaire (les premières deux semaines et demie); embryonnaire (jusqu'à la fin de la huitième semaine); et f¶tale (de la huitième semaine à l'accouchement)." 18
Ces phases, appelées trimestres, désignent trois périodes et correspondent aux étapes du développement du bébé. Les caractéristiques de ces 3 étapes sont décrites ainsi:
- L'étape pré-embryonnaire:
Lors de cette première étape, le zygote commence instantanément à se reproduire en se divisant. Il devient ensuite un morceau de chair et s'accroche à la paroi de l'utérus. Les cellules s'organisent en trois couches tout en continuant à se reproduire.
- L'étape embryonnaire:
Pendant cette deuxième étape qui dure 5,5 semaines, l'être vivant est appelé "embryon". Les cellules commencent à former les organes et les systèmes principaux du corps.
- L'étape f¶tale:
L'embryon est appelé "f¶tus" pendant cette étape qui commence à partir de la 8ème semaine de la grossesse et qui dure jusqu'à l'accouchement. À la différence de l'étape précédente, le f¶tus a maintenant l'apparence d'un être humain avec son visage, ses mains et ses pieds. Bien que long de trois cm au premier stade, le f¶tus a tous ses organes complets. Cette étape dure trente semaines et le développement continue jusqu'à la semaine de l'accouchement.
Ces informations sur le développement dans l'utérus maternel n'ont été disponibles qu'après des observations effectuées avec des instruments modernes. Pourtant, comme de nombreux autres faits scientifiques, ce savoir nous est communiqué miraculeusement dans les versets du Coran. Le fait que des renseignements si détaillés et si exacts aient été donnés dans le Coran, à une époque où les gens n'avaient que des connaissances réduites des questions médicales, prouve clairement que le Coran n'est pas une parole humaine, mais la parole de Dieu.
no comment.
Il vous crée dans les ventres de vos mères, création après création, dans trois ténèbres. Tel est Allah, votre Seigneur! À Lui appartient toute la royauté. Point de divinité à part Lui. Comment pouvez-vous vous détourner (de son culte)? (Sourate az-Zumar, 6)
Comme on peut le comprendre, ce verset indique que l'être humain est créé dans le ventre de sa mère en trois étapes distinctes. La biologie moderne a bien révélé que le développement embryonnaire du bébé a lieu dans trois régions distinctes de l'utérus maternel. Aujourd'hui, dans les manuels d'embryologie étudiés dans les facultés de médecine, ce sujet est considéré comme une connaissance fondamentale. Par exemple, dans Basic Human Embryology, un texte de référence fondamental dans le domaine de l'embryologie, ce fait est exprimé ainsi:
"La vie dans l'utérus connaît trois étapes: pré-embyonnaire (les premières deux semaines et demie); embryonnaire (jusqu'à la fin de la huitième semaine); et f¶tale (de la huitième semaine à l'accouchement)." 18
Ces phases, appelées trimestres, désignent trois périodes et correspondent aux étapes du développement du bébé. Les caractéristiques de ces 3 étapes sont décrites ainsi:
- L'étape pré-embryonnaire:
Lors de cette première étape, le zygote commence instantanément à se reproduire en se divisant. Il devient ensuite un morceau de chair et s'accroche à la paroi de l'utérus. Les cellules s'organisent en trois couches tout en continuant à se reproduire.
- L'étape embryonnaire:
Pendant cette deuxième étape qui dure 5,5 semaines, l'être vivant est appelé "embryon". Les cellules commencent à former les organes et les systèmes principaux du corps.
- L'étape f¶tale:
L'embryon est appelé "f¶tus" pendant cette étape qui commence à partir de la 8ème semaine de la grossesse et qui dure jusqu'à l'accouchement. À la différence de l'étape précédente, le f¶tus a maintenant l'apparence d'un être humain avec son visage, ses mains et ses pieds. Bien que long de trois cm au premier stade, le f¶tus a tous ses organes complets. Cette étape dure trente semaines et le développement continue jusqu'à la semaine de l'accouchement.
