Une équipe américaine a filmé la dégradation et l'incendie d'une église au Kosovo. Note et lien vers le reportage:
http://www.orthodoxie.com/2005/10/un_reportage_fi.html
Vidéo: la destruction d'une église au Kosovo
- Christophe
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Vidéo: la destruction d'une église au Kosovo
Ecrit le 31 oct.05, 03:10- KingOfMuayThai
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Ecrit le 24 nov.05, 05:39
Euh... la situation dans ce pays est très loin d'etre réglée.
Les exactions, qu'elles visent des églises... ou des mosqués sont courantes.
Les Kosovars (majoritairement musulmans) veulent une indépendance refusée pour le moment par les serbes (majoritairement orthodoxes).
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La Serbie exclut l'indépendance du Kosovo
AFP
[ jeudi 24 novembre 2005 - 16h25 ]
L'envoyé spécial de l'Onu Martti Ahtisaari (g) et le ministre des Affaires étrangères serbe Vuk Draskovic, le 24 novembre 2005 à Belgrade
© AFP Dimitar Dilkoff
BELGRADE (AFP) - Les représentants des autorités de Belgrade ont exclu jeudi la possibilité d'indépendance de la province du Kosovo, lors de leurs premières rencontres avec l'envoyé spécial de des Nations unies (Onu) chargé de diriger les négociations sur le statut de la province, Martti Ahtisaari.
Au quatrième jour de sa visite dans la région qui marque le coup d'envoi des négociations sur le Kosovo, M. Ahtisaari s'est entretenu avec le ministre des Affaires étrangères de la Serbie-Monténégro Vuk Draskovic à Belgrade.
M. Draskovic a déclaré que "la reconnaissance de l'indépendance du Kosovo représenterait une violation de la Charte de l'Onu, et du droit international", selon un communiqué de son ministère diffusé à l'issue de son entretien avec M. Ahtisaari.
Accorder l'indépendance à la province serbe à majorité albanaise, administrée par l'Onu depuis juin 1999, "provoquerait une chaîne d'événements dramatiques dans la région des Balkans, ainsi que dans l'Europe et le monde entier", a ajouté M. Draskovic.
Le Premier ministre serbe Vojislav Kostunica a présenté à M. Ahtisaari, au cours d'un entretien séparé, la résolution du parlement serbe consacrée aux négociations sur le statut futur du Kosovo, qui exclut, elle aussi, la possibilité d'indépendance, a indiqué le cabinet de M. Kostunica dans un communiqué dont l'AFP a reçu une copie.
Le document, adopté par le parlement serbe lundi, propose en revanche une large autonomie pour le Kosovo.
M. Kostunica, a proposé à M. Ahtisaari, lors de leur entretien, de consulter les autorités des Etats voisins de la Serbie, notamment la Bulgarie, la Roumanie et la Croatie, sur leur point de vue concernant le futur du Kosovo, selon le communiqué.
M. Ahtisaari s'est entretenu avec M. Kostunica et M. Draskovic immédiatement après son arrivée à Belgrade, après trois jours de rencontres avec des responsables internationaux, albanais et serbes au Kosovo.
Des entretiens avec le président serbe Boris Tadic et le patriarche de l'Eglise orthodoxe serbe Pavle sont prévus pour vendredi.
L'envoyé spécial de l'Onu devrait s'adresser à la presse vendredi après-midi à Belgrade.
Avant l'arrivée de M. Ahtisaari à Belgrade, le gouvernement serbe a annoncé que M. Tadic et M. Kostunica dirigeront conjointement l'équipe de négociateurs de Belgrade aux pourparlers sur le Kosovo.
M. Draskovic fait également partie de cette équipe qui est composée de 13 négociateurs au total, notamment de conseillers des responsables de Belgrade, des représentants des Serbes du Kosovo, ainsi que d'un "conseiller permanent", le directeur de l'Institut du fédéralisme de Fribourg, Thomas Fleiner.
La première phase de ces négociations délicates se déroulera sous forme de navette diplomatique de l'émissaire de l'ONU entre Pristina et Belgrade.
La datte d'une première rencontre directe éventuelle entre les deux parties est toujours inconnue.
"Je ne pense pas que l'on peut forcer les gens à se parler directement s'ils ne le veulent pas. Nous verrons, il est encore trop tôt pour spéculer sur éventuel début de ces pourparlers directs", a déclaré M. Ahtisaari à la presse, mercredi à Pristina, à l'issue de sa visite au Kosovo.
