Ok. Mais je ne le ferai pas moi. J'ai trop de respect pour la presse.asuphel a écrit : Ah mais ne te gène surtout pas, cela ne me dérange absolument pas.
Sache juste que la presse algérienne est parmi les plus libre au monde.
Car tout journal, quel qu'il soit a déjà le mérite d'exister et c'est TRES IMPORTANT que la presse existe.
Quant à la presse algérienne libre Permets moi d'en douter... plus qu'un chouia. Je pense qu'au contraire elle est bien muselée.. et que les journalistes doivent se battre pour parler librement.
Juste une minute... je reviens
Je sais bien que tu habites là... mais si l'on lit Reporters SFLa situation de la presse algérienne s’est encore détériorée avec un nombre record de procès intentés à des journalistes. Au total, au moins 114 affaires de presse ont été enregistrées en 2005. Elles se sont soldées par une centaine de condamnations à des amendes et des peines de prison fermes ou avec sursis. Rarement des non-lieux. Certaines sont toujours en cours d’instruction. Chaque fois, les journaux sont poursuivis pour "diffamation". Depuis la réélection de d’Abdelaziz Bouteflika en 2004, la presse algérienne est mise à mal. Censures, convocations à répétition, plaintes en diffamation émanant du pouvoir et partialité des juges contraignent souvent les rédactions à l’autocensure. Cependant, quelques "irréductibles" continuent de faire face, accumulant amendes dissuasives et peines de prison sans pour autant se départir de leur liberté de ton. Par ailleurs, le directeur du Matin, Mohamed Benchicou, est encore incarcéré au 1er janvier 2006, malgré la détérioration de son état de santé. Près d’une cinquantaine de plaintes pour délits de presse ont été jugées ou sont instruites contre lui. Le Président, rancunier, ne lui a toujours pas pardonné sa campagne critique dans le Matin et son livre "Bouteflika, une imposture algérienne" paru à la veille de l’élection présidentielle d’avril 2004.
http://www.rsf.org/une_pays-34.php3?id_mot=51
et les liens qui sont à droite... comme liberté de la presse on fait mieux.
A moins que tu veuilles dire que les journalistes essayent de faire une presse libre... et là... je te donnerai raison et applaudis a leur courage.
Le caricaturiste Ali Dilem condamné à un an de prison ferme
La cour d’appel d’Alger a condamné, le 11 février 2006, le caricaturiste Ali Dilem à une année de prison ferme et 50 000 dinars (550 euros) d’amende pour une dizaine de caricatures du président Abdelaziz Bouteflika, parues dans le quotidien Liberté, aux mois d’octobre et de novembre 2003. Reporters sans frontières est indignée par cette condamnation qui vise un caricaturiste talentueux.