Ces informations sur le développement dans l'utérus maternel n'ont été disponibles qu'après des observations effectuées avec des instruments modernes. Pourtant, comme de nombreux autres faits scientifiques, ce savoir nous est communiqué miraculeusement dans les versets du Coran. Le fait que des renseignements si détaillés et si exacts aient été donnés dans le Coran, à une époque où les gens n'avaient que des connaissances réduites des questions médicales, prouve clairement que le Coran n'est pas une parole humaine, mais la parole de Dieu.
no comment.
- Mickael Keul
Ecrit le 25 janv.05, 11:36
Les Corano-scientifiques prétendent que le coran décrit dans ses moindres détails l'ontogenèse de l'homme (le développement embryonnaire). Ils nous donnent pour preuve les versets qui suivent : (Un chef d’œuvre de bêtise)
Allah dit : "nous avons créé l'homme d'une quintessence de "boue". Puis, nous le plaçâmes en tant que goutte de sperme dans une enceinte sûre (Utérus). puis nous avons transformé la goutte de sperme en un caillot de sang (Alaqa*). Puis nous avons transformé le caillot de sang en bouillie. Puis, nous avons transformé la bouillie en os. puis, nous avons revêtu les os de chair." Coran (Sourate 23 / versets 12 à 14)
Et tous s'émerveillent: "Allahou akbar! sans échographie! comment MOH a t-il fait?!"...
Il faut savoir que les missionnaires musulmans essaient toujours de faire passer les arabes de Mahomet pour des imbéciles et des incultes. Ici, ils essaient de nous faire croire que, d'une part, les Koraïchites ne savaient pas que sans sperme on ne pouvait pas avoir d'enfant! et d'autre part ; qu'ils n'ont jamais vu un fœtus!!! La mauvaise foi musulmane nous étonnera toujours et ce n'est pas près d'en finir. Ils nous faudra toujours leur rappeler les "évidences" de ce monde (pénible mais nécessaire devant tant de stupidité) :
1-Les arabes de Mahomet savaient très bien que les garçons ne naissent pas dans des choux et les filles dans des roses.
2-Les arabes de Mahomet avaient déjà vu des embryons et des fœtus humains.
3-le "caillot de sang" et la "bouillie" ne sont qu'une des nombreuses caractéristiques que pouvaient donner les Koraïchites à l'embryon (à vu d'œil). Où est le miracle scientifique là-dedans? où sont "les moindres détails" de l'ontogenèse humaine?!!
L'ontogenèse selon "Allah Gynéco"
1-le sperme arrive dans l'utérus.
2-il se transforme en caillot de sang.
3-qui a son tour prend la forme d'une bouillie.
4-la bouillie se métamorphose en os.
5-les os sont revêtus de chair.
COMMENTAIRES
-selon Allah, la femme ne joue qu'un rôle de "réceptacle" dans la procréation. selon lui, le sperme arrive directement dans l'utérus et entame aussitôt sa transformation en embryon!!! il semblerait qu'Allah n'a jamais entendu parler d'ovaires ou de trompes, ni d'ovules et encore moins de fécondation. je me doutais bien, qu'au sujet des femmes, les connaissances d'"ALLAH-MOH" s'arrêtaient au vagin!!!
-selon ces versets, l'homme est créé d'une goutte de sperme!!! Alors que c'est la réunion d'un spermatozoïde et d'un ovule (les gamètes males et femelles) qui constitue le commencement de la grossesse. plus grave encore, une goutte de sperme contient -environ- plus de 8 million de spermatozoïdes!!! Alors qu'il suffit d'un seul pour féconder l'ovule!!! un autre verset corrobore ce que je dis ( Coran 16/14 ) : "Allah a crée l'homme d'une goutte de sperme".
-ces versets décrivent 1 stade ou le fœtus n'est qu'un tas d'ossements!!! Alors que même chez le bébé, le squelette est constitue -essentiellement- de cartilages et non d'OOS.
Maintenant, dites-moi comment, et par quel miracle, peut on présenter ce "chef d'œuvre d'erreurs" comme un miracle scientifique ???!!!