Les Albanais, majoritaires à plus de 90%, réclament l'indépendance du Kosovo, une solution que les Serbes, qui considèrent la province comme le berceau de leur culture et de leur histoire, rejettent catégoriquement.
L'envoyé spécial de l'Onu doit également se rendre à Podgorica (Monténégro), Tirana et Skopje.
Les exactions, qu'elles visent des églises... ou des mosqués sont courantes.
Les Kosovars (majoritairement musulmans) veulent une indépendance refusée pour le moment par les serbes (majoritairement orthodoxes).
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La Serbie exclut l'indépendance du Kosovo
AFP
[ jeudi 24 novembre 2005 - 16h25 ]
L'envoyé spécial de l'Onu Martti Ahtisaari (g) et le ministre des Affaires étrangères serbe Vuk Draskovic, le 24 novembre 2005 à Belgrade
© AFP Dimitar Dilkoff
BELGRADE (AFP) - Les représentants des autorités de Belgrade ont exclu jeudi la possibilité d'indépendance de la province du Kosovo, lors de leurs premières rencontres avec l'envoyé spécial de des Nations unies (Onu) chargé de diriger les négociations sur le statut de la province, Martti Ahtisaari.
Au quatrième jour de sa visite dans la région qui marque le coup d'envoi des négociations sur le Kosovo, M. Ahtisaari s'est entretenu avec le ministre des Affaires étrangères de la Serbie-Monténégro Vuk Draskovic à Belgrade.
M. Draskovic a déclaré que "la reconnaissance de l'indépendance du Kosovo représenterait une violation de la Charte de l'Onu, et du droit international", selon un communiqué de son ministère diffusé à l'issue de son entretien avec M. Ahtisaari.
Accorder l'indépendance à la province serbe à majorité albanaise, administrée par l'Onu depuis juin 1999, "provoquerait une chaîne d'événements dramatiques dans la région des Balkans, ainsi que dans l'Europe et le monde entier", a ajouté M. Draskovic.
Le Premier ministre serbe Vojislav Kostunica a présenté à M. Ahtisaari, au cours d'un entretien séparé, la résolution du parlement serbe consacrée aux négociations sur le statut futur du Kosovo, qui exclut, elle aussi, la possibilité d'indépendance, a indiqué le cabinet de M. Kostunica dans un communiqué dont l'AFP a reçu une copie.
Le document, adopté par le parlement serbe lundi, propose en revanche une large autonomie pour le Kosovo.
M. Kostunica, a proposé à M. Ahtisaari, lors de leur entretien, de consulter les autorités des Etats voisins de la Serbie, notamment la Bulgarie, la Roumanie et la Croatie, sur leur point de vue concernant le futur du Kosovo, selon le communiqué.
M. Ahtisaari s'est entretenu avec M. Kostunica et M. Draskovic immédiatement après son arrivée à Belgrade, après trois jours de rencontres avec des responsables internationaux, albanais et serbes au Kosovo.
Des entretiens avec le président serbe Boris Tadic et le patriarche de l'Eglise orthodoxe serbe Pavle sont prévus pour vendredi.
L'envoyé spécial de l'Onu devrait s'adresser à la presse vendredi après-midi à Belgrade.
Avant l'arrivée de M. Ahtisaari à Belgrade, le gouvernement serbe a annoncé que M. Tadic et M. Kostunica dirigeront conjointement l'équipe de négociateurs de Belgrade aux pourparlers sur le Kosovo.
M. Draskovic fait également partie de cette équipe qui est composée de 13 négociateurs au total, notamment de conseillers des responsables de Belgrade, des représentants des Serbes du Kosovo, ainsi que d'un "conseiller permanent", le directeur de l'Institut du fédéralisme de Fribourg, Thomas Fleiner.
La première phase de ces négociations délicates se déroulera sous forme de navette diplomatique de l'émissaire de l'ONU entre Pristina et Belgrade.
La datte d'une première rencontre directe éventuelle entre les deux parties est toujours inconnue.
"Je ne pense pas que l'on peut forcer les gens à se parler directement s'ils ne le veulent pas. Nous verrons, il est encore trop tôt pour spéculer sur éventuel début de ces pourparlers directs", a déclaré M. Ahtisaari à la presse, mercredi à Pristina, à l'issue de sa visite au Kosovo.
Les Albanais, majoritaires à plus de 90%, réclament l'indépendance du Kosovo, une solution que les Serbes, qui considèrent la province comme le berceau de leur culture et de leur histoire, rejettent catégoriquement.
L'envoyé spécial de l'Onu doit également se rendre à Podgorica (Monténégro), Tirana et Skopje.
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