(*) D'autres Corano-scientifiques (M.Bucaille) traduisent Alaqa par quelque chose qui s'accroche pour donner plus de "scientificité" aux versets... Admettons que cette traduction soit juste (ce qui est aberrant). Mais, admettons! car cela ne change rien au caractère "hautement ridicule" des versets en question: selon ces versets, le développement embryonnaire présente un stade ou le fœtus n'est qu'un "squelette décharné" et revêtu -"ultérieurement- de chair !!! si vous arrivez à retrouver ce stade de "squelette décharné" dans n'importe quel manuel de biologie, je viendrais alors volontiers prier à vos côtés !!!
Allah dit : "nous avons créé l'homme d'une quintessence de "boue". Puis, nous le plaçâmes en tant que goutte de sperme dans une enceinte sûre (Utérus). puis nous avons transformé la goutte de sperme en un caillot de sang (Alaqa*). Puis nous avons transformé le caillot de sang en bouillie. Puis, nous avons transformé la bouillie en os. puis, nous avons revêtu les os de chair." Coran (Sourate 23 / versets 12 à 14)
Et tous s'émerveillent: "Allahou akbar! sans échographie! comment MOH a t-il fait?!"...
Il faut savoir que les missionnaires musulmans essaient toujours de faire passer les arabes de Mahomet pour des imbéciles et des incultes. Ici, ils essaient de nous faire croire que, d'une part, les Koraïchites ne savaient pas que sans sperme on ne pouvait pas avoir d'enfant! et d'autre part ; qu'ils n'ont jamais vu un fœtus!!! La mauvaise foi musulmane nous étonnera toujours et ce n'est pas près d'en finir. Ils nous faudra toujours leur rappeler les "évidences" de ce monde (pénible mais nécessaire devant tant de stupidité) :
1-Les arabes de Mahomet savaient très bien que les garçons ne naissent pas dans des choux et les filles dans des roses.
2-Les arabes de Mahomet avaient déjà vu des embryons et des fœtus humains.
3-le "caillot de sang" et la "bouillie" ne sont qu'une des nombreuses caractéristiques que pouvaient donner les Koraïchites à l'embryon (à vu d'œil). Où est le miracle scientifique là-dedans? où sont "les moindres détails" de l'ontogenèse humaine?!!
L'ontogenèse selon "Allah Gynéco"
1-le sperme arrive dans l'utérus.
2-il se transforme en caillot de sang.
3-qui a son tour prend la forme d'une bouillie.
4-la bouillie se métamorphose en os.
5-les os sont revêtus de chair.
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-selon Allah, la femme ne joue qu'un rôle de "réceptacle" dans la procréation. selon lui, le sperme arrive directement dans l'utérus et entame aussitôt sa transformation en embryon!!! il semblerait qu'Allah n'a jamais entendu parler d'ovaires ou de trompes, ni d'ovules et encore moins de fécondation. je me doutais bien, qu'au sujet des femmes, les connaissances d'"ALLAH-MOH" s'arrêtaient au vagin!!!
-selon ces versets, l'homme est créé d'une goutte de sperme!!! Alors que c'est la réunion d'un spermatozoïde et d'un ovule (les gamètes males et femelles) qui constitue le commencement de la grossesse. plus grave encore, une goutte de sperme contient -environ- plus de 8 million de spermatozoïdes!!! Alors qu'il suffit d'un seul pour féconder l'ovule!!! un autre verset corrobore ce que je dis ( Coran 16/14 ) : "Allah a crée l'homme d'une goutte de sperme".
-ces versets décrivent 1 stade ou le fœtus n'est qu'un tas d'ossements!!! Alors que même chez le bébé, le squelette est constitue -essentiellement- de cartilages et non d'OOS.
Maintenant, dites-moi comment, et par quel miracle, peut on présenter ce "chef d'œuvre d'erreurs" comme un miracle scientifique ???!!!
(*) D'autres Corano-scientifiques (M.Bucaille) traduisent Alaqa par quelque chose qui s'accroche pour donner plus de "scientificité" aux versets... Admettons que cette traduction soit juste (ce qui est aberrant). Mais, admettons! car cela ne change rien au caractère "hautement ridicule" des versets en question: selon ces versets, le développement embryonnaire présente un stade ou le fœtus n'est qu'un "squelette décharné" et revêtu -"ultérieurement- de chair !!! si vous arrivez à retrouver ce stade de "squelette décharné" dans n'importe quel manuel de biologie, je viendrais alors volontiers prier à vos côtés !!!
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